liberté
libre est celui qui brise les chaines
qui ose vivre quand les autres le veulent pour mort
celui qui ne se déchaine
quand son être entier vibre de la colère est de ses torts
torts
à tort ou à raisons se déchainent les passions
donnant vie aux ruissellements salés mensonge de l'évasion
qui le temps d'un songe élève au rang des anges
ne dure pas assez pour oublier, assez pour ne plus pleurer
pleurer
ils le font tous quand ils le veulent
mais ne le font guère pour les autres
jadis peuplant la terre, c'était leurs aïeules
finirent sous terre et font subir la routine aux apôtres
apôtres
de cette vie je n'en fus jamais un
me dressant contre le souffle du temps
contre la lourdeur du vent
contre le courant des volonté uni-formatrices
unis
l'union fait la force
fut t-elle de force
fut t-elle atroce
force et justice trahissent ceux qui tentent l'amorce
amorce
mécanisme aux rouages indifférents
menant implacablement à la pèrte
trop longue ou trop courte mais toujours a regrets
les marchand de promesses se réjouissent quand l'heure est aux souhaits
souhait
je souhaite la paix dans le monde
mais le bonheur de certains n’est-il pas le malheur des autres?
tant d’hypocrisie dans un souhait je m'en suis rendu compte
le jour où la joie fit couler des larmes, où la peine fit reluire des dents
dent
j'en ai plein contre les autres
contre le pays et ceux qui le portent
contre ce cancre agresseur de bijoutier
contre ceux qui ont commenté l'info sur la télé du jour
jour
et nuit je tente en vain de ne pas oublier
que ce ne sont pas les temps qui changent mes les cœurs
demandez au mien mais j'ai peur qu'il ne mente
après tout de tout il n'assume que de quoi il se vante
vante ou vente
après tout les mots n'ont plus de sens
un bonjour où un meurt en silence
les bouche disents mais les yeux démentent
apprenez que la vérité n'arrange les choses que quand ceux qui l'écoutent la déforment.
votre serviteur qui ne prête guère de mérite aux rimes, qui pense qu'il est triste parce qu'il sait qu'il n'est pas heureux, en ces nuits de vide, les pensées affluent mais les doigts ne suivent plus comme paralysés par la laideur qui entour celui qui les agite...ils voient du beau quand l'absurde atteint des sommets.
libre est celui qui brise les chaines
qui ose vivre quand les autres le veulent pour mort
celui qui ne se déchaine
quand son être entier vibre de la colère est de ses torts
torts
à tort ou à raisons se déchainent les passions
donnant vie aux ruissellements salés mensonge de l'évasion
qui le temps d'un songe élève au rang des anges
ne dure pas assez pour oublier, assez pour ne plus pleurer
pleurer
ils le font tous quand ils le veulent
mais ne le font guère pour les autres
jadis peuplant la terre, c'était leurs aïeules
finirent sous terre et font subir la routine aux apôtres
apôtres
de cette vie je n'en fus jamais un
me dressant contre le souffle du temps
contre la lourdeur du vent
contre le courant des volonté uni-formatrices
unis
l'union fait la force
fut t-elle de force
fut t-elle atroce
force et justice trahissent ceux qui tentent l'amorce
amorce
mécanisme aux rouages indifférents
menant implacablement à la pèrte
trop longue ou trop courte mais toujours a regrets
les marchand de promesses se réjouissent quand l'heure est aux souhaits
souhait
je souhaite la paix dans le monde
mais le bonheur de certains n’est-il pas le malheur des autres?
tant d’hypocrisie dans un souhait je m'en suis rendu compte
le jour où la joie fit couler des larmes, où la peine fit reluire des dents
dent
j'en ai plein contre les autres
contre le pays et ceux qui le portent
contre ce cancre agresseur de bijoutier
contre ceux qui ont commenté l'info sur la télé du jour
jour
et nuit je tente en vain de ne pas oublier
que ce ne sont pas les temps qui changent mes les cœurs
demandez au mien mais j'ai peur qu'il ne mente
après tout de tout il n'assume que de quoi il se vante
vante ou vente
après tout les mots n'ont plus de sens
un bonjour où un meurt en silence
les bouche disents mais les yeux démentent
apprenez que la vérité n'arrange les choses que quand ceux qui l'écoutent la déforment.
votre serviteur qui ne prête guère de mérite aux rimes, qui pense qu'il est triste parce qu'il sait qu'il n'est pas heureux, en ces nuits de vide, les pensées affluent mais les doigts ne suivent plus comme paralysés par la laideur qui entour celui qui les agite...ils voient du beau quand l'absurde atteint des sommets.
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