Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Un suisse se lance dans l’envoi de satellites low-cost depuis le Maroc

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Un suisse se lance dans l’envoi de satellites low-cost depuis le Maroc

    Une nouvelle société aérospatiale suisse, baptisée Swiss Space Systems-S3, entend «démocratiser» l’accès à l’espace en proposant le lancement de petits satellites pour 10 millions de francs suisses (8,1 millions d’euros), un prix environ quatre fois moins cher que ceux proposés sur le marché. Pour cela, elle a signé en mars dernier des accords avec le Maroc pour la construction de « spaceports » sur le territoire national. Le Royaume financera l’infrastructure qui permettra d’accueillir S3. Il bénéficiera ainsi d’un transfert de technologies au niveau de la fabrication de ses propres satellites. Les premiers lancements tests seront effectués d’ici à fin 2017, selon la société qui dispose d’un budget global de 225 millions de francs suisses. Pour le fondateur, propriétaire et dirigeant de Swiss Space Systems-S3, Pascal Jaussi, ce calendrier «ambitieux» sera rendu possible grâce aux partenariats technologiques mis en place avec plusieurs «acteurs majeurs de l’aérospatiale comme l’Agence Spatiale Européenne (ESA), Dassault Aviation, le Von Karman Institute et Sonaca».

    challenge.ma

  • #2
    C'est nouveau ,la démocratisation d'explorer l'espace ou espionner les voisins ,à bas cout ?

    Commentaire


    • #3
      Youpi bientôt un remake de ET à la sauce marocaine!
      PS: ne la corser pas trop au safran ça me retourne l'estomac

      Commentaire


      • #4
        Génial !

        A ce prix là, beaucoup d'algériens auront la capacité d'en acheter un ?!

        Mais çà servira à quoi au fait ?!

        Commentaire


        • #5
          Depuis quand que la suisse posséde des lanceurs de satellites?

          Commentaire


          • #6
            nedromi
            Depuis quand que la suisse posséde des lanceurs de satellites?
            Depuis que l'argent du hachiche arrive en compte-gouttes,ils vont proposer un nouveau mode de transport du chocolat royale a partir du royaume enchanté.

            Le cartel de la cocaïne sud américain utilise des mini sous-marins , le Royaume enchanté pourra lui utiliser des mini satellites .

            La technologie spaciale se démocratise
            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

            Commentaire


            • #7
              Citation :

              Le Suisse S3 se lance dans le vol suborbital

              Publié le 14/03/2013 à 09:17

              La société veut réduire les coûts de lancement des petits satellites et démocratiser l'accès à l'espace. Le premier vol d'essai de la navette Soar, développée avec des partenaires, est prévu en 2017.

              La ville suisse de Payerne est bien partie pour devenir le QG des programmes aérospatiaux innovants européens. Située dans le canton de Vaud, elle accueille déjà sur son aérodrome militaire le hangar du Solar Impulse, l'avion à propulsion solaire du tandem Bertrand Piccard-André Borschberg. Swiss Space Systems (S3), fondé fin 2012 par l'ingénieur et pilote d'essai Pascal Jaussi, s'y est aussi installé et prévoit de construire, à un jet de pierre, un spatioport d'ici à 2015 pour sa future navette suborbitale baptisée Soar (Sub-Orbital Aircraft Re-Usable). Le premier vol d'essai est prévu en 2017.

              «Notre navette a pour vocation principale de lancer des petits satellites, un marché où la demande est freinée par les coûts prohibitifs, et de démocratiser l'accès à l'espace pour l'homme grâce à un concept permettant d'obtenir des coûts de lancement jusqu'à quatre fois inférieurs à ceux du marché aujourd'hui», a expliqué Pascal Jaussi lors de la présentation de S3, mercredi 13 mars à Payerne. «La navette s'appelle Soar, ce qui signifie monter en flèche en anglais. L'expression “soaring together” veut dire s'élever ensemble», précise le patron suisse, qui ambitionne de proposer des tirs à moins de 10 millions de francs suisses (8,12 millions d'euros).

