Bonjour,
Les relations sont au beau fixe entre l'Algérie et l'Iran. Cependant, notre pays entretiens une relation perdant-gagnant avec ce pays, qui profite activement de notre amitié sans rien nous apporter en contrepartie.
J'observe ces derniers temps un grand mouvement de sympathie des algériens à l'égard des iraniens. Leur cause est certes juste et leur soutiens à notre frère Bashar Al Assad est évident, mais il ne faut pas oublier pour autant le caractère anti-algérien de ce pays, qui je le rappel a toujours privilégié le maroc à l'Algérie et ne reconnait même pas la RASD.
Les mollahs sont des hypocrites qui courtisent les algériens uniquement par opportunisme.
Dans le passé, quand nous n'avions encore rien, Téhéran a sponsorisé le terrorisme chez nous, au point que notre gouvernement a du cesser toute relation diplomatique avec la dictature de Téhéran.
C'est notre président Abdel Aziz Bouteflika qui a rétabli les relations avec l'Iran. C'était l'époque ou l'Algérie était en quête de légitimité internationale après la décennie noire. Maintenant que cet objectif a été atteint, je propose de réduire nos relations avec l'Iran au strict minimum si Téhéran ne clarifie pas son jeu avec nous sur ces 3 points:
1: Téhéran doit reconnaître la RASD, et choisir son camps dans le duel qui nous oppose aux voisins pourris. J'ai l'impression que Téhéran accorde plus d'importance au makhzen qu'à l'Algérie, les mollahs nous garde simplement sous le coude pour le moment ou ils pourront étendre leur influence plus encore en Afrique du Nord.
2: Au niveau des échanges économiques Téhéran n'investit rien en Algérie mais pompe uniquement notre marché, en nous refourguant toutes sortes de babioles complètement inutiles à l'économie algérienne. Le volume des échanges entre l'Iran et l'Algérie atteint péniblement 100 millions de dollars, mais est appelé à évoluer (en notre défaveur bien sur) suite aux sanctions internationales de plus en plus lourdes contre Téhéran.
3: Téhéran doit nous faire profiter de ses avancées technologiques. A ce jour les mollahs ont toujours refusé d'impliquer les algériens dans les domaines que l'Iran maîtrise bien tels que l'électronique ou les technologies sensibles. Tout juste consent-il à nous vendre ses voitures bas de gamme Iran Khodro, et peut-être à les produire chez nous. A ce compte donc, autant dealer avec les français plutôt qu'avec les iraniens.
De ces 3 points il en ressort un constat: le gouvernement algérien mène une politique étrangère dogmatique, qui va à l'encontre des intérêts nationaux. L'intérêt de fricotter avec des pays aussi infréquentables que l'Iran, c'est de bénéficier de transferts de technologies sensibles en contrepartie de notre soutiens. Or l'Iran ne nous apporte rien de ce côté la. Donc autant dire qu'on se mouille pour rien avec eux.
Quand donc notre gouvernement va-t-il se battre pour l'Algérie? Notre amitié n'est pas gratuite! Celui qui veut accéder au marché algérien, il doit nous apporter quelque chose en contrepartie!
Les relations sont au beau fixe entre l'Algérie et l'Iran. Cependant, notre pays entretiens une relation perdant-gagnant avec ce pays, qui profite activement de notre amitié sans rien nous apporter en contrepartie.
J'observe ces derniers temps un grand mouvement de sympathie des algériens à l'égard des iraniens. Leur cause est certes juste et leur soutiens à notre frère Bashar Al Assad est évident, mais il ne faut pas oublier pour autant le caractère anti-algérien de ce pays, qui je le rappel a toujours privilégié le maroc à l'Algérie et ne reconnait même pas la RASD.
Les mollahs sont des hypocrites qui courtisent les algériens uniquement par opportunisme.
Dans le passé, quand nous n'avions encore rien, Téhéran a sponsorisé le terrorisme chez nous, au point que notre gouvernement a du cesser toute relation diplomatique avec la dictature de Téhéran.
C'est notre président Abdel Aziz Bouteflika qui a rétabli les relations avec l'Iran. C'était l'époque ou l'Algérie était en quête de légitimité internationale après la décennie noire. Maintenant que cet objectif a été atteint, je propose de réduire nos relations avec l'Iran au strict minimum si Téhéran ne clarifie pas son jeu avec nous sur ces 3 points:
1: Téhéran doit reconnaître la RASD, et choisir son camps dans le duel qui nous oppose aux voisins pourris. J'ai l'impression que Téhéran accorde plus d'importance au makhzen qu'à l'Algérie, les mollahs nous garde simplement sous le coude pour le moment ou ils pourront étendre leur influence plus encore en Afrique du Nord.
2: Au niveau des échanges économiques Téhéran n'investit rien en Algérie mais pompe uniquement notre marché, en nous refourguant toutes sortes de babioles complètement inutiles à l'économie algérienne. Le volume des échanges entre l'Iran et l'Algérie atteint péniblement 100 millions de dollars, mais est appelé à évoluer (en notre défaveur bien sur) suite aux sanctions internationales de plus en plus lourdes contre Téhéran.
3: Téhéran doit nous faire profiter de ses avancées technologiques. A ce jour les mollahs ont toujours refusé d'impliquer les algériens dans les domaines que l'Iran maîtrise bien tels que l'électronique ou les technologies sensibles. Tout juste consent-il à nous vendre ses voitures bas de gamme Iran Khodro, et peut-être à les produire chez nous. A ce compte donc, autant dealer avec les français plutôt qu'avec les iraniens.
De ces 3 points il en ressort un constat: le gouvernement algérien mène une politique étrangère dogmatique, qui va à l'encontre des intérêts nationaux. L'intérêt de fricotter avec des pays aussi infréquentables que l'Iran, c'est de bénéficier de transferts de technologies sensibles en contrepartie de notre soutiens. Or l'Iran ne nous apporte rien de ce côté la. Donc autant dire qu'on se mouille pour rien avec eux.
Quand donc notre gouvernement va-t-il se battre pour l'Algérie? Notre amitié n'est pas gratuite! Celui qui veut accéder au marché algérien, il doit nous apporter quelque chose en contrepartie!
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