Pensez vous que les assassins, les voleurs, les violeurs, les corrompus, et tous ceux qui font du mal ne contribuent qu'en mal dans cette société et que sans eux le monde serait meilleur ?
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Existe des humains inutiles dans la société ?
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Pensez vous que les assassins, les voleurs, les violeurs, les corrompus, et tous ceux qui font du mal ne contribuent qu'en mal dans cette société et que sans eux le monde serait meilleur ?
non je sait que ma reponse te choque mais non parce que il faut de tout pour faire un mondeChaque pétales de cette rose correspond à tout l'amour qui nous unit depuis le premier jour . Donc il ne pourra à jamais se fâner.
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si tous ces gens n'existaient plus, ce serait le paradis...........donc la fin de ce monde. Es-tu pret pour ca ahdhar?
Ben je n’en sait rien. On passe notre temps à se lamenter des conséquences des actes de tout ce qui va de travers … Je suppose que tout aimerai que cela baisse …. Jusqu’à quel seuil …
Ou alors on est masoJe suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann
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Existe des humains inutiles dans la société ?
C'est sur le qualificatif "inutile" que je me prononce en toute conscience, compte-tenu de la situation démographique de l'espèce humaine vivant en même temps sur la planète Terre.
Sur les 6,5 à 6,6 milliards d'individus vivant actuellement, si l'on raisonne froidement, c'est de 66 à 80% qui non seulement ne servent à rien mais sont prédateurs de la Terre sans rien apporter à l'Humanité.
Vous aurais-je choqué?
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Tzinissa bonjourFais attention Adhrahr !! c'est comme ca que ca commence !!Hitler a posé la meme question ... et y a malheuresement repondu aussi !!!Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann
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Ma réponse
Le malade et le scarabée.
Al Qazwînî1 raconte :Un homme vit un jour un scarabée. Il se dit :
-« Quelle est la volonté de Dieu de l’avoir créé ? Est-ce pour sa belle forme ou pour sa bonne odeur ?... »
Alors Dieu le Très-Haut l’affligea d’une ulcération que les médecins furent incapables de soigner, si bien qu’il désespéra, lui-même, de guérir.
Mais voici qu’un jour il entendit la voix d’un médecin ambulant, un « turuqî » , proposant à grands cris ses services, dans la rue.
-« Amenez-le auprès de moi, ordonna-t-il, afin qu’il considère mon cas. »
-« Que feras-tu d’un « turuqî », lui rétorqua-t-on, alors que les médecins les plus habiles n’ont rien pu faire pour toi ? »
-« Il me le faut absolument, affirma le malade. »
On l’amena .
Lorsque le médecin ambulant vit l’ulcération, il demanda qu’on lui apportât un scarabée.
Les assistants se mirent à rire.
Le malade se souvint alors des propos qu’il avait tenus un jour en voyant le scarabée. Il leur dit :
-« Apportez-lui ce qu’il demande, il connaît bien son métier . »
Ils lui apportèrent le scarabée. Le médecin le brûla et répandit ses cendres sur l’ulcération. Et celle-ci guérit, avec la permission de Dieu Très-Haut.
Le malade dit alors aux assistants :
-« Sachez que Dieu Très-Haut a voulu m’apprendre que la plus vile de ses créatures peut devenir le remède le plus puissant. »
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Le malade et le scarabée.
Al Qazwînî1 raconte :Un homme vit un jour un scarabée. Il se dit :
-« Quelle est la volonté de Dieu de l’avoir créé ? Est-ce pour sa belle forme ou pour sa bonne odeur ?... »
Alors Dieu le Très-Haut l’affligea d’une ulcération que les médecins furent incapables de soigner, si bien qu’il désespéra, lui-même, de guérir.
Mais voici qu’un jour il entendit la voix d’un médecin ambulant, un « turuqî » , proposant à grands cris ses services, dans la rue.
-« Amenez-le auprès de moi, ordonna-t-il, afin qu’il considère mon cas. »
-« Que feras-tu d’un « turuqî », lui rétorqua-t-on, alors que les médecins les plus habiles n’ont rien pu faire pour toi ? »
-« Il me le faut absolument, affirma le malade. »
On l’amena .
Lorsque le médecin ambulant vit l’ulcération, il demanda qu’on lui apportât un scarabée.
Les assistants se mirent à rire.
Le malade se souvint alors des propos qu’il avait tenus un jour en voyant le scarabée. Il leur dit :
-« Apportez-lui ce qu’il demande, il connaît bien son métier . »
Ils lui apportèrent le scarabée. Le médecin le brûla et répandit ses cendres sur l’ulcération. Et celle-ci guérit, avec la permission de Dieu Très-Haut.
Le malade dit alors aux assistants :
-« Sachez que Dieu Très-Haut a voulu m’apprendre que la plus vile de ses créatures peut devenir le remède le plus puissant. »
Ma cha Allah ...
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