              Ce projet de 225 millions de francs suisses n'aurait pas pu se concrétiser sans l'apport de plusieurs partenaires, notamment l'Agence spatiale européenne (ESA), l'université de Stanford, le prestigieux Von Karman Institute, les industriels britannique Meggitt, belge Sonaca et français Dassault Aviation (le groupe Dassault est propriétaire du Figaro. NDLR). «Swiss Space Systems bénéficiera du savoir-faire de notre société dans le domaine de la conception de véhicules aérospatiaux et de l'intégration de systèmes complexes», souligne le constructeur français dans un communiqué.

              L'espace pour tous

              La navette a pour vocation première de placer des satellites (soit un seul de 250 kg maximum ou une grappe de 10, 20 ou 50 micro-satellites de type Cubsat) en orbite basse (de 600 à 800 km de la Terre). «Nous avons déjà signé un contrat pour quatre lancements avec le Von Karman Institute à partir de 2018», précise Pascal Jaussi. Le marché est prometteur. Il pourrait tripler à plusieurs centaines de satellites par décennie. La seule ESA, par exemple, prévoit 50 lancements de satellites de type Cubsat d'ici à 2020, contre 10 à 20 ces cinq dernières années.

              La seconde vocation de Soar sera le vol habité suborbital - à 100 km d'altitude à la frontière entre l'atmosphère et l'espace. S3 veut «multiplier le nombre d'astronautes» et prône «l'accès à l'espace pour tous». La Terre a déjà été *observée de très haut par 500 à 550 astronautes, mais les experts estiment qu'on pourrait multiplier ce nombre par 10 et même par 100. Cela, en baissant drastiquement le prix du billet.

              À cet effet, S3 introduit deux éléments réutilisables - l'avion et la navette - sur les trois (avec l'étage supérieur) que compte le système de lancement. Après maintenance, ils peuvent repartir en mission. Concrètement, un Airbus A300 transportera sur son dos la navette Soar jusqu'à 10.000 mètres d'altitude, d'où elle sera propulsée à 80 km de la Terre. Ensuite, son étage supérieur prendra le relais afin de placer les satellites en orbite.

              Autre source d'économie, la capacité d'interrompre une mission sans rien perdre: «À 10.000 mètres, on peut décider de ne pas lancer la navette ; à 80 km, de ne pas larguer l'étage supérieur avec les satellites, explique le président de S3. La navette américaine était réutilisée par l'Air Force à intervalles irréguliers. Nous voulons pousser le concept plus loin afin qu'il soit rentable. Et introduire une cadence quasi industrielle en produisant entre 2 à 5 navettes par an, en installant un spatioport par continent et en réalisant une mission par mois.» La Malaisie et le Maroc, partenaires de S3, devraient accueillir un spatioport.


              Le figaro



              Swiss Space Systems (S3)








              Une concurrence directe au futur lanceur ‘LauncherOne (Virgin Galactic)’ des UAE. Avec un système qui est dans sa structure d'ensemble tout de même beaucoup moins modulable.

              Dernière modification par Adama, 23 mai 2013, 03h13.

              Commentaire


              • #8
                Ce projet de 225 millions de francs suisses n'aurait pas pu se concrétiser sans l'apport de plusieurs partenaires.................................................. .................................................. .................................................. .................................................. .........
                spatioport d'ici à 2015 pour sa future navette suborbitale baptisée Soar (Sub-Orbital Aircraft *Re-Usable). Le premier vol d'essai est prévu en 2017.
                .
                Le X-20 Dyna-Soar N 1 est un programme mené par l'United States Air Force visant au développement d'une navette spatiale capable d'effectuer un ensemble de missions incluant la reconnaissance, le bombardement, le sauvetage d'astronaute, la maintenance de satellites et le sabotage de satellites ennemis. Le programme, dont le coût total est à l'époque de 660M USD (4,73Md USD actuels), est lancé le 24 octobre 1957 et est abandonné le 10 décembre 1963 alors même que débute la production du premier prototype.
                "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                Commentaire


                • #9
                  Soar (Sub-Orbital Aircraft Re-Usable)… Oui et alors ?

