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Les premiers véhicules Mercedes-Benz fabriqués en Algérie sortiront début 2014
Les premiers véhicules du géant allemand Mercedes-Benz fabriqués en Algérie, en partenariat avec la SNVI, sortiront des usines de Rouiba et de Tiaret au cours du premier trimestre 2014, a annoncé, ce dimanche 3 juin, à Alger, le PDG du groupe public des véhicules industriels, Hamoud Tazrouti.
Les premiers véhicules, issus des deux usines, vont servir « au training et à la formation parce que les travailleurs ne connaissent pas bien le produit Mercedes », a expliqué M. Tazrouti, lors d’un point de presse organisé à l’issue de la cérémonie de présentation du plan de développement de la SNVI.
Ces véhicules seront fabriqués par les deux sociétés mixtes algéro-allemandes. La Société algérienne de production de poids lourds (Mercedes-Benz/SPA Rouiba) et la Société algérienne pour la fabrication de VLTT (Mercedes-Benz/SPA/Tiaret) ont été « créées juridiquement », mais il reste à « finaliser quelques contrats », a précisé M. Tazrouti.
La société implantée à Rouiba est détenue à 49% par le fonds d’investissement émirati Aabar, à 34% par la SNVI et à 17% par le ministère de la Défense nationale (MDN).
Dans la société de fabrication des VLTT, basée à Tiaret, Aabar détient également 49% du capital, contre 34% pour le MDN et 17% pour la SNVI.
Le plan de développement prévoit d’augmenter la production de la SNVI à 6.500 unités en 2017, au lieu de 2.500 actuellement. Une augmentation, estime Hamoud Tazrouti, qui permettra au groupe de réaliser l’objectif de 80% de parts de marché en 2017, prévu dans le plan de développement.
La SNVI est en négociation avec des groupes de renommée mondiale pour la réalisation de quatre nouveaux projets, a révélé son PDG. Il s’agit de la construction d’une usine de carrosserie industrielle (bennes, citernes…), un centre de production des produits finis destinés à la société algérienne des poids lourd Mercedes et d’une unité de production forge et fonderie pour la filière mécanique. Ceux-là en plus de la réalisation d’une usine de fabrication de véhicules utilitaires de petit tonnage.
Le montant des investissements nécessaires pour la réalisation du plan de développement de la SNVI, qui devrait générer 4.000 nouveaux emplois directs, n’a pas été dévoilé. « Il y a des bureaux d’études spécialisés qui travaillent sur la question. On connaîtra le montant des investissements très prochainement », a indiqué le PDG de la SNVI.tsa
Les premiers véhicules, issus des deux usines, vont servir « au training et à la formation parce que les travailleurs ne connaissent pas bien le produit Mercedes », a expliqué M. Tazrouti, lors d’un point de presse organisé à l’issue de la cérémonie de présentation du plan de développement de la SNVI.
Ces véhicules seront fabriqués par les deux sociétés mixtes algéro-allemandes. La Société algérienne de production de poids lourds (Mercedes-Benz/SPA Rouiba) et la Société algérienne pour la fabrication de VLTT (Mercedes-Benz/SPA/Tiaret) ont été « créées juridiquement », mais il reste à « finaliser quelques contrats », a précisé M. Tazrouti.
La société implantée à Rouiba est détenue à 49% par le fonds d’investissement émirati Aabar, à 34% par la SNVI et à 17% par le ministère de la Défense nationale (MDN).
Dans la société de fabrication des VLTT, basée à Tiaret, Aabar détient également 49% du capital, contre 34% pour le MDN et 17% pour la SNVI.
Le plan de développement prévoit d’augmenter la production de la SNVI à 6.500 unités en 2017, au lieu de 2.500 actuellement. Une augmentation, estime Hamoud Tazrouti, qui permettra au groupe de réaliser l’objectif de 80% de parts de marché en 2017, prévu dans le plan de développement.
La SNVI est en négociation avec des groupes de renommée mondiale pour la réalisation de quatre nouveaux projets, a révélé son PDG. Il s’agit de la construction d’une usine de carrosserie industrielle (bennes, citernes…), un centre de production des produits finis destinés à la société algérienne des poids lourd Mercedes et d’une unité de production forge et fonderie pour la filière mécanique. Ceux-là en plus de la réalisation d’une usine de fabrication de véhicules utilitaires de petit tonnage.
Le montant des investissements nécessaires pour la réalisation du plan de développement de la SNVI, qui devrait générer 4.000 nouveaux emplois directs, n’a pas été dévoilé. « Il y a des bureaux d’études spécialisés qui travaillent sur la question. On connaîtra le montant des investissements très prochainement », a indiqué le PDG de la SNVI.tsa