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Amar Ghoul: Ne lions pas la maladie du Président à la présidentielle

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  • Amar Ghoul: Ne lions pas la maladie du Président à la présidentielle

    Le président du parti Tadjamoua Amel El Djazaïr (TAJ), Amar Ghoul, a désa- pprouvé hier ceux qui focalisent leur attention sur la maladie du président de la République.

    Il déplore que cette question continue de faire couler beaucoup d'encre et nourrir les débats. Il est inconcevable d'exploiter la maladie du Président, le plus grand symbole de l'Etat comme un «fonds de commerce», indique-t-il.

    «Pourquoi s'entête -t-on à lier l'état de santé du président à la présidentielle de 2014?» s'est-il demandé devant une assistance composée de militants et cadres du parti. Il accuse implicitement les éventuels candidats à l'investiture suprême qui se seraient saisis de ce dossier pour se positionner en prévision de ces joutes. «Celui qui souhaite se présenter à la présidentielle qu'il le fasse, puisque c'est un droit constitutionnel. Mais il faut s'abstenir de créer au passage une discorde politique qui sera inutile pour le pays», a-t-il déclaré. Sans donner plus de détails, il affirme qu'il n'y a absolument aucun lien entre la maladie du président et l'importante compétition électorale de 2014.

    En tous cas, M.Ghoul n'a pas dit plus sur cette maladie. Il s'est référé aux déclarations de Abdelmalek Sellal faites récemment lors de son passage à Oran. «Le Premier ministre nous a rassurés, il ne faut plus tourner autour du pot», lance M.Ghoul, pour qui une telle attitude face à la maladie d'autrui est indigne d'un musulman. «Il ne nous reste qu'à souhaiter au Président un prompt rétablissement», ajoute-t-il. Aux yeux d'Amar Ghoul «on est bien capables de prendre part à cette compétition sans s'entre-déchirer. Pour peu que cela soit fait sur la base de programmes, politique, économique et social». Outre la maladie du Président, M.Ghoul cite la corruption qui suscite, selon lui, «un climat politique délétère et des règlements de comptes». Le phénomène de la corruption est «un autre dossier dont on s'est emparé pour se venger et régler des comptes politiques», souligne-t-il en faisant allusion au scandale de l'autoroute Est-Ouest, dont les révélations concernant l'implication des cadres et responsables du ministère des Travaux publics n'ont jamais cessé. Dans ce contexte, le président de TAJ indique qu' «on n'a pas le droit d'exploiter ce dossier pour des besoins politiciens, pour des objectifs étroitement personnels et dans l'unique but de se positionner».
    Toute affaire de corruption «relève uniquement des compétences de la justice», appuie-t-il. Avant d'affirmer que son parti est un fervent défenseur de la lutte contre ce fléau, mais dans le cadre des procédures de la justice. «C'est à cette institution là qu'échoit le rôle de juger ou rendre justice», conclut-il.

    Mohamed BOUFATAH - L'expression

  • #2
    Toute affaire de corruption «relève uniquement des compétences de la justice», appuie-t-il. Avant d'affirmer que son parti est un fervent défenseur de la lutte contre ce fléau, mais dans le cadre des procédures de la justice. «C'est à cette institution là qu'échoit le rôle de juger ou rendre justice»,
    ...dit le gros voleur

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