Publié le mardi 18 juin 2013
Les militants du MAK, qui se sont rassemblés ce matin devant le tribunal de Tizi-Ouzou, dans une action de solidarité avec Kamel Chetti (membre du bureau politique du MAK), en détention, ont essuyé une rude répression policière et le rassemblement a été dispersé.
Deux militants, Zahir Amer et Abderrahmane Ait Hadda, ont été interpellés et conduits au commissariat de police de la ville. Une délégation du mouvement, conduite par le président du M.A.K, s’est rendue au commissariat pour tenter d'obtenir la libération de leurs camarades.
Effort vain. La police ne les a même pas renseignés sur la situation des deux militants arrêtés. Le procès du militant Chetti s’annonce très agité. Les avocats de la défense parlent d’un dossier vide. Maître Lila Hadj Arab a dénoncé des preuves préfabriquées pour acculer l’accusé aux aveux.
Les militants du MAK, qui se sont rassemblés ce matin devant le tribunal de Tizi-Ouzou, dans une action de solidarité avec Kamel Chetti (membre du bureau politique du MAK), en détention, ont essuyé une rude répression policière et le rassemblement a été dispersé.
Deux militants, Zahir Amer et Abderrahmane Ait Hadda, ont été interpellés et conduits au commissariat de police de la ville. Une délégation du mouvement, conduite par le président du M.A.K, s’est rendue au commissariat pour tenter d'obtenir la libération de leurs camarades.
Effort vain. La police ne les a même pas renseignés sur la situation des deux militants arrêtés. Le procès du militant Chetti s’annonce très agité. Les avocats de la défense parlent d’un dossier vide. Maître Lila Hadj Arab a dénoncé des preuves préfabriquées pour acculer l’accusé aux aveux.
Hamid Guerni ( Algerie Express )
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