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Les crimes d’honneur ne sont pas près de quitter les esprits. Pour laver l’honneur de sa famille, qu’il estime être bafoué par sa propre nièce, un homme d’une quarantaine d’années est accusé du meurtre de cinq personnes dans la région de Djelfa.
Le mobile du crime n’est autre que la fugue dont était responsable la nièce du présumé meurtrier, en quittant le domicile familial pour rejoindre celui de son amoureux. Selon des informations, l’accusé est soupçonné d’être derrière l’assassinat, dans un premier temps, de deux de ses cousins, à qui il reprochait de ne pas avoir empêché la jeune fille, âgée de 24 ans, de quitter la maison pour rejoindre son petit- ami, alors qu’elle devait se marier avec un autre homme choisi par sa famille.
Les mêmes informations précisent que l’homme est parti ensuite à bord de son véhicule à la recherche de sa nièce dans la région de Hassi Fdoul, à une centaine de kilomètres de Djelfa, où il aurait ouvert le feu sur trois membres de la famille du petit-ami de sa nièce. Deux d’entre eux sont morts sur le coup, tandis que le troisième a succombé à ses blessures à l’hôpital. Le meurtrier présumé s’est ensuite directement livré aux services de sécurité. Il était armé d’un fusil de chasse appartenant à son père.
La jeune fille et son petit-ami ont trouvé refuge dans une brigade de gendarmerie de la région. Selon des avocats, le criminel risque la peine de mort et les crimes d’honneur ne sont pas reconnus par la justice algérienne. Ce n’est pas la première fois que les histoires de « mariage forcé » provoquent des meurtres de ce genre. Il est plus qu’urgent que la notion de liberté prenne sa vraie valeur dans la société.
REPORTERS.DZ
Le mobile du crime n’est autre que la fugue dont était responsable la nièce du présumé meurtrier, en quittant le domicile familial pour rejoindre celui de son amoureux. Selon des informations, l’accusé est soupçonné d’être derrière l’assassinat, dans un premier temps, de deux de ses cousins, à qui il reprochait de ne pas avoir empêché la jeune fille, âgée de 24 ans, de quitter la maison pour rejoindre son petit- ami, alors qu’elle devait se marier avec un autre homme choisi par sa famille.
Les mêmes informations précisent que l’homme est parti ensuite à bord de son véhicule à la recherche de sa nièce dans la région de Hassi Fdoul, à une centaine de kilomètres de Djelfa, où il aurait ouvert le feu sur trois membres de la famille du petit-ami de sa nièce. Deux d’entre eux sont morts sur le coup, tandis que le troisième a succombé à ses blessures à l’hôpital. Le meurtrier présumé s’est ensuite directement livré aux services de sécurité. Il était armé d’un fusil de chasse appartenant à son père.
La jeune fille et son petit-ami ont trouvé refuge dans une brigade de gendarmerie de la région. Selon des avocats, le criminel risque la peine de mort et les crimes d’honneur ne sont pas reconnus par la justice algérienne. Ce n’est pas la première fois que les histoires de « mariage forcé » provoquent des meurtres de ce genre. Il est plus qu’urgent que la notion de liberté prenne sa vraie valeur dans la société.
REPORTERS.DZ
yakhi double hmar! 
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