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WAHRAN: 13 cliniques privées en voie de réalisation

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  • WAHRAN: 13 cliniques privées en voie de réalisation

    L’ambitieux projet, dit « boulevard des cliniques », va bientôt entrer en chantier au niveau du quartier Akid-Lotfi, à l’est de la banlieue de wahran. « Ce boulevard, nous apprend-on à la direction de la santé, sera constitué de 13 nouvelles cliniques privées spécialisées dans la médecine de pointe ».

    Selon cette même direction, le projet est ambitieux et de nombreuses interventions chirurgicales pointues, pratiquées jusque-là à Alger ou à l’étranger seulement, seront désormais effectuées à Wahran grâce à ces établissements de pointe Depuis quelque temps, la ville de Wahran est en train de multiplier les réalisations des structures médicales autant publiques que privées pour se transformer en « un véritable pôle médical ».

    Avec la prochaine ouverture de ces structures médicochirurgicales, non loin de la zone des sièges « Aboubakr-Belkaïd », les malades a Wahran et même de la région Ouest vont bénéficier d’une précieuse couverture médicale qui leur évitera les déplacements coûteux vers Alger ou vers l’étranger.

    Soulignons que la ville de Wahran a bénéficié de la réalisation récente d’un nouvel établissement hôpital universitaire (EHU) venu combler les lacunes du CHU du Plateau. Mais malgré cet apport, la pression a continué sur les structures lourdes, du fait du ralliement de nombreux malades de presque toutes les wilayas de l’Ouest.

    Aussi, la réalisation de ces 13 nouvelles structures sanitaires va-t-elle pallier les insuffisances et atténuer la tension constatée sur l’EHU et le CHU. En parallèle, la direction de la santé ajoute que le secteur s’est renforcé par de nouvelles infrastructures publiques, dont 12 polycliniques en cours de réalisation, notamment celles de Sidi Chahmi, Sidi Maârouf et Aïn El-Beïda.

    D’autre part, deux laboratoires d’analyses et de surveillance des produits pharmaceutiques ainsi que d’analyses biologiques et de radiologie sont programmés. A Bir El-Djir, il est également prévu la réalisation d’un nouvel hôpital pour les maladies psychiatriques, à vocation régionale et qui, avec une capacité de 720 lits, viendra alléger la pression qui pèse sur le vieil hôpital psychiatrique de Sidi Chahmi.


    Souade R 15 06 2013







    .

  • #2
    Il y en a déjà quelques unes qui ont ouverts dernièrement à ORAN, et qui sont vraiment pas mal pour un début et comparativement aux hopitaux !

    Mais, reste encore à améliorer dans leur organisation et dans leurs pratiques !

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    • #3
      Val de Grace devrait ouvrir une annexe, ils vont faire fortune !
      ...

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      • #4
        avec le manque de para médicaux, avec quel personnel vont tourner ces cliniques... Celles qui ont déjà pignon sur rue, emploient du personnel hospitalier au noir avec des praticiens du CHUO qui y consacrent plus de temps qu'à leur service public. Les actes qui s'y pratiquent restent, eux, du domaine de la simplicité dans une pratique de rente.

        Le grand nombre n'apportera pas un soulagemùent tant que secteur privé et public ne seront pas bien séparés, que les privés n'emploieront que du personnel libéral ,que la nomenclature tarifiraire ne sera pas pris en considération et que le politique n'interdira pas les transferts à l'étranger payés par la solidarité nationale..

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        • #5
          Khore
          Autant je suis d'accord avec toi concernant l'homogénéisation de la tarification et l'implication de l'Etat dans la régulation du secteur privé, autant l'interdiction des transferts à l'étranger pourrait pénaliser certains malades; ce qu'il faut c'est la démocratisation des transferts (et leur légitimité, leur pertinence)
          Reste le plus important : la qualité et la sécurité des soins; on n'en parle pas pourtant il s'agit à mon avis du principal critère. Il est essentiel de mettre en place une politique d'accréditation et de certification, applicables aux hôpitaux, en appliquant les regles d'assurance qualite et en fixant des objectifs quantifiés.
          La qualité concerne aussi bien les soins que les autres aspects de la prise en charge : accueil, respect de la tarification, volet hôtelier....
          Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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          • #6
            Ettargui

            nous ne pouvons nous prononcer avec logique sur les transferts vers l'étranger sans en connaitre les détails. Quelles sont les pathologies qui ne sont pas soignées sur place ? Les responsables de la Commission ne communiquent pas et l'administration encore moins. L'arrêt de ces transferts mettra chacun face aux devoirs de sa charge et dégagera les cas jugés hors des possibilités algériennes en leur fixant des délais de résorption.

            garantir la qualité et la sécurité des soins ? Dans un pays développé avec une administration adéquate et des médecins qui appliquent les lois.

            nous en sommes à l'exercie sauvage sans aucune intervention de l'état.
            Les cliniques privées font du racolage dans les services d'admission publics pour glaner les cas faciles, qu'ils retournent au secteur national en cas de complication.

            dans les cliniques exercent qui veut sans tenir compte du code de déontologie. Des chirurgiens étrangers opèrent dans des cliniques privées algéroises alimentées par du matériel volé dans les stuctures de l'état, et repartent avec des valises de devises, au grand dam du Conseil de Déontologie.

            Le tout,toléré par la mafia qui gouverne pour laquelle la santé est une affaire rentable ne sera changé que lorsque la vie de ses criminels dépendra de la qualité des soins autochtones et non du Val de Grâce.

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            • #7
              les cliniques n'est qu'une couverture pour blanchir l'argent des barons.

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              • #8
                Normalement, c'est le genre de nouvelles qui prêtent à pleurer, mais je vois que ce n'est pas le cas ! La décadence algérienne a atteint son paroxysme.
                Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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