                  Ceci (Soar de S3) est clairement un programme avant tout exclusivement européen avec un savoir-faire propre à la fois de l’Agence spatiale européenne (ESA), Sonaca et Dassault Aviation sur fond quasi-privé. Qui n’est en fait que le prolongement des anciens projets avortés ‘Hermes’ (navette spatiale européenne) ainsi que ‘Phoenix RLV’ tous deux faute de budget suffisant.

                  Qui servira, très certainement, de socle parfait d’expérimentation/validation croisées avec ceux réalisées en parallèle par l’Intermediate eXperimental Vehicle (IXV) dans le cadre du ‘Future Launcher Preparatory Programme (FLPP)’ à la mise au point des lanceurs de toutes nouvelles générations européens réutilisables.

                  Commentaire


                  • #10
                    Swiss Space Systems SA est une compagnie suisse fondée en 2012 à Payerne Suisse

                    Objectif de Swiss Space Systems S3 est de développer, construire, certifi est de démocratiser l’accès à l’espace en permettant à des marchés émergeants, des pays, mais aussi des universités et des instituts de recherche de réaliser ce qui n’était jusqu’alors pas possible pour la plupart d’entre eux, à savoir lancer leurs propres satellites

                    Nos partenaires et conseillers vont nous apporter un savoir-faire incomparable, ainsi que les meilleures technologies


                    La société emploie actuellement 25 collaborateurs et son budget global est d’environ 250 millions de francs suisses.



                    .

                    Commentaire


                    • #11
                      MEK
                      La société emploie actuellement 25 collaborateurs et son budget global est d’environ 250 millions de francs suisses.
                      Merci MEK pour rappeler a notre amis FILS de la TERRE comment un ci petit budget peut réussir la ou des géant Américains et Européens ont échoués ?
                      "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                      Commentaire


                      • #12
                        ^^

                        Ce concept totalement novateur a été initié par l’appareil ‘White Knight’ de Scaled Composites qui en a démontré la viabilité commerciale.

                        Illustrant que cela ne nécessitait pas autant d’argent que les lanceurs fusés dit classiques.

                        L’appareil est entièrement autonome et ne requière aucune intervention humaine. Lorsqu’il aura effectué son largage de satellite à l’altitude requise. Il redescendra tout seul à la manière d’un simple planeur.

                        La compagnie privé spatial ‘SpaceX’ avec son lanceur moyen ‘Falcon 9’ est en mesure d’envoyer une cargaison de charge utile allant jusqu’à 6 tonnes en orbite basse et plus de 2 tonnes pour la station spatiale porté par son ‘vaisseau spatial Dragon’ pour un budget de seulement 381 millions $ - R&D et premier lancement - de la part de la NASA. Selon un contrat de 1,6 milliard de dollars avec la Nasa, SpaceX effectuera au total ‘douze missions de fret’ à l'ISS. Et contrairement aux autres véhicules cargo ravitaillant la SSI, comme les Progrès russes ou les ATV européens, la capsule Dragon n'est pas détruite en brûlant dans l'atmosphère terrestre à la fin de la mission.

                        Là où l’ancienne navette spatiale exigée la modique somme de 1 milliard et demi de dollar par vol.

                        Virgin Galactic a dépensé environ 200 millions de dollars pour la mise au point complète de son projet pour les véhicules ‘White Knight Two’ et ‘SpaceShip Two’. Il en faut 100 de plus pour ‘Launcher One’, son lanceur de satellites.



                        ...
                        Dernière modification par Adama, 23 mai 2013, 20h39.

                        Commentaire


                        • #13
                          Le titre me fait rire déjà c'est quoi un satellite low cost il fait la moitié du chemin et il rentre ?

                          Commentaire


                          • #14
                            Memelius

                            quand on dis "voyage en avion low cost", ça ne veut pas dire que tu fait la moitié du chemin

                            Commentaire


                            • #15
                              Je rigole, mais c'est pas la même technologie et les mêmes exigences non plus, les voyages low cost quand t'arrives ... y a intérêt à manger avant et à ne pas mesurer plus d'1m60

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X