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Les entreprises confrontées au boom des faux diplômes

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  • Les entreprises confrontées au boom des faux diplômes

    Sur le papier, Michaël avait tout pour être embauché dans cette grande banque française. Sur son CV figurait un master spécialisé en finance et trésorerie obtenu en 2007 dans l'une des plus prestigieuses écoles de commerce française. La direction des ressources humaines a toutefois pris la précaution de contrôler son diplôme auprès de Verifdiploma. Cette société a lancé, en partenariat avec les grandes écoles et les universités, un service permettant aux recruteurs de vérifier, l'authenticité d'un diplôme, moyennant 100 euros.

    "Dans la liste officielle des diplômés, Michäel ne figurait nulle part. Nous l'avons recontacté afin qu'il nous présente son diplôme", raconte Emmanuel Chomarat, président du directoire et fondateur de Verifdiploma. Le jeune homme ne s'est pas démonté et a apporté son diplôme. Un faux grossier.

    Le problème des faux diplômes, a resurgi avec l'affaire de la fausse agrégation du grand rabbin de France, Gilles Bernheim. Mais il ne date pas d'hier. Plusieurs cas ont été médiatisés. Ils ne représentent qu'une petite partie de cette habitude malhonnête d'enjoliver son CV, jusqu'à s'octroyer des diplômes que l'on n'a pas. En 2005, Jacques Labeyrie avait été choisi à l'unanimité par le conseil d'administration pour diriger l'Ecole centrale de Lyon au vu d'un cursus prestigieux : Normale-sup, agrégation et doctorat en mathématiques. L'homme était certes normalien... mais diplômé d'une école normale d'instituteurs !
    Début 2013, une fausse professeure de droit et d'économie a été démasquée. Elle avait détourné le parcours universitaire et les diplômes d'une avocate pour obtenir un emploi de vacataire en économie et gestion au centre de formation d'apprentis de l'industrie de Reignac (Charente). Elle dispensait aussi des cours de droit en classe de terminale professionnelle et à des étudiants en BTS alors qu'elle ne possédait qu'un bac pro obtenu en 1990.

    Plus récemment, un homme qui se faisait passer pour architecte a été démasqué par l'un de ses clients. Il sera jugé en juin pour exercice illégal de la profession. Entre 2009 et 2013, il a réalisé 47 édifices dont des HLM, des écoles et l'extension de l'Ecole polytechnique à Mantes-la-Jolie et à Limay

    titrepresse.com
    Dernière modification par bonale, 13 mai 2013, 20h15.

  • #2
    c'est pourtant facile à vérifier

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    • #3
      parfois quand on envoient des lettres de motivation c'est à se demander si ils les lisent...les employeurs devraient accorder plus d'importance en ce qui concerne la motivation des demandeurs d'emploi

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      • #4
        lettres types trouvées sur le net la plupart du temps

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        • #5
          tous le monde se fiche des diplômes , des compétences, ........


          tout le monde sait que le poste c'est sur le relationnel...
          Mr NOUBAT

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          • #6
            tout le monde sait que le poste c'est sur le relationnel...
            Ou sur "avoir la grande gueule..."pays à la traine...

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            • #7
              Si c'était sur les compétences, le changement serait radical
              Mr NOUBAT

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