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Défaite militaire US en Syrie: les têtes tombent!
Les Etats Unis ne tolèrent pas la défaite militaire des rebelles en Syrie et comme toute guerre digne de ce nom, ils pensent à changer les commandants: Erdogan et l'émir Al Thani sont les deux victimes de la défaite militaire US en Syrie, c’est ce qu’a déclaré l’analyste militaire libanais, Amin Hoteit.
"En effet, l'échec militaire doublé d'un échec politique ont amené les Américains à changer leurs pion. Et puisqu'il faut un tel changement, les USA commencent par le pion plus faible à savoir le Qatar", ajoute Hoteit.
Il poursuit : "C'est dans ce même sens que les Américains sont en ce moment même en phase de propulser un pion tout frais en la personne de Tamim Ben Hamad à la tête du Qatar et que les manifestations secouent les deux grandes villes turques à savoir Istanbul et Ankara. C’est vrai que l'émir Al Thani a remporté la bataille en Tunisie, en Egypte et en Libye.
Il a même réussi à s'attirer le soutien d'une tranche de dirigeants du Hamas. Mais l'émir a pêché par excès de confiance en soi ; il a promis à Ankara et aux Américains de renverser en l'espace de trois à six mois Assad.
Deux et demi plus tard, Assad est toujours au pouvoir. Cette fausse promesse a bouleversé les calculs des Américains et a coûté trop cher à Washington qui a perdu une partie de son influence au Moyen Orient. Ceci ne peut se réparer à moins d'un changement des commandants perdants! C'est en quelque sorte, l'emprise US dans la région qui s'érode au lieu que ce soit Assad qui s'en va!".Al-Manar
Les Etats Unis ne tolèrent pas la défaite militaire des rebelles en Syrie et comme toute guerre digne de ce nom, ils pensent à changer les commandants: Erdogan et l'émir Al Thani sont les deux victimes de la défaite militaire US en Syrie, c’est ce qu’a déclaré l’analyste militaire libanais, Amin Hoteit."En effet, l'échec militaire doublé d'un échec politique ont amené les Américains à changer leurs pion. Et puisqu'il faut un tel changement, les USA commencent par le pion plus faible à savoir le Qatar", ajoute Hoteit.
Il poursuit : "C'est dans ce même sens que les Américains sont en ce moment même en phase de propulser un pion tout frais en la personne de Tamim Ben Hamad à la tête du Qatar et que les manifestations secouent les deux grandes villes turques à savoir Istanbul et Ankara. C’est vrai que l'émir Al Thani a remporté la bataille en Tunisie, en Egypte et en Libye.
Il a même réussi à s'attirer le soutien d'une tranche de dirigeants du Hamas. Mais l'émir a pêché par excès de confiance en soi ; il a promis à Ankara et aux Américains de renverser en l'espace de trois à six mois Assad.
Deux et demi plus tard, Assad est toujours au pouvoir. Cette fausse promesse a bouleversé les calculs des Américains et a coûté trop cher à Washington qui a perdu une partie de son influence au Moyen Orient. Ceci ne peut se réparer à moins d'un changement des commandants perdants! C'est en quelque sorte, l'emprise US dans la région qui s'érode au lieu que ce soit Assad qui s'en va!".Al-Manar
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