La police a ouvert une enquête sur des rites sexuels étranges exercés dans de luxueuses villas situées sur la corniche d’Aïn Diab, à Casablanca. Les protagonistes, des hommes d’affaires et des politiciens célèbres, s’y livreraient à des pratiques sexuelles collectives, avec des filles âgées de moins de 20 ans.
Les services de renseignement se sont également saisi de l’affaire, dans laquelle seraient impliquées d’imminentes personnalités marocaines, mais aussi des pays du Golfe et de Libye, soupçonnées de dépenser des fortunes lors de ces orgies, rapporte Al Massae.
D’après un rapport de police cité par le journal, les clients de ces villas préfèrent ne pas s’afficher dans les boites de nuit huppées de la corniche de casablanca, afin d’être libre de s’adonner à des rituels sexuels hors normes.
Le propriétaire de l’une des deux villas où se dérouleraient ces rencontres, aurait des liens avec un réseau de prostitution de luxe, opérant entre l’aéroport Mohammed V de Casablanca et des appartements meublés au quartier Bourgogne à Casablanca.
Une hôtesse de l’air jouant le rôle d’intermédiaire pour les membres du réseau, aurait été entendue récemment par la police, à qui elle aurait donné les noms de plusieurs fidèles clients des maisons closes.
bladi
Les services de renseignement se sont également saisi de l’affaire, dans laquelle seraient impliquées d’imminentes personnalités marocaines, mais aussi des pays du Golfe et de Libye, soupçonnées de dépenser des fortunes lors de ces orgies, rapporte Al Massae.
D’après un rapport de police cité par le journal, les clients de ces villas préfèrent ne pas s’afficher dans les boites de nuit huppées de la corniche de casablanca, afin d’être libre de s’adonner à des rituels sexuels hors normes.
Le propriétaire de l’une des deux villas où se dérouleraient ces rencontres, aurait des liens avec un réseau de prostitution de luxe, opérant entre l’aéroport Mohammed V de Casablanca et des appartements meublés au quartier Bourgogne à Casablanca.
Une hôtesse de l’air jouant le rôle d’intermédiaire pour les membres du réseau, aurait été entendue récemment par la police, à qui elle aurait donné les noms de plusieurs fidèles clients des maisons closes.
bladi
Commentaire