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lBouteflika:angoisse publique resultat du Culte de la personnalite

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  • lBouteflika:angoisse publique resultat du Culte de la personnalite

    Durant ses deux premiers mandats, le président algérien, [Abdelaziz Bouteflika,[ s’est assené la tâche «de relever et de la réconcilier avec elle même».
    L'ambition d'être l'homme-providence est une qualité, mais le pouvoir est enivrant.
    Bouteflika est un homme du système, avant toute autre chose. C’est la transcendance de soi qui permet de réaliser des faits marquants. Dans ce domaine, le chef de l'Etat algérien s’est avéré incapable, à l’instar de ses homologues arabes.
    Par ailleurs, vouloir rester président, juste pour le titre, semble l’autre ambition cachée d'Abdelaziz Bouteflika, certainement celle qui le motive le plus, mais qu’il n'osera probablement jamais avouer publiquement. Alors on maquille la réalité par des grands discours, pour mieux la travestir.
    Le culte de la personnalité

    Bouteflika vieillit mal; plutôt que de cultiver la sagesse, il cultive le culte de sa personnalité.
    Décider de rester au pouvoir à 75 ans est une pratique que l’on ne rencontre que dans les pays réfractaires au principe de la légitimité par les urnes.
    La parenthèse démocratique de 1988 —le printemps algérien inachevé— avec tous les espoirs qu’elle avait pu susciter, a laissé place à un retour à la case du «faux départ» du début: le changement dans la continuité, à savoir la pratique d’un pouvoir sans partage, comme au temps du parti unique, le FLN.
    Ainsi, le 12 novembre 2008 le Parlement algérien avait adopté massivement la loi initiée par le président Bouteflika, qui avait permis de bricoler l’article de la Constitution qui limitait la durée de la présidence algérienne à deux mandats de cinq ans.
    Du coup, un grand boulevard était offert à notre raïs pour rempiler autant de mandats qu’il le souhaitait, jusqu’à ce que mort s’ensuive.
    Notre président aux trois mandats semble préparer le terrain pour rempiler un pour un quatrième. Tout homme politique qui se respecte, dressera un jour ou l’autre le bilan de son parcours. Il osera enfin se livrer à une autocritique pour savoir quel homme il fut.
    Le jour où Bouteflika fera son bilan et tirera les conclusions qui s’imposent, sans faux semblants; alors ce jour là, ses «plébiscites» aux scores staliniens, lui causeront un véritable cas de conscience. Ce n’est pas les scores d’un démocrate, loin s’en faut, mais plutôt d’un Ben Ali.
    Le highlander d’une époque révolue

    En la matière, Bouteflika n’innove aucunement, il ne fait qu’importer en Algérie (d’ailleurs qu'est-ce que l’on n’importe pas dans ce pays?) la tendance monarchiste du monde arabe moyen-oriental et qu’on a tenté de reproduire dans notre Maghreb «républicain».
    Avant sa chute mortelle, Khadafi préparait son fils Seif al-Islam à sa succession, en Lybie, au même titre que Moubarak, en Egypte, qui mettait en avant Gama, le digne rejeton de son géniteur, ou encore, de Ben Ali, qui partageait le pouvoir en famille, en Tunisie.
    Au royaume chérifien, c’est clair, le trône est une affaire d’héritage et de sang «souverain», nul besoin donc de s’interroger sur la relève, que par la succession génétique.
    En Algérie, il est question que Bouteflika «consulte» les Algériens pour une énième modification de la Constitution. Pour quoi faire? Pour meubler la vacuité politique, permettre à l’opposition de justifier son salaire de courtisane râleuse mais consentante, feindre l’ouverture démocratique qui justifierait le soutien que Washington et Paris apportent au survivant régime algérien et l’exceptionnel Bouteflika; celui qui sait gérer la crise chez les autres, en transformant la manne financière de l’Algérie en bons de trésors américains et en signant des contrats avec la France.
    Même la plus parfaite des Constitutions n’aura aucune vertu curative sur un corps vieilli et malade, Bouteflika en l’occurrence. Le problème de l’Algérie ne réside pas dans ses lois, mais dans leur non application. Ceux qui les votent sont les premiers à ne pas les respecter, à en faire fi.
    Bouteflika, comme le peuple algérien au lendemain du prochain scrutin présidentiel de 2014, aura du mal à avaler ses propres couleuvres, tellement elles seront énormes.
    Fayçal Anseur (Algérie Focus)

  • #2
    Idolatrier un humain...!,astarfito allah,
    a-t-on le droit d agir de la sorte,rendre tout un peuple angoisse,et craignant pour les lendemains du fait de ce cultede la personnalite digne des annees Brejnev...
    Dernière modification par darelbeida, 24 mai 2013, 17h45.

