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Marchés de centrales électriques : Deux PDG et plusieurs autres cadres de Sonelgaz inculpés

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  • Marchés de centrales électriques : Deux PDG et plusieurs autres cadres de Sonelgaz inculpés

    Marchés de centrales électriques

    Deux PDG et plusieurs autres cadres de Sonelgaz inculpés

    El Watan le 17.06.13 | 10h00



    Dix-sept personnes, dont deux PDG de Sonelgaz, l’actuel et son prédécesseur, ont été inculpées par le juge de la 9e chambre du pôle pénal spécialisé de Sidi M’hamed, près la cour d’Alger, apprend-on de source judiciaire. L’affaire concerne la réalisation par le groupe français Alstom et l’américain General Electric des centrales électriques de Koudiet Edraouech (El Tarf) et de Terga (Aïn Témouchent) pour un montant de 5,5 milliards de dollars.



    Confiée au juge de la 9e chambre du pôle pénal spécialisé de Sidi M’hamed, près la cour d’Alger, l’affaire des surcoûts dans la réalisation et l’acquisition des centrales électriques entame sa vitesse de croisière. Ainsi, le magistrat a inculpé l’actuel PDG de Sonelgaz, Noureddine Boutarfa, son prédécesseur Abdelkrim Benghanem, ainsi qu’un ex-responsable de la distribution, exerçant actuellement à Sonatrach. 15 autres cadres de la société et du secteur en général ont été par ailleurs inculpés.
    Selon nos sources, les mis en cause ont été placés sous contrôle judiciaire et interdits de quitter le territoire national tant que l’affaire n’a pas été close. Ils seraient poursuivis pour avoir entre autres «violé les dispositions du code des marchés publics», et la loi sur la corruption.


    Les installations ont coûté le triple de leur prix


    Pour l’instant, aucune information n’a été donnée par le groupe Sonelgaz, sur ce dossier qui éclabousse bon nombre de ses cadres dirigeants.
    L’affaire concerne en réalité le contrat de deux centrales électriques à Terga (Aïn Témouchent) et à Koudiet Edraouech (El Tarf), signé en 2007, pour un montant de 5,5 milliards de dollars.
    D’une capacité de 1200 MW chacune, ces deux centrales auraient coûté le triple de leur prix réel. En effet, les circonstances dans lesquelles les deux marchés ont été octroyés à Alstom et à General Electric, avaient suscité de lourdes interrogations dans le milieu énergétique. A l’époque, les deux soumissionnaires (Alstom et General Electric) avaient fait des offres jugées trop excessives par rapport au plafond fixé par Sonelgaz, à savoir 3,4 milliards de dollars. Piégés par ces offres, la commission d’évaluation leur demande de revoir à la baisse leurs prix, mais ils refusent.

    Mieux, le marché est scindé en deux pour que chacun des soumissionnaires puisse obtenir un marché. Alstom arrache la construction de la centrale de Terga, dans un délai de 45 jours, pour un montant de 2,2 milliards de dollars, alors que General Electric réalise la centrale de Koudiet Draouech d’El Tarf, dans un délai de 48,5 jours, pour une enveloppe de 2,3 milliards de dollars. N’assurant que le volet engineering-équipements, les deux compagnies ont fait appel à des sous-traitants pour leur confier l’aspect construction du marché.
    De ce fait, Alstom a sous-traité avec Orascom Construction et General Electric, avec le groupe espagnol Iberdrola.
    Les spécialistes du domaine affirment que les montants de ces deux marchés sont trop excessifs, si l’on prend en compte la réalisation de la centrale électrique de Hadjret Ennous, à Tipasa, par le canadien SNC-Lavalin.

