Le ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et de la Ville, M. Amara Benyounès a affirmé jeudi à Alger que son département avait procédé à l’élaboration d’une stratégie durable d’aménagement portant sur la promotion de la culture civique et environnementale en faveur de l’embellissement des villes.
M. Benyounès qui répondait lors d’une session plénière, à une question orale d’un membre de l’Assemblée populaire nationale (APN), sur «l’état urbanistique de certaines rues d’Alger», à l’instar de la rue Larbi Ben M’hidi, a précisé que cette stratégie portait sur la promotion de la culture civique et environnementale à travers le plan de relance des plans de gestions des déchets et des espaces verts.
Cette stratégie porte également, a-t-il poursuivi, sur la restauration des vieilles villes et la valorisation du rôle de la ville à travers la relance de certaines activités économiques notamment en matière de services.
Il a ajouté dans le même contexte que cette stratégie vise à relancer la législation régissant la gestion de la ville. M. Benyounès a cité, à cette occasion, quelques facteurs ayant causé la dégradation de certains quartiers dont «la vétusté des constructions qui datent des années 1950 et l’absence d’une véritable stratégie pour l’aménagement des villes». Il a cité par ailleurs les modifications anarchiques opérées par les citoyens sur ces construction notamment au niveau des terrasses et l’utilisation des antennes paraboliques et des climatiseurs».
Des problèmes juridiques et financiers à l’origine du retard dans la réalisation du Parc des Grands vents
Concernant la rue Larbi Ben M’hidi (Alger-centre), M. Benyounès a rappelé que cette artère «n’a bénéficié d’aucun plan d’aménagement mais plutôt de quelques travaux de maintenance au niveau des trottoirs et de façades».
Le ministre de l’Aménagement du territoire Amara Benyounès a imputé les causes du retard mis dans le parachèvement du projet du Parc des Grands vents à des problèmes d’ordre juridique et financier, dont le non-acquittement de la contribution financière convenue entre l’Algérie et la société internationale émiratie d’investissement.
En réponse à une question du député Mahdjoub Bedda, M. Benyounès a souligné que le retard mis dans la réalisation de ce projet était dû à la présence de «problèmes d’ordre juridique et financier» caractérisés par le non-acquittement de la contribution financière convenue par la partie émiratie.
Ce projet qui s’inscrit dans le cadre des grands projets de développement est doté d’une enveloppe de 5,2 milliards de dollars US dont 700 millions pour le parc public, a fait savoir le ministre. Les procédures juridiques et administratives relatives à l’établissement des contrats de cession et de dépossession des propriétés qui exigent des procédures juridiques et administratives complexes, sont les principales causes sur lesquelles a buté ce projet dont le délai de réalisation a été fixé à 8 ans, a ajouté le ministre.
L’extension de la superficie du projet prévue initialement à 630 ha ensuite revue à la hausse à 800 ha puis à 1059 ha a été l’un des facteurs essentiels du retard a-t-il ajouté.
M. Benyounès a poursuivi qu’en dépit des problèmes financiers, administratifs et juridiques, son ministère oeuvre au parachèvement du projet, à travers l’installation au mois d’avril dernier d’une commission dite «de facilitation et de suivi» dont la mission consiste à établir une coordination entre les différentes parties participant à la réalisation du projet. Avant de conclure, le ministre a rappelé qu’une première partie du parc d’une superficie de 450 ha a été ouverte au public.
Adda A. 24 mai 2013
.
M. Benyounès qui répondait lors d’une session plénière, à une question orale d’un membre de l’Assemblée populaire nationale (APN), sur «l’état urbanistique de certaines rues d’Alger», à l’instar de la rue Larbi Ben M’hidi, a précisé que cette stratégie portait sur la promotion de la culture civique et environnementale à travers le plan de relance des plans de gestions des déchets et des espaces verts.
Cette stratégie porte également, a-t-il poursuivi, sur la restauration des vieilles villes et la valorisation du rôle de la ville à travers la relance de certaines activités économiques notamment en matière de services.
Il a ajouté dans le même contexte que cette stratégie vise à relancer la législation régissant la gestion de la ville. M. Benyounès a cité, à cette occasion, quelques facteurs ayant causé la dégradation de certains quartiers dont «la vétusté des constructions qui datent des années 1950 et l’absence d’une véritable stratégie pour l’aménagement des villes». Il a cité par ailleurs les modifications anarchiques opérées par les citoyens sur ces construction notamment au niveau des terrasses et l’utilisation des antennes paraboliques et des climatiseurs».
Des problèmes juridiques et financiers à l’origine du retard dans la réalisation du Parc des Grands vents
Concernant la rue Larbi Ben M’hidi (Alger-centre), M. Benyounès a rappelé que cette artère «n’a bénéficié d’aucun plan d’aménagement mais plutôt de quelques travaux de maintenance au niveau des trottoirs et de façades».
Le ministre de l’Aménagement du territoire Amara Benyounès a imputé les causes du retard mis dans le parachèvement du projet du Parc des Grands vents à des problèmes d’ordre juridique et financier, dont le non-acquittement de la contribution financière convenue entre l’Algérie et la société internationale émiratie d’investissement.
En réponse à une question du député Mahdjoub Bedda, M. Benyounès a souligné que le retard mis dans la réalisation de ce projet était dû à la présence de «problèmes d’ordre juridique et financier» caractérisés par le non-acquittement de la contribution financière convenue par la partie émiratie.
Ce projet qui s’inscrit dans le cadre des grands projets de développement est doté d’une enveloppe de 5,2 milliards de dollars US dont 700 millions pour le parc public, a fait savoir le ministre. Les procédures juridiques et administratives relatives à l’établissement des contrats de cession et de dépossession des propriétés qui exigent des procédures juridiques et administratives complexes, sont les principales causes sur lesquelles a buté ce projet dont le délai de réalisation a été fixé à 8 ans, a ajouté le ministre.
L’extension de la superficie du projet prévue initialement à 630 ha ensuite revue à la hausse à 800 ha puis à 1059 ha a été l’un des facteurs essentiels du retard a-t-il ajouté.
M. Benyounès a poursuivi qu’en dépit des problèmes financiers, administratifs et juridiques, son ministère oeuvre au parachèvement du projet, à travers l’installation au mois d’avril dernier d’une commission dite «de facilitation et de suivi» dont la mission consiste à établir une coordination entre les différentes parties participant à la réalisation du projet. Avant de conclure, le ministre a rappelé qu’une première partie du parc d’une superficie de 450 ha a été ouverte au public.
Adda A. 24 mai 2013
.
Commentaire