Le ministre koweïtien du Pétrole a remis sa démission, qui a été acceptée par l'émir, rapportent dimanche des journaux koweïtiens.
Hani Hussein était sur la sellette pour avoir accepté le versement d'un dédommagement de 2,2 milliards de dollars (1,7 milliard d'euros) à la société américaine Dow Chemical après la rupture d'un accord de coentreprise avec la compagnie publique koweïtienne PIC en 2008.
Des parlementaires koweïtiens avaient demandé au début du mois à pouvoir l'interroger.
Selon les sites internet des journaux Al Raï et Al Watan, la démission de Hani Hussein a été acceptée dimanche par l'émir Sabah al Ahmed al Sabah.
Le ministre du Pétrole n'a que peu de prise sur la politique pétrolière de l'Etat membre de l'OPEP, qui est déterminée par un conseil supérieur du pétrole. (Sylvia Westall; Tangi Salaün pour le service français)
Reuters
Hani Hussein était sur la sellette pour avoir accepté le versement d'un dédommagement de 2,2 milliards de dollars (1,7 milliard d'euros) à la société américaine Dow Chemical après la rupture d'un accord de coentreprise avec la compagnie publique koweïtienne PIC en 2008.
Des parlementaires koweïtiens avaient demandé au début du mois à pouvoir l'interroger.
Selon les sites internet des journaux Al Raï et Al Watan, la démission de Hani Hussein a été acceptée dimanche par l'émir Sabah al Ahmed al Sabah.
Le ministre du Pétrole n'a que peu de prise sur la politique pétrolière de l'Etat membre de l'OPEP, qui est déterminée par un conseil supérieur du pétrole. (Sylvia Westall; Tangi Salaün pour le service français)
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