Il se trouve actuellement en France : Hichem Aboud pose ses conditions pour répondre à la convocation du procureur
TSA - Hadjer Guenanfa
Le directeur de publication des quotidiens « Mon Journal » et « Djaridati » se trouve actuellement en France, après les poursuites judiciaires annoncées par le parquet général d’Alger à son encontre.
« J’attends l’annonce du décès de Bouteflika pour rentrer (en Algérie, ndlr) ou l’annonce de la mise en examen de Chakib Khelil, de Amar Ghoul, de Saâdani et toute la clique des corrompus », indique-t-il, ce lundi 20 mai, dans une déclaration à TSA.
Les deux journaux dirigés par M. Aboud ont été interdits de parution, dimanche, par le ministère de la Communication, à cause d’un dossier sur la détérioration de l’état de santé du président Bouteflika, selon lui. Une version qui a été démentie par le ministère de la Communication. Le parquet général d'Alger a ordonné, par la suite, des poursuites judiciaires contre Hichem Aboud pour « atteinte à la sécurité de l'Etat, à l'unité nationale et à la stabilité et au bon fonctionnement des institutions » après des déclarations faites à des chaînes de télévision étrangères.
Les deux quotidiens de Hichem Aboud sont parus aujourd’hui, selon lui. « J’ai une équipe qui est sur place », dit-il. Avant d’ajouter : « Ils ont été envoyés à la Présidence où ils sont restés pendant trois heures avant l’impression. »
TSA - Hadjer Guenanfa
Le directeur de publication des quotidiens « Mon Journal » et « Djaridati » se trouve actuellement en France, après les poursuites judiciaires annoncées par le parquet général d’Alger à son encontre.
« J’attends l’annonce du décès de Bouteflika pour rentrer (en Algérie, ndlr) ou l’annonce de la mise en examen de Chakib Khelil, de Amar Ghoul, de Saâdani et toute la clique des corrompus », indique-t-il, ce lundi 20 mai, dans une déclaration à TSA.
Les deux journaux dirigés par M. Aboud ont été interdits de parution, dimanche, par le ministère de la Communication, à cause d’un dossier sur la détérioration de l’état de santé du président Bouteflika, selon lui. Une version qui a été démentie par le ministère de la Communication. Le parquet général d'Alger a ordonné, par la suite, des poursuites judiciaires contre Hichem Aboud pour « atteinte à la sécurité de l'Etat, à l'unité nationale et à la stabilité et au bon fonctionnement des institutions » après des déclarations faites à des chaînes de télévision étrangères.
Les deux quotidiens de Hichem Aboud sont parus aujourd’hui, selon lui. « J’ai une équipe qui est sur place », dit-il. Avant d’ajouter : « Ils ont été envoyés à la Présidence où ils sont restés pendant trois heures avant l’impression. »
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