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    • #3
      En Algérie, il n'y a pas de culte de la personnalité mais un culte de la Révolution. C'est pour cela que l'Algérie ne craint rien pour l'instant et que tout le monde est en train de s'y casser les dents.

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      • #4
        perso je m'en tape de sa santé comme de l'an 40
        le pays roule comme à son habitude , c'est pour dire qu'il n'a rien jamais foutu

        ce vieux sénile est de loin le pire président qu'ai connu notre pays , qu'il parte c'est kifkif
        j'évite de l'enfoncer par compassion à l'humain qu'il est , mais en tan que président c'est une grosse m*rde
        et vu comment il a fini sa life chez les militaires français , il se dirige directe vers les poubelles de l'histoire
        SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

        VIVA POLISARIO

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        • #5
          C'est pour cela que l'Algérie ne craint rien pour l'instant=====


          sincèrement c est tout ce qu on souhaite pour le bien de notre region,vu ce qui se passe en Lybie et Tunisie,et malgre les apparences,et du fait de la mondialisation,l Algerie et le Maroc,deviennent de plus en plus lies,si lAlgerie est touche,le Maroc le sera fatalement...

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          • #6
            Idolatrier un humain...!,astarfito allah,
            a-t-on le droit d agir de la sorte,rendre tout un peuple angoisse,et craignant pour les lendemains du fait de ce cultede la personnalite digne des annees Brejnev...
            c'est quoi ce charabia

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            • #7
              Ne t'inquiète pas pour le Maroc, ils ont leur alliés et, eux, ils ont une stabilité dû au roi.
              Nous, tout le monde dit hibz fransa, blablabla, blablabla. Mais, il n'y a rien du tout. Au contraire, on est tout seul et tout le monde veut notre peau. Et tout le monde veut notre peau parce que l'Algérie ne donne aucune garantie à personne.

              Je pense que la France et les USA se livrent une bataille pour l'Afrique et le Sahel. Tous les terroristes qui trainent dans le Sahel c'est eux à mon avis.

              Si la France perd l'Afrique et la francophonie au profit des Anglo-saxons, c'est fini pour elle. Elle devient un petit état comme les autres. La France ne veut pas perdre non plus le Liban, la Syrie, Israël, ....

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              • #8
                @naw
                je m explique:
                Bouteflika est devenue le "pere du peuple" http://www.*************.com/wp-cont...1/02/610x2.jpg
                je sais pas comment inserer une image ,pour l instant
                c est ASTARFIRO ALLAH,en fait
                Dernière modification par darelbeida, 24 mai 2013, 18h18.

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                • #9
                  darelbida

                  t'es a coté de la plaque, bouteflika n'est le père de personne!!

                  on a hate qu'il part d'elmouradiya, même une fois guéri , rabbi yechfih

                  quoi que si le fait de rester quelques mois de plus rahe yqalqkem felmmerrok, qu'il reste

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                  • #10
                    Le culte de la personnalité
                    les peuplent s’inventent toujours des idoles pour se consoler.

                    Le pouvoir en place entretient volontairement « le mythe » bouteflika .

                    Dans quelques jours Il reviendra en SAUVEUR et la pilule du 4ème mandat passera en douceur, et le peuple comme toujours, animé par « l’instinct du troupeau » applaudira le retour du messie.
                    Dernière modification par sako, 24 mai 2013, 18h33.

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                    • #11
                      derelbeida, tu n'échape pas à la regle ... très pertinent mashallah

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                      • #12
                        el malik el "mokades" c au maroc pas en algerie..meme un flic critique bouteflika et ne parlons meme pas des journaux...le culte de la personalite il est chez el ousra el alaouia au maroc..allah yela3n li maya7chem comme certains aiment dirent

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                        • #13
                          @ naw
                          quoi que si le fait de rester quelques mois de plus rahe yqalqkem felmmerrok, qu'il reste=====

                          je ne sais pas,peut etre mon education ,je n ai pas pu t apostropher comme tu l as fait au debut,mais je crois que tu ne connais pas la mentalite de Marocains pour savoir que c est le dernier de leur soucis qu il reste ou part,mais en tant que "bon"musulman,je parle pour lui,on lui souhaite un prompte retablissement...
                          Dernière modification par darelbeida, 24 mai 2013, 18h36.

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                          • #14
                            @ mistaw

                            restes dans le sujet,
                            est ce qu'on appréhende pas.en Algerie, la disparition de Bouteflika,et pourquoi ce tel engouement???,
                            réponse précise svp

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                            • #15
                              @ cne
                              tu n'échape pas à la regle...===
                              quelles regles,celle du FA..

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