    En effet, pour la même capacité (1200 MW), cette centrale a coûté 826 millions de dollars, et elle a été confiée à la société Sharikat Kahraba Hadjret Ennous (SKH), une forme de partenariat public et privé entre Sonelgaz (10%), Sonatrach (10%), la société commune Sonatrach Sonelgaz AEC (29%) et la joint-venture SNC-Lavalin et Moubadala d’Abu Dhabi aux Emirats (51 %).
    Des écarts de montants qui intéressent depuis quelques mois le juge de la 9e chambre du pôle pénal spécialisé de Sidi M’hamed, et qui sont à l’origine de l’audition de plus d’une vingtaine de personnes, dont des témoins, à l’image du représentant de SNC-Lavalin, mais aussi des cadres de Sonelgaz. Dix-sept parmi ces derniers ont été inculpés, dont l’actuel PDG et son prédécesseur, vers la fin du mois de mai et le début de juin 2013. Dans ce dossier, encore une fois, le nom de l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, a été cité, étant donné qu’il aurait pesé de tout son poids pour favoriser Alstom et General Electric.




    Salima Tlemçani
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Les responsables de cet état de fait sont ceux qui ont bloqué le développement de la Sonelgaz, pour disent-ils ouvrire le marché de l'electricité à la concurrence. Sonalgaz se retrouvant piégée par des besoins de réalisations de centrales électriques qu'elle a géré probablement dans l'urgence, subissant le dictact et la collusion des seuls 2 soummissionnaires.

    La catastrophe de la production électrique de Sonelgaz en été 2012 est une autre preuve du retard pris par la Sonelgaz...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      LE FIGARO France: Publié le 26/11/2008

      En décembre 2007, Alstom avait remporté le contrat dans lequel il s'engageait à fournir la centrale à gaz SKT de Terga à (Aïn Témouchent) en partenariat avec l'égyptien Orascom.

      Les deux entreprises avaient été choisies par la compagnie publique algérienne Sonelgaz. Pour un montant de 1,3 milliard d'euros, d'une capacité de 1200 MW.


      ???






      .
      Dernière modification par MEK, 17 juin 2013, 14h35.

      Commentaire


      • #4
        Ainsi donc des marchés de 2 à près de 4 milliards de dollars auraient été octroyés par des PDG de Sonelgaz à des sociétés étrangères, en violation des «dispositions du code des marchés publics». Cela s’est passé il y a près de six ans. Il a fallu tout ce temps pour que ce viol des «dispositions du code des marchés publics» soit découvert par un «juge de la 9e chambre du pôle pénal spécialisé».

        Deux milliards de dollars c’est à peu près 150 milliards de dinars. Que dit le code des marchés publics à ce propos :
        Décret présidentiel n°°10-236 du 7 octobre 2010 portant réglementation des marchés publics, modifié et complété..

        Art. 146. En matière de contrôle, la commission nationale des marchés de travaux se prononce sur tout projet :
        – de marché de travaux dont le montant est supérieur à un milliard de dinars (1.000.000.000 DA) …

        Art. 149. La commission nationale des marchés de travaux est composée comme suit :
        — du ministre des finances ou son représentant, président ;
        — du représentant du ministre des finances (division des marchés publics), vice-président ;
        — du représentant du ministre de la défense nationale ;
        — du représentant du ministre de l’intérieur et des collectivités locales ;
        — du représentant du ministre des affaires étrangères ;
        — de deux (2) représentants du ministre chargé des finances (direction générale du budget et direction générale de la comptabilité) ;
        — du représentant du ministre de la justice ;
        — du représentant du ministre des ressources en eau ;
        — du représentant du ministre des transports ;
        — du représentant du ministre des travaux publics ;
        — du représentant du ministre du commerce ;
        — du représentant du ministre de l’habitat et de l’urbanisme ;
        — du représentant du ministre de l’industrie, de la petite et moyenne entreprise et de la promotion de l’investissement ;
        — du représentant du ministre de tutelle du service contractant, lorsque celui-ci n’est pas représenté au sein de la commission.
        C’est donc la commission nationale des marchés, composées de représentants de ministres et présidée par le ministre des finances ou son représentant, qui statue dans le cas de tels marchés, ce qui revient à dire qu’elle veille sur le respect des procédures de passation du marché, qu’entre autres, elle valide (ou invalide) :
        – le cahier des charges,
        – le choix du bénéficiaire du marché

        Des opérations d’une telle ampleur sont suivies pas à pas depuis leur genèse par différents départements ministériels (énergie et finances notamment), par les services de sécurité et même par la présidence de la république.

