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Faisant partie désormais du paysage culturel algérien, la 14e édition du Festival culturel européen se tiendra du 10 au 30 mai à Alger, Annaba et Oran.
Devenu une tradition bien ancrée, le Festival culturel européen se veut un rendez-vous populaire, offrant une opportunité pour présenter les arts européens dans toute leur diversité. Ce rendez-vous musical se veut également un espace d’échanges inter-culturels dans un esprit festif et chaleureux à la fois. Le festival est organisé, cette année, en collaboration avec l’Etablissement arts et culture de la wilaya d’Alger et la Radio algérienne. Cette année, le festival ne se cantonnera pas au niveau de la capitale, certains concerts seront donnés à Oran et Constantine. Les grandes lignes de ce festival ont été dévoilées à la presse nationale, hier matin, à l’hôtel Sofitel, à Alger, au cours d’un point de presse animé par Son Excellence l’ambassadeur, Marek Skolil, chef de la délégation.
Le conférencier a tenu à souligner que le Festival culturel européen fait désormais partie de l’agenda culturel d’Alger. «Notre ambition est d’encourager les échanges inter-culturels entre les citoyens des deux rives de la Méditerranée. Cette année, le festival a réservé une place importante à la musique européenne. Un programme exceptionnel a ainsi été préparé par la délégation et les 16 Etats membres de l’Union européenne à travers une palette riche et variée de spectacles présentés par des artistes européens. Chants, théâtre, danse et musique jazz et ethnique seront au programme de ce rendez-vous annuel, qui se veut un espace de découvertes et d’échanges.» Ainsi, durant vingt jours, le public sera convié à assister à des spectacles de haute valeur. Un petit aperçu des ces spectacles a été donné par les services culturels des Etats membres de l’Union européenne.
La soirée inaugurale sera animée par le compositeur et musicien italien, Nicolas Conte Combo, à l’auditorium de la Radio nationale à 19h30. Le Portugal présentera, le 12 mai, à la salle Ibn Kaldoun, un concert dédié au fado. Ainsi l’artiste portugais, Gustavo, transmettra, à coup sûr, la nostalgie du fado, ajoutez à cela la joie de vivre. Le festival prévoit une soirée spéciale assurée par Maria Pomianowska et le groupe algérien Djimawi Africa. Ce concert de musique ancienne et traditionnelle, préparé par des musiciens polonais et algériens, a été créé après quelques jours de collaboration. La Wallonie Bruxelles dévoilera, le 28 mai à la salle Ibn Khaldoun, un spectacle inédit intitulé «Les Masques». Il s’agit d’une création mondiale, originale, créée à l’occasion du Festival culturel européen, à Alger. Une représentation de visages et ses métamorphoses. Le visage de Waolfraom est Mehring, maquillé par grillon et photographié dans les années 1960 par Thérèse Le Pat.
La France a programmé la chanteuse de gnawi, Souad Asla, le 20 mai à l’Institut français de Annaba, et le 22 mai à l’auditorium de la Radio nationale. Cette digne fille spirituelle de l’artiste Hasna El Becharia ne manquera pas de survolter l’assistance avec son répertoire gnawi des plus enivrants. Le 20 mai, à partir de 19h, à la salle Ibn Khaldoun, place au jazz avec Nil Berg «Cinemascope». Ce dernier est le pionnier du jazz suédois, qui active sur la scène européenne de jazz depuis la sortie du premier album de son groupe, The Stoner, en 2004. Nil Berg a créé une nouvelle musique en synchronisant les films avec la musique live.
Nacima Chabani- El Watan
Devenu une tradition bien ancrée, le Festival culturel européen se veut un rendez-vous populaire, offrant une opportunité pour présenter les arts européens dans toute leur diversité. Ce rendez-vous musical se veut également un espace d’échanges inter-culturels dans un esprit festif et chaleureux à la fois. Le festival est organisé, cette année, en collaboration avec l’Etablissement arts et culture de la wilaya d’Alger et la Radio algérienne. Cette année, le festival ne se cantonnera pas au niveau de la capitale, certains concerts seront donnés à Oran et Constantine. Les grandes lignes de ce festival ont été dévoilées à la presse nationale, hier matin, à l’hôtel Sofitel, à Alger, au cours d’un point de presse animé par Son Excellence l’ambassadeur, Marek Skolil, chef de la délégation.
Le conférencier a tenu à souligner que le Festival culturel européen fait désormais partie de l’agenda culturel d’Alger. «Notre ambition est d’encourager les échanges inter-culturels entre les citoyens des deux rives de la Méditerranée. Cette année, le festival a réservé une place importante à la musique européenne. Un programme exceptionnel a ainsi été préparé par la délégation et les 16 Etats membres de l’Union européenne à travers une palette riche et variée de spectacles présentés par des artistes européens. Chants, théâtre, danse et musique jazz et ethnique seront au programme de ce rendez-vous annuel, qui se veut un espace de découvertes et d’échanges.» Ainsi, durant vingt jours, le public sera convié à assister à des spectacles de haute valeur. Un petit aperçu des ces spectacles a été donné par les services culturels des Etats membres de l’Union européenne.
La soirée inaugurale sera animée par le compositeur et musicien italien, Nicolas Conte Combo, à l’auditorium de la Radio nationale à 19h30. Le Portugal présentera, le 12 mai, à la salle Ibn Kaldoun, un concert dédié au fado. Ainsi l’artiste portugais, Gustavo, transmettra, à coup sûr, la nostalgie du fado, ajoutez à cela la joie de vivre. Le festival prévoit une soirée spéciale assurée par Maria Pomianowska et le groupe algérien Djimawi Africa. Ce concert de musique ancienne et traditionnelle, préparé par des musiciens polonais et algériens, a été créé après quelques jours de collaboration. La Wallonie Bruxelles dévoilera, le 28 mai à la salle Ibn Khaldoun, un spectacle inédit intitulé «Les Masques». Il s’agit d’une création mondiale, originale, créée à l’occasion du Festival culturel européen, à Alger. Une représentation de visages et ses métamorphoses. Le visage de Waolfraom est Mehring, maquillé par grillon et photographié dans les années 1960 par Thérèse Le Pat.
La France a programmé la chanteuse de gnawi, Souad Asla, le 20 mai à l’Institut français de Annaba, et le 22 mai à l’auditorium de la Radio nationale. Cette digne fille spirituelle de l’artiste Hasna El Becharia ne manquera pas de survolter l’assistance avec son répertoire gnawi des plus enivrants. Le 20 mai, à partir de 19h, à la salle Ibn Khaldoun, place au jazz avec Nil Berg «Cinemascope». Ce dernier est le pionnier du jazz suédois, qui active sur la scène européenne de jazz depuis la sortie du premier album de son groupe, The Stoner, en 2004. Nil Berg a créé une nouvelle musique en synchronisant les films avec la musique live.
Nacima Chabani- El Watan