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L’UGTA lance le débat sur le statut de l’infirmier en psychiatrie

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  • L’UGTA lance le débat sur le statut de l’infirmier en psychiatrie

    Dans une déclaration rendue publique par l’Union générale des travailleurs algériens, par le biais de son conseil syndical, au niveau de l’EHS Oued Aïssi, intitulée « Garder ou soigner ? », les paramédicaux de ce secteur s’interrogent, après un constat des plus inquiétants, sur « le statut de l’infirmier en psychiatrie et ses tâches au sein des structures de psychiatrie ».

    Les syndicalistes lancent ainsi le débat, en formulant plusieurs questions : « Quelles sont les tâches de l’infirmier en psychiatrie ? Quels sont ses outils de travail ? Quel est son domaine d’influence ? Comment lui assurer une protection contre l’agressivité des malades mentaux ? Combien d’heures de travail par semaine peut-il supporter (vu la spécificité de ce secteur)? Où se situe la responsabilité pénale de tout infirmier, en particulier dans les services de la psychiatrie ?... ».

    Selon les syndicalistes de cette profession, les paramédicaux évoluant dans des hôpitaux psychiatriques ont un effectif très réduit, composé essentiellement de femmes sans aucune protection contre les malades agressifs, avec un nombre surélevé de malades. (à L’E.H.S Oued Aïssi, 75 malades pour 06 infirmiers en moyennes, plus de la moitié sont des femmes). Ils déclarent, par ailleurs : « La remise en question de nos hôpitaux, fonctionnant hors du temps, et la réhabilitation des « anges » doivent se mettre en marche. Les paramédicaux ont besoin de progresser, ils ont besoin de formations complémentaires, d’un cadre de travail sécurisé et serein, d’un champ d’action élargi et d’un statut spécifique. Un nouveau plan de santé doit voir le jour ».

    Devant cet état de fait qui dure depuis trop longtemps et qui a tendance à perdurer, le conseil syndical invite toutes les forces vives du secteur de la santé à réagir et à participer à ce débat, afin d’apporter les solutions adéquates.

    La Dépêche de kabylie

  • #2
    à Oran côté Sidi Chami ce n'est guère mieux

    urgences psy ou hôpitaux sont une galère pour le personnel soignant

    Commentaire

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