        Les centrales dont parle l’article sont aujourd’hui quasiment opérationnelles. Si au niveau de la passation des marchés pour leur réalisation on n’avait pas fait les choses de façon réglementaire, alors comment expliquer le fait que la commission nationale des marchés, le ministre de l’énergie, le ministre des finances n’aient pas réagi alors que les marchés n’auraient jamais été signés sans leurs accords écrits après un contrôle tâtillon.

        Comment a-t-on débloqué le financement de ces opérations sans le visa de la commission nationale sur les marchés et sans l'accord de plusieurs ministres?

        Comment la Banque d'Algérie aurait-elle pu autoriser les transferts de devises vers l'étranger (règlement des importations des équipements, transfert d'une part des bénéfices des sociétés adjudicatrices et sous-traitantes, etc.)?

        Les précédents de SIDER (ex SNS), d’ENCOPHARM et d’autres grandes entreprises publiques, dont on a jeté les dirigeants en prison, juste pour pouvoir les liquider aisément et laisser ainsi le champ libre aux «mafia» de l’acier, du médicament, de l’import-import, etc.
        "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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        • #5
          @Benam

          C'est exactement où le bas blesse, car non seulement, des projets de cette ampleur ont été suivi par tout les organismes cités, mais les ralonges et avenants aussi...

          Le précédent SIDER utilisé par un clan de ce pouvoir pour s'accaparer un marché, et cette menstruosité juridique qui est utilisée par un autre clan pour des besoins politiques, en explosant le management de la Sonelgaz qui risque de ne pas se remettre de cette décapitation...

          Il faudrait espèrer que la justice puisse être véritablement indépendante et qu'elle se rende compte de la monstruosité que tu as très bien décris... et surtout que la Sonelgaz, qui a un cahier de charge extrémement remplis et ambitieux, puisse être capable de l'honorer...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            TSA - lundi, 17 juin 2013 19:33
            Le PDG, l’ex-PDG et 15 autres cadres de Sonelgaz inculpés par la justice dans l’enquête sur le scandale SNC-Lavalin

            Sonia Lyes





            L’actuel PDG de Sonelgaz, Nouredine Bouterfa, son prédécesseur, Abdelkrim Benghanem, un ex-responsable de la distribution et quinze autres cadres du groupe, inculpés par la justice, devront « assumer leurs responsabilités », a affirmé, ce lundi 17 juin à Constantine, le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, rapporte l’agence APS.

            Dimanche, le quotidien Echourouk avait rapporté que le PDG et un ex-PDG de Sonelgaz ont été placés sous contrôle judiciaire dans le cadre de l’enquête sur les contrats conclus avec le groupe canadien SNC-Lavalin.
            Les cadres de Sonelgaz inculpés par la justice sont poursuivis dans une affaire de surcoût dans la réalisation et l’acquisition de deux centrales électriques de Koudiet Edraouech (El Tarf) et Terga (Aïn Témouchent) pour les chefs d’inculpation « de violation des dispositions du code des marchés publics » et la loi sur la corruption.
            M. Yousfi, qui n’était pas aux affaires du temps où ces deux projets ont été lancés, a assuré qu’il est à la disposition, lui et d’autres cadres, de la justice, en cas de besoin. « Le ministère de l’Energie, quel que sera le verdict dans cette affaire impliquant notamment l’actuel président-directeur général de Sonelgaz et son prédécesseur, subira le meilleur et le pire des conséquences devant en découler », a déclaré le ministre.
            « Le ministère ainsi que tous ses cadres se tiendront au service de la justice », a-t-il dit, en refusant « tout jugement de valeur », par respect sans doute au principe de la présomption d’innocence. « Personne n’a le droit de s’ingérer dans les affaires d’une institution indépendante (…), il est inadmissible qu'on empiète sur les prérogatives de la justice », a-t-il souligné. Par ailleurs, à une question sur la relation liant la compagnie pétrolière Sonatrach à la firme italienne Saipem, M. Yousfi a indiqué que « l’Algérie, pays souverain, prendra, si la nécessité l’y oblige, ses distances pour défendre ses intérêts de manière conforme à la loi ».
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #7
              Que ce passe t il, çà arrête pas, on va d'affaire en affaire, depuis que boutef est malade les juges retrouvent un peu plus de liberté ??

