la Banque mondiale se dit disposée à prêter main forte aux différents programmes de modernisation devant permettre à l’Algérie de se libérer graduellement du carcan des hydrocarbures.
Les bases de cette démarche remontent, faut-il le rappeler, à un partenariat stratégique signé en 2011 entre l’Algérie et cette institution de Bretton Woods, mais décidemment dans les faits beaucoup reste à entreprendre pour mieux tirer profit de cette coopération, raison pour laquelle la vice-présidente de cette institution financière pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Inger Andersen, en Algérie depuis mardi, a multiplié les pourparlers avec les différents responsables algériens pour réitérer les engagements de la Banque mondiale de soutenir l’Algérie dans son processus de modernisation de son économie.
La BM est « prête à élargir son programme en Algérie avec un soutien aux programmes de diversification de l’économie et de renforcement des institutions pour servir de catalyseurs à une croissance plus solide et inclusive », a déclaré Inger Andersen qui souligne dans la foulée qu’une économie plus diversifiée permettrait de générer, à la fois, les sources de l’emploi et de la croissance.
Objectif pour lequel, poursuit la vice-présidente, la BM était « disponible à offrir toute son expertise pour aider l’Algérie afin de l‘atteindre ».
D’autre part, Inger Andersen dira que « la BM est à l’écoute des priorités du gouvernement algérien » et qu’elle est « prête à mobiliser l’expertise internationale nécessaire, notamment pour appuyer les programmes de modernisation et de réformes dans les domaines où le gouvernement algérien souhaite coopérer avec l’institution ».
A noter que Mme Andersen effectue une visite de travail de trois jours en Algérie, à l’occasion de laquelle elle a eu des entretiens avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, six ministres et plusieurs hauts responsables financiers du pays.
Faouzia Z. 23 mai2013
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Les bases de cette démarche remontent, faut-il le rappeler, à un partenariat stratégique signé en 2011 entre l’Algérie et cette institution de Bretton Woods, mais décidemment dans les faits beaucoup reste à entreprendre pour mieux tirer profit de cette coopération, raison pour laquelle la vice-présidente de cette institution financière pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Inger Andersen, en Algérie depuis mardi, a multiplié les pourparlers avec les différents responsables algériens pour réitérer les engagements de la Banque mondiale de soutenir l’Algérie dans son processus de modernisation de son économie.
La BM est « prête à élargir son programme en Algérie avec un soutien aux programmes de diversification de l’économie et de renforcement des institutions pour servir de catalyseurs à une croissance plus solide et inclusive », a déclaré Inger Andersen qui souligne dans la foulée qu’une économie plus diversifiée permettrait de générer, à la fois, les sources de l’emploi et de la croissance.
Objectif pour lequel, poursuit la vice-présidente, la BM était « disponible à offrir toute son expertise pour aider l’Algérie afin de l‘atteindre ».
D’autre part, Inger Andersen dira que « la BM est à l’écoute des priorités du gouvernement algérien » et qu’elle est « prête à mobiliser l’expertise internationale nécessaire, notamment pour appuyer les programmes de modernisation et de réformes dans les domaines où le gouvernement algérien souhaite coopérer avec l’institution ».
A noter que Mme Andersen effectue une visite de travail de trois jours en Algérie, à l’occasion de laquelle elle a eu des entretiens avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, six ministres et plusieurs hauts responsables financiers du pays.
Faouzia Z. 23 mai2013
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