Le Point 27/05/2013
Le jury présidé par Spielberg a osé placer sur la plus haute marche une très belle histoire d'amour homosexuelle aux scènes très explicites.
Favori de la critique et ovationné lors de sa projection, La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche, a remporté dimanche la Palme d'or du 66e Festival de Cannes. Une première pour un film qui parle aussi ouvertement et crûment d'homosexualité. On soulignera bien sûr que cette consécration pour une brûlante histoire d'amour lesbien a lieu le jour même où défilaient les opposants au mariage pour tous. Interpellé à ce sujet, Steven Spielberg a répondu que même si le message porte "un message important (...), ce n'est pas la politique qui nous a influencés, mais le film". "C'est une très belle histoire, un amour magnifique auquel tout le monde peut s'identifier, peu importe la sexualité", a ajouté le cinéaste, président américain d'un jury qui a osé placer sur la plus haute marche un film aux scènes très explicites de sexe lesbien. "Nous avons été privilégiés de voir ce film et non gênés", a poursuivi Spielberg.
Le jury présidé par Spielberg a osé placer sur la plus haute marche une très belle histoire d'amour homosexuelle aux scènes très explicites.
Favori de la critique et ovationné lors de sa projection, La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche, a remporté dimanche la Palme d'or du 66e Festival de Cannes. Une première pour un film qui parle aussi ouvertement et crûment d'homosexualité. On soulignera bien sûr que cette consécration pour une brûlante histoire d'amour lesbien a lieu le jour même où défilaient les opposants au mariage pour tous. Interpellé à ce sujet, Steven Spielberg a répondu que même si le message porte "un message important (...), ce n'est pas la politique qui nous a influencés, mais le film". "C'est une très belle histoire, un amour magnifique auquel tout le monde peut s'identifier, peu importe la sexualité", a ajouté le cinéaste, président américain d'un jury qui a osé placer sur la plus haute marche un film aux scènes très explicites de sexe lesbien. "Nous avons été privilégiés de voir ce film et non gênés", a poursuivi Spielberg.
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