"Dans ce contexte, il est aberrant de compter l'enseigne de cette organisation dans les assises de l'UA.
Kinshasa - La présence du "front polisario" dans l'Union africaine (UA) relève du "ridicule", dont il convient d'éviter à l'Afrique de se couvrir, souligne le quotidien kinois "L'Observateur", précisant que cette entité "n'a plus d'emprise sur le terrain et est devenue de plus en plus aphone".
Cela relève du ridicule dont il convient d'éviter l'Afrique de se couvrir", indique le journal, dans sa livraison de jeudi, rappelant que l'admission de la "RASD" en 1984 avait provoqué le retrait du Maroc qui avait abandonné son siège à Addis-Abeba.
"Avec le recul de temps, trente ans environ après, cette décision apparaît comme une aberration à l'instar de certaines autres positions de l'instance politique africaine souvent décrochées de la réalité, et donc sans impact réel sur les cours de l'histoire", a affirmé la publication congolaise.
"Que représente le +front polisario+ aujourd'hui inconnu du grand public et dont les dirigeants sont régulièrement accusés de maintenir en otage les populations des camps de Tindouf en Algérie? Qui pense encore à l'ex-Sahara occidental comme une entité à part entière? S'interroge le journal, faisant savoir que même les Nations unies s'épuisent depuis des décennies à trouver les termes de référence adéquats à l'organisation d'un référendum.
Le Sahara est devenu un territoire intégré au Royaume du Maroc, politiquement, économiquement, socialement et culturellement, a-t-il ajouté.
lemag
Kinshasa - La présence du "front polisario" dans l'Union africaine (UA) relève du "ridicule", dont il convient d'éviter à l'Afrique de se couvrir, souligne le quotidien kinois "L'Observateur", précisant que cette entité "n'a plus d'emprise sur le terrain et est devenue de plus en plus aphone".
Cela relève du ridicule dont il convient d'éviter l'Afrique de se couvrir", indique le journal, dans sa livraison de jeudi, rappelant que l'admission de la "RASD" en 1984 avait provoqué le retrait du Maroc qui avait abandonné son siège à Addis-Abeba.
"Avec le recul de temps, trente ans environ après, cette décision apparaît comme une aberration à l'instar de certaines autres positions de l'instance politique africaine souvent décrochées de la réalité, et donc sans impact réel sur les cours de l'histoire", a affirmé la publication congolaise.
"Que représente le +front polisario+ aujourd'hui inconnu du grand public et dont les dirigeants sont régulièrement accusés de maintenir en otage les populations des camps de Tindouf en Algérie? Qui pense encore à l'ex-Sahara occidental comme une entité à part entière? S'interroge le journal, faisant savoir que même les Nations unies s'épuisent depuis des décennies à trouver les termes de référence adéquats à l'organisation d'un référendum.
Le Sahara est devenu un territoire intégré au Royaume du Maroc, politiquement, économiquement, socialement et culturellement, a-t-il ajouté.
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