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L’Algérie est sur le point de renationaliser le complexe sidérurgique d’El Hadjar. Selon une source officielle, l’Etat algérien et ArcelorMittal sont très proches d’un accord. « Les négociations ne sont pas encore achevées, mais un accord pour le rachat du complexe d’El Hadjar est très proche. Il sera conclu au plus tard début juillet », affirme la même source à TSA.
Cet accord prévoit que les intérêts algériens soient majoritaires dans ArcelorMittal Annaba, la filiale locale du géant mondial de l’acier. L’accord doit être validé lors de la prochaine réunion du Conseil des participations de l’Etat (CPE), sous la présidence du Premier ministre Abdelmalek Sellal.
En 2012, le gouvernement Sellal avait refusé de renouveler la convention d’investissement conclu avec l’indien Ispat (devenu ultérieurement ArcelorMittal) en 2001 lors du rachat par ce dernier du complexe sidérurgique d’El Hadjar. Il s’était également opposé à la vente de l’usine au groupe privé Cevital avec qui ArcelorMittal était en négociations.
Selon le député Smaïn Kouadria, ancien secrétaire général du syndicat du complexe sidérurgique d’El Hadjar, « ArcelorMittal a accepté de céder la majorité des actifs à la partie algérienne ».
Le géant mondial de l’acier a accepté de céder le contrôle du complexe d’El Hadjar (dont il détient 70% du capital) parce qu’« il n’a pas les moyens d’accompagner le plan d’investissement », selon M. Kouadria.
L’accord qui devrait être conclu entre l’Algérie et le géant mondial de l’acier prévoit que 46% des actifs d’ArcelorMittal Annaba soient détenus par le groupe public Sider, 5% par le Fonds national d’investissement (FNI) et 49% restants par ArcelorMittal.
Le plan de développement du complexe sidérurgique d’El Hadjar de 700 millions de dollars prévoit de porter les capacités de production de l’usine sidérurgique à 2,2 millions de tonnes d’acier par an, au lieu de 1 million de tonnes actuellement.
Cet accord prévoit que les intérêts algériens soient majoritaires dans ArcelorMittal Annaba, la filiale locale du géant mondial de l’acier. L’accord doit être validé lors de la prochaine réunion du Conseil des participations de l’Etat (CPE), sous la présidence du Premier ministre Abdelmalek Sellal.
En 2012, le gouvernement Sellal avait refusé de renouveler la convention d’investissement conclu avec l’indien Ispat (devenu ultérieurement ArcelorMittal) en 2001 lors du rachat par ce dernier du complexe sidérurgique d’El Hadjar. Il s’était également opposé à la vente de l’usine au groupe privé Cevital avec qui ArcelorMittal était en négociations.
Selon le député Smaïn Kouadria, ancien secrétaire général du syndicat du complexe sidérurgique d’El Hadjar, « ArcelorMittal a accepté de céder la majorité des actifs à la partie algérienne ».
Le géant mondial de l’acier a accepté de céder le contrôle du complexe d’El Hadjar (dont il détient 70% du capital) parce qu’« il n’a pas les moyens d’accompagner le plan d’investissement », selon M. Kouadria.
L’accord qui devrait être conclu entre l’Algérie et le géant mondial de l’acier prévoit que 46% des actifs d’ArcelorMittal Annaba soient détenus par le groupe public Sider, 5% par le Fonds national d’investissement (FNI) et 49% restants par ArcelorMittal.
Le plan de développement du complexe sidérurgique d’El Hadjar de 700 millions de dollars prévoit de porter les capacités de production de l’usine sidérurgique à 2,2 millions de tonnes d’acier par an, au lieu de 1 million de tonnes actuellement.