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Le barrage hydraulique de Taksebt, sis à Takhoukht dans la wilaya de Tizi-Ouzou, ne cesse de recevoir des centaines de mètres cubes de rejets et d’eaux usées découlant de différents villages relevant de cinq communes, à savoir Béni-Douala, Ouadhias, Larbaâ Nath-Irathen, Aïn El Hammam et Ouacif. Il est à signaler que ce réservoir d’eau contient une capacité de 180 millions de mètres cubes. Il alimente le flanc nord de la wilaya de Tizi-Ouzou, ainsi que d’autres wilayas, notamment Boumerdès et Alger.
« Le barrage de Taksebt souffre de la pollution à cause des rejets provenant des village en amont. Heureusement que le bassin versant est très boisé, car cela favorise son autoépuration », dira M. Hameg, directeur de l’hydraulique de Tizi-Ouzou. Il a affirmé, par ailleurs, que le ministère des Ressources en Eaux a inscrit une opération centralisée de protection de cuvette de Taksebt à l’intitulé de l’office national d’assainissement (ONA) moyennant six stations d’épuration des eaux usées (STEP). « Une enveloppe de 5.5 milliards de DA a été attribuée à ce projet, qui est en phase de finalisation du dossier d’exécution, dont le cahier des charges a été approuvé par la commission des marchés. Quant aux appels d’offres, ils se feront incessamment et dès qu’un bureau d’études sera retenu, les travaux démarreront », indiquera ce responsable. Il est à rappeler que cette opération a été inscrite dans le cadre du programme quinquennal de développement de 2010-2014.
Quatre de ces stations d’épuration sont programmées dans les communes de Aïn El Hammam (1 860 mètres cubes/jour), Ouacif (1 320 mètres cubes/jour), Ouadhias (2 580 mètres cubes/jour) et à Mechtras (4 453 mètres cubes/jour). Tandis que les deux autres d’une capacité de 1 800 et 1 344 mètres cubes/jour seront implantées dans la commune d’Irdjen. M. Hameg conclura : « C’est vrai que le barrage de Taksebt reçoit des rejets, mais comme je l’ai dit, le bassin versant boisé favorise son autoépuration.
Puis, nous avons, aussi, la carpe royale et la carpe chinoise argenté, ainsi que des canards qui sont des indices de vie. C’est-à-dire s’il y avait de la pollution dans cette eau, ces espèces ne pourront pas vivre. Nous les élevons dans ce bassin exprès, car nous les considérons comme des indices annonciateurs de pollution. Je tiens aussi à préciser aux citoyens que cette eau, avant qu’elle coule dans leurs robinets, passe par une station de traitement d’eau, et par un laboratoire pour analyser et décider si c’est une eau potable ou pas ».
La Dépêche de kabylie.
« Le barrage de Taksebt souffre de la pollution à cause des rejets provenant des village en amont. Heureusement que le bassin versant est très boisé, car cela favorise son autoépuration », dira M. Hameg, directeur de l’hydraulique de Tizi-Ouzou. Il a affirmé, par ailleurs, que le ministère des Ressources en Eaux a inscrit une opération centralisée de protection de cuvette de Taksebt à l’intitulé de l’office national d’assainissement (ONA) moyennant six stations d’épuration des eaux usées (STEP). « Une enveloppe de 5.5 milliards de DA a été attribuée à ce projet, qui est en phase de finalisation du dossier d’exécution, dont le cahier des charges a été approuvé par la commission des marchés. Quant aux appels d’offres, ils se feront incessamment et dès qu’un bureau d’études sera retenu, les travaux démarreront », indiquera ce responsable. Il est à rappeler que cette opération a été inscrite dans le cadre du programme quinquennal de développement de 2010-2014.
Quatre de ces stations d’épuration sont programmées dans les communes de Aïn El Hammam (1 860 mètres cubes/jour), Ouacif (1 320 mètres cubes/jour), Ouadhias (2 580 mètres cubes/jour) et à Mechtras (4 453 mètres cubes/jour). Tandis que les deux autres d’une capacité de 1 800 et 1 344 mètres cubes/jour seront implantées dans la commune d’Irdjen. M. Hameg conclura : « C’est vrai que le barrage de Taksebt reçoit des rejets, mais comme je l’ai dit, le bassin versant boisé favorise son autoépuration.
Puis, nous avons, aussi, la carpe royale et la carpe chinoise argenté, ainsi que des canards qui sont des indices de vie. C’est-à-dire s’il y avait de la pollution dans cette eau, ces espèces ne pourront pas vivre. Nous les élevons dans ce bassin exprès, car nous les considérons comme des indices annonciateurs de pollution. Je tiens aussi à préciser aux citoyens que cette eau, avant qu’elle coule dans leurs robinets, passe par une station de traitement d’eau, et par un laboratoire pour analyser et décider si c’est une eau potable ou pas ».
La Dépêche de kabylie.
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