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Fabius et l’enfant syrien

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  • Fabius et l’enfant syrien

    C’est l’agence française de presse AFP qui a donné cette information, et celle-ci n’a pu échapper à l’attention de Laurent Fabius. Il s’agit de l'exécution barbare d'un adolescent de 14 ans dans le nord de la Syrie par un groupe islamiste armé. L’AFP ne pouvait le préciser, on le comprend, mais il est plus juste d’écrire «un groupe islamiste armé par la France», directement ou indirectement. Tout dans la position de la France à l’égard des autorités syriennes laisse penser qu’elle est impliquée dans la livraison d’armes aux «rebelles». Naturellement, le Quai d’Orsay n’a pas réagi à l’information, pris dans une sorte de piège qui consiste à considérer la condamnation d’un acte terroriste – même s’il est aussi abominable que l’assassinat sauvage d’un enfant – peut être assimilé à un soutien au «régime d’Al-Assad». Or, Fabius ne cesse de répéter à qui veut l’entendre qu’Al-Assad doit partir pour (c’est sous-entendu, bien sûr, mais c’est évident) laisser la place à des groupes de criminels appelés et traités comme «opposition armée» par les pays occidentaux. La France, en particulier, s’est illustrée par sa détermination à faire lever l’embargo qui était appliqué par l’Union européenne sur la livraison d’armes à l’opposition dont un spécimen est constitué par le groupe terroriste qui a tué le jeune Mohammed Qattaa, quelque part dans un «territoire libéré», la dépêche de l’AFP ne précise même pas où le fait s’est produit. Pour justifier son acharnement à amener l’UE à lever cet embargo, Laurent Fabius avait cyniquement exploité le sentiment que provoquent dans l’opinion les informations qui parviennent de Syrie. Il avait évoqué «les corps ensanglantés, allongés sur des lits d’hôpitaux, de trois enfants – 7, 9 et 11 ans – tués par un tir de missile sur le village d’Abou Taltal, dans la province d’Alep, devenus un des symboles de ce peuple qu’on assassine». Sans preuve aucune, il dirige systématiquement ses accusations contre Al-Assad, l’homme que la majorité des Syriens éliront à la tête de leur Etat en 2014, et que, lui, le chef de la diplomatie française, qualifie de «dictateur». Laurent Fabius est sans doute aujourd’hui le seul à décréter que «Bachar Al-Assad n’aura personnellement plus sa place dans la Syrie de demain». Sur le terrain, les choses évoluent autrement et un jour ou l’autre, Fabius sera bien obligé de le reconnaître.
    Kamel Moulfi
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    il tuent les civiles innocents
    viol les petites filles et petit garcons
    tuent les savants de tout les relegions
    enlevent les journaliste et proches des dirigents
    detruit les eglises, mosqués, tombes et maisons
    recrutent des femmes et enfants
    cannibale mercenaire etrangers et musulmans
    debarque par la turquie, ,jordanie et le liban
    aux service de leur maitre a l'occident
    la facture est payé comptants
    les sionistes offre les armes les porc de l'argent
    terroristes mediatisé comme opposants
    torture mutilation et executions
    aux cris d' allah akbar sur tout les ecrans
    tout est halal selon les mufti de l'otan

    oudjda le poete de mercredi
    Tous droits réservés
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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    • #3
      Or, Fabius ne cesse de répéter à qui veut l’entendre qu’Al-Assad doit partir pour (c’est sous-entendu, bien sûr, mais c’est évident) laisser la place à des groupes de criminels appelés et traités comme «opposition armée» par les pays occidentaux.
      La classe politique francaise vire a la schizophrénie

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