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Les accidents et la gravité de leurs conséquences s’expliquent bien souvent par une combinaison de facteurs liés au conducteur, au véhicule, à la route, aux conditions de circulation, aux secours…
Pour cette raison, Le laboratoire de psychologie de l’usager de la route (LPUR) de l’université de Batna a organisé, les 24 et 25 du mois dernier, un séminaire national sur "les accidents de la route : entre le comportement des usagers de la route et la régulation du trafic" avec la participation de spécialistes universitaires, de la Gendarmerie nationale, de la Sûreté nationale et de la Protection civile.
En effet, selon ces derniers, au moins 692 personnes ont perdu la vie et 9310 ont été blessées dans 5 498 accidents de la circulation enregistrés lors du premier trimestre 2013. Le nombre réel des morts est de treize par jour. Les facteurs humains en particulier apparaissent dans plus de 90 % des accidents corporels, avec principalement la non-maîtrise du véhicule, la vitesse excessive et en troisième position les dépassements dangereux.
Certains facteurs sont relevés systématiquement par les forces de l’ordre après qu’un accident a eu lieu : choc contre un obstacle fixe, bilans, conditions météorologiques etc.
MAIS, le fait est que, d’autres facteurs (et non des moindres) ne sont pas systématiquement recherchés car difficiles à déterminer avec précision : vitesse, fatigue, somnolence, distraction, téléphone au volant, non respect des distances de sécurité…
D’autre part, le responsable n’est-il pas aussi l’état ?!
Nous citerons à titre d’exemple l’arrivée du tramway d’Alger qui, malgré son succès, a déjà subi plusieurs accrochages occasionnés par une voiture.
Les feux de signalisation (presque invisibles aux yeux des conducteurs) ne font l’objet d’aucun respect. Alors même, qu’ils devraient contribuer à la réduction de des accidents de la route.
En dehors des agents de la sécurité routière, ils sont les seuls qui puissent tiédir l’ardeur d’incivisme des usagers de la route
Mais, force est de reconnaître aujourd’hui, que ces panneaux ne sont point régulièrement suivis, et ce, même en l’absence des agents. Peut être par habitude..
C’est en ce sens que l’Etat est lui aussi hautement responsable des drames qui se déroulent au quotidien su nos routes.
Où se situe alors la responsabilité ?
En tous cas, l’absence de ces « feux » n’est pas pour arranger la situation chaotique que nous vivons sur les routes et voies ferrées.
Alors, « contrôle rigoureux des agents de la sécurité routière » ? C’est vrai que cela fait partie des solutions.
Mais, qui laisse circuler des engins et des camions sans freins et sans phares ?
Qui laisse les propriétaires de 2 roues roule sans casques ?
Combien de feux de signalisations sont éteints pour de bon dans notre pays ?
La sécurité, c’est aussi ça ! Les feux de signalisation. Aucun agent ne saurait les remplacer..
Devant cette situation alarmante, l’intérêt accordé aux accidents de la route de par leurs causes, la manière dont ils arrivent, leurs victimes, leurs conséquences, les mesures de prévention et la sensibilisation des citoyens en particulier pour les jeunes, il est urgent de rechercher des solutions côté éducation, car malgré le durcissement des peines il semblerait que la répression à elle seule ne suffise plus.
M.ZATOUT
Pour cette raison, Le laboratoire de psychologie de l’usager de la route (LPUR) de l’université de Batna a organisé, les 24 et 25 du mois dernier, un séminaire national sur "les accidents de la route : entre le comportement des usagers de la route et la régulation du trafic" avec la participation de spécialistes universitaires, de la Gendarmerie nationale, de la Sûreté nationale et de la Protection civile.
En effet, selon ces derniers, au moins 692 personnes ont perdu la vie et 9310 ont été blessées dans 5 498 accidents de la circulation enregistrés lors du premier trimestre 2013. Le nombre réel des morts est de treize par jour. Les facteurs humains en particulier apparaissent dans plus de 90 % des accidents corporels, avec principalement la non-maîtrise du véhicule, la vitesse excessive et en troisième position les dépassements dangereux.
Certains facteurs sont relevés systématiquement par les forces de l’ordre après qu’un accident a eu lieu : choc contre un obstacle fixe, bilans, conditions météorologiques etc.
MAIS, le fait est que, d’autres facteurs (et non des moindres) ne sont pas systématiquement recherchés car difficiles à déterminer avec précision : vitesse, fatigue, somnolence, distraction, téléphone au volant, non respect des distances de sécurité…
D’autre part, le responsable n’est-il pas aussi l’état ?!
Nous citerons à titre d’exemple l’arrivée du tramway d’Alger qui, malgré son succès, a déjà subi plusieurs accrochages occasionnés par une voiture.
Les feux de signalisation (presque invisibles aux yeux des conducteurs) ne font l’objet d’aucun respect. Alors même, qu’ils devraient contribuer à la réduction de des accidents de la route.
En dehors des agents de la sécurité routière, ils sont les seuls qui puissent tiédir l’ardeur d’incivisme des usagers de la route
Mais, force est de reconnaître aujourd’hui, que ces panneaux ne sont point régulièrement suivis, et ce, même en l’absence des agents. Peut être par habitude..
C’est en ce sens que l’Etat est lui aussi hautement responsable des drames qui se déroulent au quotidien su nos routes.
Où se situe alors la responsabilité ?
En tous cas, l’absence de ces « feux » n’est pas pour arranger la situation chaotique que nous vivons sur les routes et voies ferrées.
Alors, « contrôle rigoureux des agents de la sécurité routière » ? C’est vrai que cela fait partie des solutions.
Mais, qui laisse circuler des engins et des camions sans freins et sans phares ?
Qui laisse les propriétaires de 2 roues roule sans casques ?
Combien de feux de signalisations sont éteints pour de bon dans notre pays ?
La sécurité, c’est aussi ça ! Les feux de signalisation. Aucun agent ne saurait les remplacer..
Devant cette situation alarmante, l’intérêt accordé aux accidents de la route de par leurs causes, la manière dont ils arrivent, leurs victimes, leurs conséquences, les mesures de prévention et la sensibilisation des citoyens en particulier pour les jeunes, il est urgent de rechercher des solutions côté éducation, car malgré le durcissement des peines il semblerait que la répression à elle seule ne suffise plus.
M.ZATOUT