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Pour faire face aux multiples agressions et actes de violence perpétrés dans les structures de santé, notamment les pavillons des urgences, la direction de la Santé de la wilaya de Béjaïa pense mettre en place un système de contrôle vidéo au niveau des hôpitaux.
Cela a été proposé par le premier responsable du secteur de la santé de la wilaya, lors d’une réunion il y a un mois, aux directeurs des établissements de santé publique et en présence d’un partenaire social dont les représentants avaient soulevé le problème de l’insécurité qui y règne. Le projet a été proposé comme étant un moyen de renforcement de la sécurité au niveau de ces services, où l’afflux est plus important et où sont souvent signalés des cas de violence, notamment, des agressions physiques contre le personnel soignant avec, parfois, des dégâts matériels considérables.
Ces vidéos de surveillances seront installées, selon la proposition du DSP, au niveau des couloirs et des portes d’accès aux PU. Un procédé qui aura pour objectif de dissuader les intrus et les auteurs de ces brutalités que subissent les urgentistes, mais aussi d’avoir une preuve tangible des dépassements que les instances judiciaires et les services de police pourraient éventuellement exploiter. Parallèlement à ce dispositif que l’on veut appliquer au cours de cette année, il a été aussi retenu le renforcement en agents de police au niveau des PU qui fonctionnent H24, comme il est impératif de procéder aux clôtures des structures de soins en zone rurale.
Outre ces moyens matériels pour sécuriser les hôpitaux et autre structures de santé, les responsables de la santé de wilaya veulent aussi mettre les bouchées doubles en mobilisant davantage de moyens humains pour le bon accueil que l’on réclame, avec une prise en charge des patients dans les délais et leurs éviter les longues attentes angoissantes. A cet effet, et pour mieux accompagner ce procédé de vidéos surveillance qui reviendra cher au secteur de la santé, les hôpitaux sont tenu aussi à mettre au niveau de leurs services d’urgence, et d’une manière progressive, un personnel adéquat pour améliorer davantage les prestations et humaniser les lieux de soins, qui est une belle manière de mettre fin aux scènes de violence dans nos hôpitaux.
Nadir Touati- La Dépêche de Kabylie
Cela a été proposé par le premier responsable du secteur de la santé de la wilaya, lors d’une réunion il y a un mois, aux directeurs des établissements de santé publique et en présence d’un partenaire social dont les représentants avaient soulevé le problème de l’insécurité qui y règne. Le projet a été proposé comme étant un moyen de renforcement de la sécurité au niveau de ces services, où l’afflux est plus important et où sont souvent signalés des cas de violence, notamment, des agressions physiques contre le personnel soignant avec, parfois, des dégâts matériels considérables.
Ces vidéos de surveillances seront installées, selon la proposition du DSP, au niveau des couloirs et des portes d’accès aux PU. Un procédé qui aura pour objectif de dissuader les intrus et les auteurs de ces brutalités que subissent les urgentistes, mais aussi d’avoir une preuve tangible des dépassements que les instances judiciaires et les services de police pourraient éventuellement exploiter. Parallèlement à ce dispositif que l’on veut appliquer au cours de cette année, il a été aussi retenu le renforcement en agents de police au niveau des PU qui fonctionnent H24, comme il est impératif de procéder aux clôtures des structures de soins en zone rurale.
Outre ces moyens matériels pour sécuriser les hôpitaux et autre structures de santé, les responsables de la santé de wilaya veulent aussi mettre les bouchées doubles en mobilisant davantage de moyens humains pour le bon accueil que l’on réclame, avec une prise en charge des patients dans les délais et leurs éviter les longues attentes angoissantes. A cet effet, et pour mieux accompagner ce procédé de vidéos surveillance qui reviendra cher au secteur de la santé, les hôpitaux sont tenu aussi à mettre au niveau de leurs services d’urgence, et d’une manière progressive, un personnel adéquat pour améliorer davantage les prestations et humaniser les lieux de soins, qui est une belle manière de mettre fin aux scènes de violence dans nos hôpitaux.
Nadir Touati- La Dépêche de Kabylie