Impossible, et ils feront quoi avec le sionisme les israéliens?
L'état juif ne cédera pas, car il ne se soucie point de sa sécurité, ni de son économie; ce n'est surtout pas les pays du golf qui sont à craindre, et c'est surtout avec la bénédiction des pays du golfe que tout baigne dans l'huile coté économie.
Encore lui, le petit Émirat, il est sur tous les fronts.
(Avis personnel )
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Les pays arabes ont accepté le principe d'un échange de territoires entre Israël et les Palestiniens, a révélé mardi le secrétaire d'État américain, John Kerry, à l'issue d'une rencontre avec quelques ministres arabes des Affaires étrangères.
Cette décision importante de la Ligue arabe sur la question palestinienne, une concession de taille, est pourtant passée sous silence. Ce n'est qu'après la rencontre des ministres arabes avec M. Kerry que la décision a été divulguée.
La dernière proposition arabe pour la paix au Proche-Orient remonte à 2002. Cette année-là, l'Arabie saoudite proposait à Israël une normalisation des relations avec les pays arabes en échange de son retrait des territoires occupés depuis juin 1967, de la création d'un État palestinien avec Jérusalem-Est pour capitale et d'un règlement « équitable et agréé » de la question des réfugiés palestiniens fondé sur la résolution 194 de l'Assemblée générale de l'ONU.
M. Kerry n'a pas tari d'éloges envers cette inflexion des pays arabes.
« Contrairement à la proposition d'origine [2002] qui ne parlait que des lignes de 1967 et de rien d'autre, ils [les pays arabes, NDLR] ont déclaré [lundi] qu'ils étaient prêts à accepter les frontières de 1967 avec des ajustements reflétant un accord mutuel sur des échanges de territoires », a expliqué le chef de la diplomatie américaine.
« C'est un très grand pas en avant », s'est félicité M. Kerry. « Je pense que c'est significatif », a-t-il insisté.
Le premier ministre et chef de la diplomatie du Qatar, Hamad ben Jassem ben Jabr Al-Thani, dont le pays préside le comité de suivi d'une initiative de paix arabe, a dit être favorable à un « échange mineur de territoires comparables et mutuellement accepté ».
Les précédentes négociations sur les frontières portaient déjà sur l'échange de territoires, qui permettrait à Israël de conserver les blocs de colonies les plus peuplés. Les Palestiniens et la Ligue arabe exigeaient qu'elles se fondent sur les lignes d'avant la guerre de 1967, une référence catégoriquement exclue par Israël.
« Si les Palestiniens et les Israéliens parviennent à un accord final, alors les 22 pays arabes et les 57 pays musulmans membres de l'Organisation de la coopération islamique seront tous d'accord : ils considéreraient que le conflit serait terminé, ils poseraient les bases d'une normalisation des relations avec Israël, ils lanceraient des négociations de paix avec Israël et ils apporteraient la sécurité pour tous les États de la région », a espéré John Kerry.
Radio-Canada
L'état juif ne cédera pas, car il ne se soucie point de sa sécurité, ni de son économie; ce n'est surtout pas les pays du golf qui sont à craindre, et c'est surtout avec la bénédiction des pays du golfe que tout baigne dans l'huile coté économie.
Encore lui, le petit Émirat, il est sur tous les fronts.
(Avis personnel )
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Les pays arabes ont accepté le principe d'un échange de territoires entre Israël et les Palestiniens, a révélé mardi le secrétaire d'État américain, John Kerry, à l'issue d'une rencontre avec quelques ministres arabes des Affaires étrangères.
Cette décision importante de la Ligue arabe sur la question palestinienne, une concession de taille, est pourtant passée sous silence. Ce n'est qu'après la rencontre des ministres arabes avec M. Kerry que la décision a été divulguée.
La dernière proposition arabe pour la paix au Proche-Orient remonte à 2002. Cette année-là, l'Arabie saoudite proposait à Israël une normalisation des relations avec les pays arabes en échange de son retrait des territoires occupés depuis juin 1967, de la création d'un État palestinien avec Jérusalem-Est pour capitale et d'un règlement « équitable et agréé » de la question des réfugiés palestiniens fondé sur la résolution 194 de l'Assemblée générale de l'ONU.
M. Kerry n'a pas tari d'éloges envers cette inflexion des pays arabes.
« Contrairement à la proposition d'origine [2002] qui ne parlait que des lignes de 1967 et de rien d'autre, ils [les pays arabes, NDLR] ont déclaré [lundi] qu'ils étaient prêts à accepter les frontières de 1967 avec des ajustements reflétant un accord mutuel sur des échanges de territoires », a expliqué le chef de la diplomatie américaine.
« C'est un très grand pas en avant », s'est félicité M. Kerry. « Je pense que c'est significatif », a-t-il insisté.
Le premier ministre et chef de la diplomatie du Qatar, Hamad ben Jassem ben Jabr Al-Thani, dont le pays préside le comité de suivi d'une initiative de paix arabe, a dit être favorable à un « échange mineur de territoires comparables et mutuellement accepté ».
Les précédentes négociations sur les frontières portaient déjà sur l'échange de territoires, qui permettrait à Israël de conserver les blocs de colonies les plus peuplés. Les Palestiniens et la Ligue arabe exigeaient qu'elles se fondent sur les lignes d'avant la guerre de 1967, une référence catégoriquement exclue par Israël.
« Si les Palestiniens et les Israéliens parviennent à un accord final, alors les 22 pays arabes et les 57 pays musulmans membres de l'Organisation de la coopération islamique seront tous d'accord : ils considéreraient que le conflit serait terminé, ils poseraient les bases d'une normalisation des relations avec Israël, ils lanceraient des négociations de paix avec Israël et ils apporteraient la sécurité pour tous les États de la région », a espéré John Kerry.
Radio-Canada
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