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Les moines de Tibéhirine

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  • Les moines de Tibéhirine

    Les familles des moines de Tibéhirine réclament l'aide de François Hollande pour vaincre "la résistance des autorités algériennes" à collaborer avec la justice française qui enquête sur l'assassinat de leurs proches, dans une lettre révélée par Le Figaro paru mercredi.
    Dans ce courrier rédigé par leur avocat Patrick Baudouin, les familles jugent "indispensable, pour continuer à progresser dans la recherche de la vérité, d'accomplir divers actes en Algérie" et demandent au président "d'intervenir à nouveau afin de lever les entraves apportées à la poursuite de l'instruction" du juge français Marc Trévidic.
    Car, jugent-elles, "du côté algérien, il va sans dire qu'aucune action sérieuse n'a été entreprise pour faire la lumière sur ces assassinats".
    Les proches des sept moines assassinés en mars 1996 réclament que puissent avoir lieu "certaines auditions" et "une autopsie des têtes des moines" comme le souhaite Marc Trévidic qui a demandé en décembre 2011 aux autorités algériennes à se rendre sur place.
    Selon le courrier, "plus le temps passe, plus les chances s'amenuisent de pouvoir obtenir un résultat".
    "Il n'est pas acceptable que perdure la résistance des autorités algériennes à une collaboration réelle et positive avec la justice française", regrette l'avocat des familles qui dénonce "le climat d'opacité maintenu" par Alger.
    Me Baudouin avait déjà écrit à François Hollande en décembre, juste avant une visite d'Etat du président en Algérie.
    Les sept moines avaient été enlevés dans la nuit du 26 au 27 mars 1996 dans leur monastère isolé, situé près de Medea. Le Groupe islamique armée (GIA) de Djamel Zitouni, parfois soupçonné d'avoir été un agent infiltré des services algériens, avait revendiqué l'enlèvement et l'assassinat des religieux.
    Les têtes des moines avaient été retrouvées le 30 mai au bord d'une route de montagne, mais leurs corps ne l'ont jamais été, soulevant l'hypothèse que cette absence de dépouille ait été destinée à masquer les causes de leur mort.
    Après avoir suivi la thèse islamiste, l'enquête judiciaire s'est réorientée vers une bavure de l'armée algérienne depuis 2009 et le témoignage d'un ancien attaché de défense à l'ambassade de France à Alger

    Source "Orange"
    Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

  • #2
    La collaboration de la justice française avec la justice algérienne est ce qu'elle est, il ne faut pas s'étonner que la justice algérienne n'ait pas spécialement envie de collaborrer avec la justice française. D'autre part, Il y a lieu de s'intérroger sur l'impartialité d'une justice étrangère (française) dans un dossier qui est sous la juridiction algérienne. Du point de vue du droit international, la justice n'a le droit de se méler que du coté français de ce dossier, c-à-d l'action de la DGSE, de l'ambassade de France, ainsi que de Juppé, Pasqua, sur le dossier, voir "le suicide" d'un journaliste de canal plus...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Tu as raison, mais rien n'a été fait depuis ce crime odieux digne des pires barbares.
      Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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      • #4
        Les crimes barbares, en algérien, on en connait depuis pas mal de temps, notamment pendant les colonisations... Il a touché des hommes de dieu, des intellectuels, des policiers, des gendarmes, des militaires, des journalistes, des simples citoyens et même des bébés... Il semble que certains sont plus sensibles au sort d'hommes ayant une proximité de confession, qu'avec toute autre victime de barbares, dont la proximité semble bien lointaine...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5
          Le sujet n'est pas la confession de quiconque, peu importe qu'ils soient moine ou pas, le sujet est un crime d'une grande barbarie laissé impuni.
          Il est vrai que l'Algérie a souffert de toutes les colonisations (sans exception).
          Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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          • #6
            Le sujet n'est pas la confession de quiconque, peu importe qu'ils soient moine ou pas, le sujet est un crime d'une grande barbarie laissé impuni.
            Il est vrai que l'Algérie a souffert de toutes les colonisations (sans exception).
            Que dire des 200 000 autres victimes encore une fois...
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              il faut revenir a cette époque la ou le monde a laisser algerie tous seul combarte intégrisem sauvage aveugle le bélan étais trés lourd économique et sociale algerie retard de 20an
              mosqué et école sont déruit usine fermé les année blanche partous de bab el zouar jusqua bir el djir a oran ,fermitur des frontier nos enfant a létranger sont considerais comme téroriste cette étiquette coler aux algerien a baucoup fait de mal aux algeriens
              dz(0000/1111)dz

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              • #8
                Abou Abderahmane Amine (Djamel Zitouni) n'a pas agit seul, ses complices sont toujours là!
                Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                • #9
                  Pour le moment, je ne parle que des moines.
                  Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                  • #10
                    Le gouvernement algérien avait a l’époque demande a plusieurs reprises a ces moine de quitter l’Algérie, ils avaient refusé, il leurs avait offert une protection, ils avaient refusé, ils avaient choisi de vivre et de mourir avec les algériens et comme les algériens, ils ont vécus et sont mort comme des dizaines de millier d’algériens, leurs familles doivent respecter leurs mémoires. A moins que ces familles s’inspirent de l’affaire de Lockerbie.

                    Il y a eu 200 000 morts et presque 1 millions d’algériennes victimes du terrorisme. les algériens ne font pas de différence entre les victimes algérienne et les victimes non algériennes. Ces moines ne sont ni plus ni moins victimes que les 200 000 morts algeriens. Des étrangers enlevés et exécutés en Algérie y ‘en eu probablement des centaines et certainement des milliers a travers le monde.

                    Le Groupe islamique armée (GIA) de Djamel Zitouni, parfois soupçonné d'avoir été un agent infiltré des services algériens.
                    Et ils espèrent que c’est la justice française qui va venir en Algérie enquêter sur les services secrets algériens, pour le prouver. Des français en plus.

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                    • #11
                      Et ils espèrent que c’est la justice française qui va venir en Algérie enquêter sur les services secrets algériens, pour le prouver. Des français en plus


                      Salem aleikoum,

                      ce n est pas la peine que des français viennent enquéter en Algerie, les services secrets français et le DRS algériens travaillent main dans la main.

                      Alors tous ces chichis de revolution de 54, ils en ont rien a foutre nos généraux algériens, ce sont d ancien sergent de l armée française, et ils ont gardé une grande admiration pour la France.

                      Qu'ils soient maudit

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