Bonjour, pourtant, Air Algérie peut prévoir chaques années entre juillet et août le rush des immigrés, il suffit de prélever quelques avions de lignes intérieurs pour faire face à la demande ou de prévoir un plan de secour, pas la peine de sortir de Polytechnique.
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La fin du mois d'août sonne le glas des grandes vacances, et bien entendu pour tous ceux qui ont laissé maison et obligations quotidiennes le temps d'une pose estivale, c'est l'heure des grands retours qui a sonné. L'Algérie ne déroge pas à la règle et cette année, plus que par le passé, les membres de la diaspora sont venus nombreux se ressourcer et fouler le sol de la mère patrie. Néanmoins, avec les grands retours, c'est surtout les ports et les aéroports qui ont été pris d'assaut. L'aéroport international d'Alger qui vient tout juste d'être inauguré et qui enregistre depuis son ouverture une activité intense, ne fait pas exception. Tout aurait pu se passer normalement si ce n'est la mauvaise gestion dont font preuve certains opérateurs, que ce soit en termes d'affrètement des avions ou encore la programmation des vols et tous les retards qui s'ensuivent. Résultat : c'est la pagaille. Une petite virée samedi dernier à la toute nouvelle aérogare nous a d'ailleurs permis de constater de visu la confusion qui y règne.
Depuis quelques jours déjà, le personnel est débordé et les passagers commencent à perdre leur sang froid. Maintes fois, la situation a failli dégénérer ; de petites disputes se déclenchent d'ailleurs par si par là entre les passagers et les agents des compagnies qui tentaient à chaque fois de calmer l'atmosphère devenue très tendue. Des files d'attente interminables : tel est lot quotidien des passagers inscrits sur les listes d'attente et qui espèrent enregistrer leurs bagages. Ceux-ci peuvent même attendre pendant toute une journée avant d'être pris sur un vol où des sièges sont restés libres. Mais les conditions dans lesquelles les passagers sont parqués en attendant de prendre le chemin du tarmac n'ont rien de supportable. Certains passagers sous tension finissent par perdre patience, et peuvent à tout moment exprimer bruyamment leur mécontentement.
Ils sont livrés à eux même, sans que personne ne daigne les informer de la suite des choses. On se demande même pourquoi les vols supplémentaires tardent à être programmés dans une situation pareille. Bref, comme chaque année le retour des émigrés est dur à assimiler aussi bien pour les services aéroportuaires que pour les compagnies aériennes. Un rush considérable de passagers est enregistré en cette période de l'année, des passagers qui ont surtout raté leur vol pour une raison ou pour une autre, certains ont tout simplement voulu prolonger leur séjour auprès de leur famille, d'autres sont rentrés au pays sans pour autant confirmer leur retour. Et voilà qu'ils se trouvent coincés dans une situation lamentable. Plusieurs d'entre eux accompagnés de leurs enfants, des bébés notamment venus des quatre coins du pays, ont passé des nuits entières à l'aéroport dans l'espoir de trouver une place et en finir avec ce " cauchemar ".
La suite...
Depuis quelques jours déjà, le personnel est débordé et les passagers commencent à perdre leur sang froid. Maintes fois, la situation a failli dégénérer ; de petites disputes se déclenchent d'ailleurs par si par là entre les passagers et les agents des compagnies qui tentaient à chaque fois de calmer l'atmosphère devenue très tendue. Des files d'attente interminables : tel est lot quotidien des passagers inscrits sur les listes d'attente et qui espèrent enregistrer leurs bagages. Ceux-ci peuvent même attendre pendant toute une journée avant d'être pris sur un vol où des sièges sont restés libres. Mais les conditions dans lesquelles les passagers sont parqués en attendant de prendre le chemin du tarmac n'ont rien de supportable. Certains passagers sous tension finissent par perdre patience, et peuvent à tout moment exprimer bruyamment leur mécontentement.
Ils sont livrés à eux même, sans que personne ne daigne les informer de la suite des choses. On se demande même pourquoi les vols supplémentaires tardent à être programmés dans une situation pareille. Bref, comme chaque année le retour des émigrés est dur à assimiler aussi bien pour les services aéroportuaires que pour les compagnies aériennes. Un rush considérable de passagers est enregistré en cette période de l'année, des passagers qui ont surtout raté leur vol pour une raison ou pour une autre, certains ont tout simplement voulu prolonger leur séjour auprès de leur famille, d'autres sont rentrés au pays sans pour autant confirmer leur retour. Et voilà qu'ils se trouvent coincés dans une situation lamentable. Plusieurs d'entre eux accompagnés de leurs enfants, des bébés notamment venus des quatre coins du pays, ont passé des nuits entières à l'aéroport dans l'espoir de trouver une place et en finir avec ce " cauchemar ".
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