Âgé de 72 ans aujourd'hui, on le dit malade lui aussi, à l'image du président Bouteflika (74 ans). En ces temps troublés, il préparerait sa sortie, laissant un successeur non encore désigné mais qui n'aura certainement pas autant de pouvoir que lui. c'est pourquoi pour l'homme fort qu'il est <<puissant et invisible>> qu'il doit préparé d'abord un remplacant pour de Bouteflika. mais aussi une sortie avec les honneurs pour lui, le général Dark Vador (Toufik) va probablement se retirer avec Skywalker Bouteflika.
Il y a tout d’abord Ali Benflis. Cet ancien Premier ministre lors du premier mandat de Bouteflika, s’était déjà présenté à la présidentielle de 2004. Mais le Quotidien d’Oran voit en lui un politicien qui «a gardé l’image mauvaise d’un homme qui s’est fait avoir».
L’économiste Ahmed Benbitour ne trouve pas meilleures grâces aux yeux du Quotidien d’Oran:
«Trop mou, trop gentil. Or, les Algériens aiment les gens qui prennent le pouvoir par virilité ou par chantage ou qui le quittent par bravade ou par courage. Ou qui s'y soumettent par cupidité.»
Hocine Aït-Ahmed? «C’est la génération d’autrefois. Il représente le souvenir, mais pas l’avenir, même si les Algériens l’aiment bien»
Quant à Lamine Zéroual, qui a arrive au pouvoir en 1994 avant de démissionner en 1995, il est selon le Quotidien d’Oran, presque trop honnête pour prétendre succéder à Bouteflika. Il est, ajoute le site, «le président de tous ceux qui ne veulent pas être président, en Algérie».
Sid Ahmed Ghozali semble ne pas avoir beaucoup de chances non plus. A 76 ans, cet ancien Premier et ancien candidat aux présidentielles de 1999 et de 2004 est plutôt soupçonné d’avoir des ambitions d’utiliser sa candidature à la prochaine présidentielle comme un tremplin pour diriger une importante société d’Etat.
Mais le vrai problème, c’est que le régime des clans triangulaire algérien «ne permet pas l’émergence de figures alternatives, de nouveaux personnages ou de leaders».
Source: Slate Afrique
Il y a tout d’abord Ali Benflis. Cet ancien Premier ministre lors du premier mandat de Bouteflika, s’était déjà présenté à la présidentielle de 2004. Mais le Quotidien d’Oran voit en lui un politicien qui «a gardé l’image mauvaise d’un homme qui s’est fait avoir».
L’économiste Ahmed Benbitour ne trouve pas meilleures grâces aux yeux du Quotidien d’Oran:
«Trop mou, trop gentil. Or, les Algériens aiment les gens qui prennent le pouvoir par virilité ou par chantage ou qui le quittent par bravade ou par courage. Ou qui s'y soumettent par cupidité.»
Hocine Aït-Ahmed? «C’est la génération d’autrefois. Il représente le souvenir, mais pas l’avenir, même si les Algériens l’aiment bien»
Quant à Lamine Zéroual, qui a arrive au pouvoir en 1994 avant de démissionner en 1995, il est selon le Quotidien d’Oran, presque trop honnête pour prétendre succéder à Bouteflika. Il est, ajoute le site, «le président de tous ceux qui ne veulent pas être président, en Algérie».
Sid Ahmed Ghozali semble ne pas avoir beaucoup de chances non plus. A 76 ans, cet ancien Premier et ancien candidat aux présidentielles de 1999 et de 2004 est plutôt soupçonné d’avoir des ambitions d’utiliser sa candidature à la prochaine présidentielle comme un tremplin pour diriger une importante société d’Etat.
Mais le vrai problème, c’est que le régime des clans triangulaire algérien «ne permet pas l’émergence de figures alternatives, de nouveaux personnages ou de leaders».
Source: Slate Afrique
Commentaire