Hamas s’en prend à Karadaoui et choisit le camp du Hezbollah et de l’Iran
Les brigades d’al-Qassam, aile militaire du mouvement Hamas, ont tranché leur position en faveur de la poursuite de l’alliance avec le Hezbollah libanais et l’Iran, comme une voie pour la libération de la Palestine de l’occupation israélienne, avec la force des armes. Après que l’argent arabe ait échoué à libérer ne serait-ce qu’une once des territoires arabes occupés, rapporte al-Quds al-arabi, citant des sources informées.
La direction militaire de Hamas a exprimé, avec le soutien des dirigeants de poids à Gaza, son refus des accusations dirigées contre cheikh Youssef Karadhaoui à la résistance libanaise incarnée par le Hezbollah, lors de son prêche de vendredi dernier, prononcé à Doha, en présence de Khaled Mechaâl, chef du bureau politique de Hamas.
Selon les sources citées par al-Quds al-arabi, la direction des brigades al-Qassam a exprimé dans une lettre adressée au bureau politique du mouvement, son "attachement à l’alliance avec le Hezbollah libanais, comme un cadre de résistance dans la région Nord de la Palestine historique". La lettre adressée lundi dernier à Mechaâl et aux autres membres du bureau politique du mouvement, souligne que "la libération de la Palestine intervient par les armes, et non par l’argent".
Des figures de proue du mouvement à Gaza, à l’instar de Mahmoud Zahar, soutiennent la position de la direction militaire de Hamas, en faveur de la poursuite de l’alliance du mouvement avec le Hezbollah et l’Iran.
Une délégation de Hamas, comprenant notamment Marwan Issa, dirigeant des brigades al-Qassam, aile militaire du mouvement, est en visite actuellement en Iran, dans le cadre de la consolidation de l’alliance en place depuis de longues années entre le mouvement et son aile militaire d’un côté, et Téhéran de l’autre.
La lettre d’al-Qassam a appelé "à éviter que le mouvement n’arrive à une étape où il doit choisir entre le Qatar et l’Iran, car le choix sera en faveur de la résistance où elle se trouve", c'est-à-dire que c’est l’Iran qui sera en définitive choisi comme soutien à la résistance.
Les brigades al-Qassam ont ajouté dans leur missive que la solidité de la résistance, qui est parvenue à lancer des missiles vers la profondeur d’Israël lors de la dernière guerre contre Gaza, était possible grâce à l’alliance avec l’Iran et le Hezbollah libanais, et non grâce à l’argent arabe.
Cette lettre est intervenue après l’article publié par le journal al-Moustakbal, selon lequel après près de deux ans de sa décision de quitter Damas, Hamas s’est retrouvé devant une décision analogue, qu’elle semble prendre tardivement : Quitter la banlieue sud de Beyrouth, ou au moins engager le départ d’une grande partie de ses dirigeants, après que le Hezbollah ait resserré l’étau autour de leurs mouvements, et critiqué la politique de Hamas, accusé "de ne pas avoir été reconnaissant à ceux qui l’ont soutenu."
genet.tn
Les brigades d’al-Qassam, aile militaire du mouvement Hamas, ont tranché leur position en faveur de la poursuite de l’alliance avec le Hezbollah libanais et l’Iran, comme une voie pour la libération de la Palestine de l’occupation israélienne, avec la force des armes. Après que l’argent arabe ait échoué à libérer ne serait-ce qu’une once des territoires arabes occupés, rapporte al-Quds al-arabi, citant des sources informées.
La direction militaire de Hamas a exprimé, avec le soutien des dirigeants de poids à Gaza, son refus des accusations dirigées contre cheikh Youssef Karadhaoui à la résistance libanaise incarnée par le Hezbollah, lors de son prêche de vendredi dernier, prononcé à Doha, en présence de Khaled Mechaâl, chef du bureau politique de Hamas.
Selon les sources citées par al-Quds al-arabi, la direction des brigades al-Qassam a exprimé dans une lettre adressée au bureau politique du mouvement, son "attachement à l’alliance avec le Hezbollah libanais, comme un cadre de résistance dans la région Nord de la Palestine historique". La lettre adressée lundi dernier à Mechaâl et aux autres membres du bureau politique du mouvement, souligne que "la libération de la Palestine intervient par les armes, et non par l’argent".
Des figures de proue du mouvement à Gaza, à l’instar de Mahmoud Zahar, soutiennent la position de la direction militaire de Hamas, en faveur de la poursuite de l’alliance du mouvement avec le Hezbollah et l’Iran.
Une délégation de Hamas, comprenant notamment Marwan Issa, dirigeant des brigades al-Qassam, aile militaire du mouvement, est en visite actuellement en Iran, dans le cadre de la consolidation de l’alliance en place depuis de longues années entre le mouvement et son aile militaire d’un côté, et Téhéran de l’autre.
La lettre d’al-Qassam a appelé "à éviter que le mouvement n’arrive à une étape où il doit choisir entre le Qatar et l’Iran, car le choix sera en faveur de la résistance où elle se trouve", c'est-à-dire que c’est l’Iran qui sera en définitive choisi comme soutien à la résistance.
Les brigades al-Qassam ont ajouté dans leur missive que la solidité de la résistance, qui est parvenue à lancer des missiles vers la profondeur d’Israël lors de la dernière guerre contre Gaza, était possible grâce à l’alliance avec l’Iran et le Hezbollah libanais, et non grâce à l’argent arabe.
Cette lettre est intervenue après l’article publié par le journal al-Moustakbal, selon lequel après près de deux ans de sa décision de quitter Damas, Hamas s’est retrouvé devant une décision analogue, qu’elle semble prendre tardivement : Quitter la banlieue sud de Beyrouth, ou au moins engager le départ d’une grande partie de ses dirigeants, après que le Hezbollah ait resserré l’étau autour de leurs mouvements, et critiqué la politique de Hamas, accusé "de ne pas avoir été reconnaissant à ceux qui l’ont soutenu."
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