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Un centre d’écoute prochainement installé
L’association des femmes cadres de Béjaïa « AFAC » a organisé, hier à la maison de la culture, une journée de sensibilisation et de réflexion sur la violence à l’égard des femmes.
Pour mener à bien cette initiative sur le fléau qui frappe la société algérienne, en particulier les femmes, qui sont la composante la plus vulnérable, l’association qui œuvre de plus en plus dans les réseaux sociaux locaux et le mouvement associatif, notamment, celui des femmes rurales, des personnes âgées et les associations estudiantines, qu’elle est par ailleurs en train d’encadrer, collabore avec AVIF du réseau Wassila d’Alger, qui a capitalisé plus d’expérience dans le domaine. Le réseau Wassila, qui se prépare à installer à Béjaïa un centre d’écoute et de prise en charge des femmes en détresse, est représentée à cette journée de sensibilisation par sa présidente, sa directrice du centre d’écoute et sa vice-présidente, Mme Louiza Ait Hamou, qui a présenté un documentaire qui s’intitule « Histoire de femmes ». Le public ciblé, indique Mme Tlemçani, présidente de d’association, c’est toute la société algérienne, notamment les hommes qui sont un élément important dans notre démarche de mise en place des mécanismes et des outils pour mieux lutter contre les fléaux sociaux, comme les violences conjugales et les violences faites aux femmes. « Les objectifs visés sont, entre autres, de dénoncer les lacunes que comportent certaines lois relatives à la protection de la femme, d’une part, et d’autre part, de sortir avec des textes qui vont permettre de demander la révision de ces lois », souligne Mme Tlemçani.
B. Mouhoub- La dépêche de kabylie
L’association des femmes cadres de Béjaïa « AFAC » a organisé, hier à la maison de la culture, une journée de sensibilisation et de réflexion sur la violence à l’égard des femmes.
Pour mener à bien cette initiative sur le fléau qui frappe la société algérienne, en particulier les femmes, qui sont la composante la plus vulnérable, l’association qui œuvre de plus en plus dans les réseaux sociaux locaux et le mouvement associatif, notamment, celui des femmes rurales, des personnes âgées et les associations estudiantines, qu’elle est par ailleurs en train d’encadrer, collabore avec AVIF du réseau Wassila d’Alger, qui a capitalisé plus d’expérience dans le domaine. Le réseau Wassila, qui se prépare à installer à Béjaïa un centre d’écoute et de prise en charge des femmes en détresse, est représentée à cette journée de sensibilisation par sa présidente, sa directrice du centre d’écoute et sa vice-présidente, Mme Louiza Ait Hamou, qui a présenté un documentaire qui s’intitule « Histoire de femmes ». Le public ciblé, indique Mme Tlemçani, présidente de d’association, c’est toute la société algérienne, notamment les hommes qui sont un élément important dans notre démarche de mise en place des mécanismes et des outils pour mieux lutter contre les fléaux sociaux, comme les violences conjugales et les violences faites aux femmes. « Les objectifs visés sont, entre autres, de dénoncer les lacunes que comportent certaines lois relatives à la protection de la femme, d’une part, et d’autre part, de sortir avec des textes qui vont permettre de demander la révision de ces lois », souligne Mme Tlemçani.
B. Mouhoub- La dépêche de kabylie