              Commentaire


              • #8
                Que ce passe t il, çà arrête pas, on va d'affaire en affaire, depuis que boutef est malade les juges retrouvent un peu plus de liberté ??
                __________________
                Interprétation toujours aussi douteuses... Ces affaires sont en instruction judiciaire d'après le même journaliste (édition El Watan du 24/04/2013 : Le grand scandale des surcoûts : ...Certaines sources proches du dossier n’écartent pas la thèse «de la corruption» dans ces contrats conclus durant la période où l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil,....), depuis au moins avril 2013...

                Les mêmes sont à l'afflu des exploitations bouliticienens....
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire


                • #9
                  PDG et un ex-PDG de Sonelgaz ont été placés sous contrôle judiciaire dans le cadre de l’enquête sur les contrats conclus avec le groupe canadien SNC-Lavalin.

                  Les cadres de Sonelgaz inculpés par la justice sont poursuivis dans une affaire de surcoût dans la réalisation et l’acquisition de deux centrales électriques de Koudiet Edraouech (El Tarf) et Terga (Aïn Témouchent)
                  Ce journaleux mélange tout.

                  1/- SNC Lavalin est plutot lié au projet de centrale Hadjeret Ennous de Tipaza.
                  En effet, ce projet a couté 850 millions $ dont laquelle l'Algérie a dû payer en plus +160 millions $ de pénalités de retards + 327 millions $ comme contrat supplémentaire pour la maintenance(20 ans)+ les autres concessions algériennes à cette société (livraison terrain + eau + gaz + installation pipeline depuis Tiaret = GRATUIT + exemption d'impôts …etc)

                  Donc, grosso modo ce projet aura couté la bagatelle de :

                  1,4 milliards $ + surcout des différentes concessions supplémentaire faite par Chakib Khelil et son équipe.


                  2/- Les 2 centrales électriques de Koudiet Edraouech (El Tarf) et Terga (Aïn Témouchent) sont plutot liés aux contrats avec mes deux compagnies (infos diffusés par les concernés et par toute la presse):
                  - Alstom (Centrale TERGA) à 1,98Milliards $
                  - General Electric (Centrale Koudiet Edraouch) à 2,154 Milliards $

                  C'est à dire total de 4,134 Milliards $.

                  3/- L'article de Salima Tlemçani parle :

                  - 826 millions pour centrale Hadjeret Ennous (SNC Lavalin) , alors que c'est bien plus que çà (voir plus haut) ???

                  - Puis cette journaliste parle en un premier temps d'un montant total de
                  5,5 milliards$
                  pour les deux centrales Koudiet Edraouech (El Tarf) et Terga (Aïn Témouchent)
                  Puis, parle
                  2,2 milliards $ + 2,3 milliards $. C'est à dire 4,5 milliards $ pour les 2 projets.

                  1 milliard $ de différence ???

                  Cherchez l'erreur ????

                  Et même le chiffre de 4,5 milliards $ est beaucoup plus important du total diffusé par toute la presse auparavant.

                  C'est à dire : 1,98+2,154 = 4,134M$ ?

                  Très loin des 5,5 milliards $ annoncée au début de l'article ????

                  CONCLUSION:

                  Donc soit, nos journaleux ont de vrais problèmes dans les "Additions", soit ils y a des infos qui nous manquent !


                  Désolé pour le HS.
                  Dernière modification par absent, 18 juin 2013, 09h51.

