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Les bijoux traditionnels en argent, qui composent depuis des générations la parure des femmes kabyles, ont constitué l’attraction majeure de l’exposition artisanale tenue au centre culturel de Blida, à l’occasion de la semaine culturelle de la wilaya de Tizi-Ouzou, dans la ville des roses.
Les visiteuses ne "peuvent s’empêcher de se diriger vers le stand des bijoux kabyles en argent, où elles observent une longue halte" , a relevé, amusée, l’une des organisatrices, Anissa Zeghdoud.
"Elles ont manifesté un vif intérêt pour ces bijoux, confectionnés en argent pur, en posant moult questions sur les occasions de leur port, et leur symbolique notamment", a-t-elle constaté.
Mme Amina, a déclaré à l’APS, être "spécialement venue pour voir de plus près les habits et les bijoux traditionnels de la Kabylie, où elle a toujours souhaité se rendre, sans que l’occasion se présente". Elle a néanmoins déploré les "prix élevés des bijoux, fluctuant entre 15.000 et 22 .000 DA".
Parmi les pièces phares de cette exposition de bijoux kabyles, "Abzim", un joyau de toute beauté fait d’argent pur et de corail, que la mariée porte sur le front, ou qui est présenté en cadeau à la nouvelle maman d’un garçon, selon les us kabyles.
"Les bijoux kabyles renferment une symbolique riche faite de légendes et de croyances remontant aux temps anciens, durant lesquels l’on devait se protéger contre le mauvais œil (Al Ain) et les mauvais esprits", a expliqué l’un des exposants, relevant qu’une majorité des visiteurs n’est pas bien informée sur le us et patrimoine de la région de Kabylie.
Il a cité parmi les bijoux dotés d’une grande symbolique de protection "Azrar Lahrouz", un collier portée, jusqu’à nos jours, par les mariées avec la robe kabyle traditionnelle.
L’exposition, abritée par le centre culturel "Mohamed Khedioui" renferme plusieurs autres aspects du patrimoine culturel kabyle, à l’instar de la poterie, des tapis faits main, et des habits traditionnels, outre des photos de personnalités réputées de la région, dont le légendaire homme de culte Cheikh Mohand Oulhocine, le poète Si muhend Umhend, le chanteur Cherif Kheddam.
Des soirées artistiques kabyles sont aussi au programme de la semaine culturelle.
APS
Les visiteuses ne "peuvent s’empêcher de se diriger vers le stand des bijoux kabyles en argent, où elles observent une longue halte" , a relevé, amusée, l’une des organisatrices, Anissa Zeghdoud.
"Elles ont manifesté un vif intérêt pour ces bijoux, confectionnés en argent pur, en posant moult questions sur les occasions de leur port, et leur symbolique notamment", a-t-elle constaté.
Mme Amina, a déclaré à l’APS, être "spécialement venue pour voir de plus près les habits et les bijoux traditionnels de la Kabylie, où elle a toujours souhaité se rendre, sans que l’occasion se présente". Elle a néanmoins déploré les "prix élevés des bijoux, fluctuant entre 15.000 et 22 .000 DA".
Parmi les pièces phares de cette exposition de bijoux kabyles, "Abzim", un joyau de toute beauté fait d’argent pur et de corail, que la mariée porte sur le front, ou qui est présenté en cadeau à la nouvelle maman d’un garçon, selon les us kabyles.
"Les bijoux kabyles renferment une symbolique riche faite de légendes et de croyances remontant aux temps anciens, durant lesquels l’on devait se protéger contre le mauvais œil (Al Ain) et les mauvais esprits", a expliqué l’un des exposants, relevant qu’une majorité des visiteurs n’est pas bien informée sur le us et patrimoine de la région de Kabylie.
Il a cité parmi les bijoux dotés d’une grande symbolique de protection "Azrar Lahrouz", un collier portée, jusqu’à nos jours, par les mariées avec la robe kabyle traditionnelle.
L’exposition, abritée par le centre culturel "Mohamed Khedioui" renferme plusieurs autres aspects du patrimoine culturel kabyle, à l’instar de la poterie, des tapis faits main, et des habits traditionnels, outre des photos de personnalités réputées de la région, dont le légendaire homme de culte Cheikh Mohand Oulhocine, le poète Si muhend Umhend, le chanteur Cherif Kheddam.
Des soirées artistiques kabyles sont aussi au programme de la semaine culturelle.
APS
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