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Aux Pays de Galles, un couple d'algériens a été détenu pendant 11 jours parce qu'ils étaient soupçonnés de terrorisme alors qu' ils étaient venus passer de belles et heureuses vacances en Irlande du nord.
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Soupçonné de terrorisme, un couple d’Algériens qui avaient passé 11 jours de détention a été remis en liberté par la police d’Irlande du Nord. Il s’agit d’un nouvel épisode d’Algériens malmenés en Grande-Bretagne dans ce que la police locale appelle la lutte contre le terrorisme.
Le deux Algériens, un homme de 47 ans et une femme de 44 ans, avaient été arrêtés dans le cadre de la loi sur le terrorisme à leur arrivée, le 11 août dernier, au Port de Holyhead dans l’île d’Anglesey, une région de l’extrême nord-ouest du pays de Galles, a rapporté avant-hier la presse locale.
Les deux ressortissants dont l’identité n’a pas été révélée avaient été arrêtés à leur arrivée au Pays de Galles en provenance d’Irlande du Nord, a indiqué la même source. Les détails de leurs arrestations n’ont été révélés par la police que quatre jours après leur incarcération qui coïncidait avec les enquêtes sur le complot terroriste présumé à l’aéroport Heathrow de Londres, dans lequel plusieurs avions de ligne transatlantiques devaient exploser le 10 août dernier, selon la police britannique.
Leur arrestation a été menée par des policiers de la branche spéciale de lutte contre le terrorisme, mais la police, citée par la presse galloise, avait affirmé que leur interpellation n’était pas liée aux enquêtes sur l’affaire de l’aéroport Heathrow.
Suite à leur libération, un porte-parole de la police du nord du pays de Galles a fait savoir qu’après une minutieuse enquête et un avis des services judiciaires de la Couronne britannique, il a été décidé de les remettre en liberté sans la moindre accusation.
Le chef adjoint de la police galloise, Clive Wolfendale, dont les propos ont été rapportés par la chaîne de télévision ITV, a confirmé que les deux Algériens avaient été placés en détention dans le cadre de la loi contre le terrorisme mais a refusé de fournir davantage de précisions, notamment sur leurs identités.
Il a précisé que leur détention pendant 11 jours était légale et faisait suite à une ordonnance du juge du tribunal de Holyhead. Selon la presse galloise, les deux Algériens étaient venus passer des vacances dans cette région au nord du pays et sont des résidants de longue date en Grande-Bretagne.
Toutefois, la presse locale s’était empressée, la semaine dernière, à décrire les deux Algériens comme étant de potentiels suspects terroristes affirmant qu’un ordinateur portable avait été retrouvé en possession du couple ainsi que des documents pour la fabrication de bombes et de techniques d’assassinat.
La police galloise a réfuté les informations de la presse et les deux Algériens avaient été relâchés après cette mésaventure.
Le jeune Indépendant
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Soupçonné de terrorisme, un couple d’Algériens qui avaient passé 11 jours de détention a été remis en liberté par la police d’Irlande du Nord. Il s’agit d’un nouvel épisode d’Algériens malmenés en Grande-Bretagne dans ce que la police locale appelle la lutte contre le terrorisme.
Le deux Algériens, un homme de 47 ans et une femme de 44 ans, avaient été arrêtés dans le cadre de la loi sur le terrorisme à leur arrivée, le 11 août dernier, au Port de Holyhead dans l’île d’Anglesey, une région de l’extrême nord-ouest du pays de Galles, a rapporté avant-hier la presse locale.
Les deux ressortissants dont l’identité n’a pas été révélée avaient été arrêtés à leur arrivée au Pays de Galles en provenance d’Irlande du Nord, a indiqué la même source. Les détails de leurs arrestations n’ont été révélés par la police que quatre jours après leur incarcération qui coïncidait avec les enquêtes sur le complot terroriste présumé à l’aéroport Heathrow de Londres, dans lequel plusieurs avions de ligne transatlantiques devaient exploser le 10 août dernier, selon la police britannique.
Leur arrestation a été menée par des policiers de la branche spéciale de lutte contre le terrorisme, mais la police, citée par la presse galloise, avait affirmé que leur interpellation n’était pas liée aux enquêtes sur l’affaire de l’aéroport Heathrow.
Suite à leur libération, un porte-parole de la police du nord du pays de Galles a fait savoir qu’après une minutieuse enquête et un avis des services judiciaires de la Couronne britannique, il a été décidé de les remettre en liberté sans la moindre accusation.
Le chef adjoint de la police galloise, Clive Wolfendale, dont les propos ont été rapportés par la chaîne de télévision ITV, a confirmé que les deux Algériens avaient été placés en détention dans le cadre de la loi contre le terrorisme mais a refusé de fournir davantage de précisions, notamment sur leurs identités.
Il a précisé que leur détention pendant 11 jours était légale et faisait suite à une ordonnance du juge du tribunal de Holyhead. Selon la presse galloise, les deux Algériens étaient venus passer des vacances dans cette région au nord du pays et sont des résidants de longue date en Grande-Bretagne.
Toutefois, la presse locale s’était empressée, la semaine dernière, à décrire les deux Algériens comme étant de potentiels suspects terroristes affirmant qu’un ordinateur portable avait été retrouvé en possession du couple ainsi que des documents pour la fabrication de bombes et de techniques d’assassinat.
La police galloise a réfuté les informations de la presse et les deux Algériens avaient été relâchés après cette mésaventure.
Le jeune Indépendant