(Agence Ecofin) - Le développement des hydrocarbures de schistes serait une affaire marocaine que l'Office national des hydrocarbures et des mines du Maroc (ONHYM) croit devoir mener avec des institutions du royaume chérifien.
Dans une interview au quotidien l’Economiste, Amina Benkhadra (photo), directrice générale de l’ONHYM, a évoqué, dans cette optique, différentes pistes qui mettent en pole position l'Office Chérifien des Phosphates (OCP), l’université et le monde de l’industrie du Maroc.
« Les données et les traitements sont disponibles à l’ONHYM et nous voulons évaluer les possibilités de développer nos travaux en commun. Pour cela, nous allons signer une convention avec le ministère de l’Enseignement supérieur », a expliqué Amina Benkhadra.
La patronne de l’ONHYM compte s’appuyer sur l’OCP pour évaluer le potentiel du Maroc, étant convaincue que « géologiquement, des zones d’extension de schistes peuvent exister à la limite de celles où il y a du phosphate ».
« Nous pouvons également travailler ensemble sur des procédés industriels », a précisé Amina Benkhadra, se félicitant des conventions signées avec plusieurs sociétés au Maroc pour tester leurs procédés sur les schistes bitumineux de Tarfaya et Timahdit.
ONHYM a ainsi scellé une coopération avec l’OCP pour évaluer le potentiel en schistes bitumineux du royaume, projette de sélectionner les universités marocaines disposant d’un savoir-faire dans les schistes bitumineux et de créer des synergies entre l’université et le monde de l’industrie.
Dans une interview au quotidien l’Economiste, Amina Benkhadra (photo), directrice générale de l’ONHYM, a évoqué, dans cette optique, différentes pistes qui mettent en pole position l'Office Chérifien des Phosphates (OCP), l’université et le monde de l’industrie du Maroc.
« Les données et les traitements sont disponibles à l’ONHYM et nous voulons évaluer les possibilités de développer nos travaux en commun. Pour cela, nous allons signer une convention avec le ministère de l’Enseignement supérieur », a expliqué Amina Benkhadra.
La patronne de l’ONHYM compte s’appuyer sur l’OCP pour évaluer le potentiel du Maroc, étant convaincue que « géologiquement, des zones d’extension de schistes peuvent exister à la limite de celles où il y a du phosphate ».
« Nous pouvons également travailler ensemble sur des procédés industriels », a précisé Amina Benkhadra, se félicitant des conventions signées avec plusieurs sociétés au Maroc pour tester leurs procédés sur les schistes bitumineux de Tarfaya et Timahdit.
ONHYM a ainsi scellé une coopération avec l’OCP pour évaluer le potentiel en schistes bitumineux du royaume, projette de sélectionner les universités marocaines disposant d’un savoir-faire dans les schistes bitumineux et de créer des synergies entre l’université et le monde de l’industrie.
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