«Faire de la culture une activité génératrice de revenu et d'exploiter le haut potentiel du riche patrimoine culturel du Royaume», le recteur de l'Institut royal de la culture amazighe
Le Maroc a accompli d'importants progrès en matière de gestion de la diversité culturelle avec la nouvelle Constitution qui prône la promotion de toutes les cultures et langues nationales, a affirmé mercredi à Rabat, le recteur de l'Institut royal de la culture amazighe (IRCAM), Ahmed Boukous.
Intervenant dans le cadre d'une table ronde organisée à l'occasion de la journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et pour le développement, Boukous a rappelé les grands chantiers ouverts par la nouvelle Constitution en déclarant l'amazighe comme langue officielle à côté de l'Arabe et en insistant sur la préservation du Hassani et la protection des autres expressions culturelles et des parlers pratiqués dans le Royaume.
«La diversité culturelle est un levier de développement économique, intellectuel, éthique, et spirituel», a relevé à cet égard Boukous, rappelant que le défi pour le Maroc est de faire de la culture une activité génératrice de revenu et d'exploiter le haut potentiel du riche patrimoine culturel du Royaume.
Placée sous le thème «La diversité culturelle et linguistique au Maroc», la table ronde a porté sur la présentation d'exposés abordant des questionnements relatifs à la migration, la diversité linguistique et la place de l'Amazighe dans la scène linguistique nationale.
Proclamée par l'Assemblée générale des Nations unies en décembre 2002, la Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et pour le développement est célébrée le 21 mai. Elle vise à offrir une opportunité de promotion de la culture dans sa diversité et dans toutes ses formes : patrimoine matériel et immatériel, industries créatives, biens et services. *
LeMatin ma
Le Maroc a accompli d'importants progrès en matière de gestion de la diversité culturelle avec la nouvelle Constitution qui prône la promotion de toutes les cultures et langues nationales, a affirmé mercredi à Rabat, le recteur de l'Institut royal de la culture amazighe (IRCAM), Ahmed Boukous.
Intervenant dans le cadre d'une table ronde organisée à l'occasion de la journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et pour le développement, Boukous a rappelé les grands chantiers ouverts par la nouvelle Constitution en déclarant l'amazighe comme langue officielle à côté de l'Arabe et en insistant sur la préservation du Hassani et la protection des autres expressions culturelles et des parlers pratiqués dans le Royaume.
«La diversité culturelle est un levier de développement économique, intellectuel, éthique, et spirituel», a relevé à cet égard Boukous, rappelant que le défi pour le Maroc est de faire de la culture une activité génératrice de revenu et d'exploiter le haut potentiel du riche patrimoine culturel du Royaume.
Placée sous le thème «La diversité culturelle et linguistique au Maroc», la table ronde a porté sur la présentation d'exposés abordant des questionnements relatifs à la migration, la diversité linguistique et la place de l'Amazighe dans la scène linguistique nationale.
Proclamée par l'Assemblée générale des Nations unies en décembre 2002, la Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et pour le développement est célébrée le 21 mai. Elle vise à offrir une opportunité de promotion de la culture dans sa diversité et dans toutes ses formes : patrimoine matériel et immatériel, industries créatives, biens et services. *
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