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Le français Michelin sur le point de quitter l’Algérie

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  • Le français Michelin sur le point de quitter l’Algérie

    Le français Michelin sur le point de quitter l’Algérie
    Samir Allam
    INFO ***********.com. Après 50 ans de présence, Michelin s’apprête à quitter l’Algérie, ont indiqué à TSA des sources industrielles algériennes. Selon nos informations, le groupe spécialisé dans le pneumatique finalise actuellement la cession de sa filiale algérienne.
    L’annonce officielle pourrait intervenir dès mercredi prochain, ont ajouté nos sources, sans fournir plus de précisions.

    Interrogé par TSA, le groupe Michelin n’a pas répondu. Les responsables de sa filiale algérienne ont promis une réponse, sans la donner.

    Les négociations en vue de la cession de cette filiale se déroulent dans la confidentialité totale. Les autorités algériennes n’ont pas encore été informées officiellement des discussions. Mais le gouvernement suit de près le dossier de cession de Michelin, notamment le volet concernant l’emploi.

    Michelin Algérie emploie près de 700 salariés, dans la banlieue sud d’Alger et les autorités ne souhaitent pas se retrouver avec un conflit social similaire à celui qui secoue depuis quelques années ArcelorMittal Annaba que le gouvernement s’apprête à renationaliser. « C’est une question de petites semaines », a précisé à TSA une source proche du dossier.
    TSA

  • #2
    avec l'explosion du parc automobile algérien je doute fort que cela soit vrai

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    • #3
      avec l'explosion du parc automobile algérien je doute fort que cela soit vrai
      Si c'est vrai, les gérants de cette société se tirent vraiment une balle sur le pied !

      Commentaire


      • #4
        bon debarras

        Commentaire


        • #5
          C'est pas lié au marché algérien mais plus aux difficultés de Michelin en France pour les pneus poids lourd où il l il veut supprimer des postes, le coût de la restructuration lui impose de se désengager d'autres sites à l'étranger.

          Concernant le site algérien qui produit des pneus pour poids lourds pas de soucis, il y aura preneur !



          Les départs concerneraient l’usine de Joué-les-Tours, spécialisée dans la fabrication de pneus poids-lourds, une branche en difficulté. Pessimistes, les syndicats parient désormais sur la fermeture prochaine de leur usine.


          La rumeur enflait depuis plusieurs semaines. Elle devrait se confirmer mercredi prochain. À cette date, Michelin devrait annoncer la suppression de 700 emplois sur les 927 que compte son usine de Joué-les-Tours, en Indre-et-Loire, affirment des sources syndicales. Un comité central d’entreprise se tiendra à Clermont-Ferrand, siège du groupe, le 13 juin, a précisé Olivier Coutant,du syndicat Sud. Interrogée par Le Figaro, la direction a refusé de commenter l’information ce samedi.
          Après les départs, le site «ne conserverait que deux activités» annexes employant 200 personnes, a précisé Olivier Coutant. Cette usine, où sont fabriqués les pneus pour les poids-lourds, connaît des difficultés en raison du ralentissement du transport routier. Sur ce secteur, les ventes en première monte ont baissé de 3% en Europe et de 12% en Amérique du Nord au premier trimestre. Celles en remplacement, branche qui représente 80% des volumes du groupe, ont grignoté 5% en Europe mais ont flanché de 1% en Amérique du Nord. La situation ne s’améliore donc pas depuis l’année dernière. En 2012, le marché européen a chuté de 4% en première monte et de 14% en remplacement.
          Pas de licenciements secs

          Michelin souhaite éviter les licenciements secs et les départs contraints. Une partie des salariés pourrait donc bénéficier d’un départ en retraite anticipée. Les autres seront déployés dans d’autres sites en France, notamment à La Roche-sur-Yon (Vendée), où un programme d’investissement de plus de 500 millions d’euros en recherche et développement est envisagé.
          «Pour les plus jeunes, la clause de mobilité est désormais incluse dans le contrat de travail. Malheureusement, nous estimons qu’environ 300 personnes pourraient être licenciées et ne pourront pas bouger, parce que les conjoints ont un travail dans l’agglomération de Tours», a affirmé Claude Guillon, de la CGT.
          «Je conseille à Montebourg de ne pas faire le déplacement»

          Dépités, les syndicats envisagent désormais le pire pour leur usine. «On a un patron qui veut passer pour un bon patron. C’est-à-dire qu’il maintient une activité sur le site. Mais nous, organisations syndicales, on pense que ça va pas durer et que quelques mois après, on annoncera la fermeture totale du site», déplorait Olivier Coutant, au micro d’Europe 1 ce dimanche.
          «Ca y est, c’est fini, même si Arnaud Montebourg vient nous voir. Je lui conseille de ne pas faire le déplacement. Ce n’est pas la peine. On a vu son palmarès donc qu’il reste tranquillement dans son ministère. Nous on va s’occuper de nos salariés et on va essayer de négocier le mieux possible pour pouvoir faire en sorte qu’ils partent le plus dignement possible», ajoutait Claude Guillon.
          Taux d’utilisation de l’usine trop faible

          En avril dernier, Marc Henry, le directeur financier du fabricant de pneumatiques, avait prévenu: «Si les volumes demeurent aux niveaux actuels, cela impliquerait bien sûr certaines restructurations en Europe». L’usine de Joué-les-Tours, dont le taux d’utilisation ne serait plus que de 60% d’après les syndicats, était directement visée. Le groupe n’y fabrique plus que 600.000 gommes par an assure Le Monde, loin de l’objectif du million fixé par la direction de Michelin en 2009.
          À cette date, l’usine avait déjà fait l’objet d’un plan social qui avait abouti à la suppression de 340 emplois. Pour les employés de Michelin, 2009 avait été une année noire, puisque le groupe avait également fermé son site Kléber à Toul en Meurthe-et-Moselle.
          La marque emploie 63.100 personnes en Europe, dont environ 24.000 en France. En 2012, Michelin a enregistré une hausse de son chiffre d’affaires à 21,5 milliards d’euros

          Le Figaro

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          • #6
            Je vous l'avais dis aucune crainte pour l'usine algérienne:

            Cevital rachète Michelin Algérie

            Cevital s’empare de Michelin Algérie. Le premier groupe privé algérien en termes de chiffre d’affaires a racheté 67% du capital de la filiale algérienne du géant français du pneumatique, a indiqué ce lundi 10 juin à TSA, son président Issad Rebrab

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