                  Commentaire


                  • #10
                    N'est pas Chakib qui veut !
                    Le comble est que ces personne là, même si elles ont touché du sale blé, vont payer pour leurs chefs. J'ai cité Chakib Khelil & Co !
                    Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

                    Commentaire


                    • #11
                      L’affaire concerne en réalité le contrat de deux centrales électriques à Terga (Aïn Témouchent) et à Koudiet Edraouech (El Tarf), signé en 2007
                      6 ans pour se rendre compte, alors qu'à les époques les dénonciations des prix exorbitant ne manquaient pas. On peut conclure que certains ont perdu leur protecteurs.

                      Commentaire


                      • #12
                        N'est pas Chakib qui veut !
                        Le comble est que ces personne là, même si elles ont touché du sale blé, vont payer pour leurs chefs. J'ai cité Chakib Khelil & Co !
                        Vu l'exploitation politique du dossier, si ce ministre est responsable de la situation, il sera plus que touché...

                        Il est intéressant de noter par ailleurs, qu'au moment de l'ouverture des plis, la proposition des 2 soumisionnaires était supérieur au budget prévisionnel sur ces opérations. Le ministre de l'époque a demandé expressement de baisser l'oddre, ce que les 2 soummisionnaires ont refusé... Au vu des retards importants dans le développement de Sonelgaz, il semble que le marché a été validé avec une autorisation spéciale du ministere de l'energie et des finance, du fait du dépassement de budget...

                        Les apparences sont souvent trompeuses, surtout pour ceux qui ne s'intéressent qu'au volet politicien de l'affaire....

                        Il faut espèrer que la justice puisse réellement mettre la lumière sur toute cette affaire, et arriver à prouver la corruption, ou la collusion entre les 2 sociétés, s'il s'avère qu'il y a entente illicite sur la soumission sensée être secrête...
                        Othmane BENZAGHOU

                        Commentaire


                        • #13
                          TSA - mardi, 18 juin 2013 21:51
                          Yousfi dément avoir confirmé l’implication du PDG de Sonelgaz dans le scandale de corruption de SNC-Lavalin

                          Sonia Lyes




                          Contrairement aux propos qui lui ont été attribués par l’agence officielle APS, le ministre de l’Énergie et des Mines, M. Yousfi, n’a pas confirmé l’implication du PDG de Sonelgaz dans les scandales de corruption qui éclaboussent le groupe.

                          Lundi à Constantine, M. Yousfi a indiqué que « la justice algérienne est souveraine et que chacun devra assumer ses responsabilités ». Il a ajouté, selon l’APS qui a rapporté ce mardi un rectificatif, que le PDG de Sonelgaz, Noureddine Boutarfa, « m'accompagne dans cette visite et, vous le constatez, il est serein ». Lundi, l’APS a rapporté que M. Yousfi avait affirmé que « le ministère de l’Énergie, quel que sera le verdict dans cette affaire impliquant notamment l’actuel président-directeur général de Sonelgaz et son prédécesseur, subira le meilleur et le pire des conséquences devant en découler ».

                          M. Yousfi avait ajouté que le ministère ainsi que tous ses cadres « se tiendront au service de la justice ». Il s’est refusé toutefois à « tout jugement de valeur ». Le scandale porte sur des surcoûts dans l’acquisition et la réalisation de deux centrales électriques à El Tarf et à Ain Temouchent.

                          Plusieurs titres de la presse nationale ont rapporté ces derniers jours que l’actuel PDG de Sonelgaz et son prédécesseur, ainsi qu'une quinzaine de cadres du secteur, ont été placés sous contrôle judiciaire pour « violation » du code des marchés publics concernant les deux centrales électriques de Terga (Aïn Témouchent) et de Koudiat Edraouech (El Tarf).
                          Othmane BENZAGHOU

                          Commentaire


                          • #14
                            de plus le contrat a été signé en 2007, alors que l'ancien pdg Abdelkrim Benghanem a été limogé en 2004 par Khellil. Donc comment peut il avoir un lien avec le contrat. De plus le premier concerné reste Khellil, tous les autres ne sont que des second couteaux.

                            Commentaire


                            • #15
                              soit, nos journaleux ont de vrais problèmes dans les "Additions", soit ils y a des infos qui nous manquent !

                              soit pourrir l'atmosphére, la guerre psychologique etant à son apogée.

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