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salam
Le mouvement islamiste vient de tenir la 14e session de son Conseil de la Choura. Il dénonce «la faillite morale» du système ainsi que «la mise à l'écart du peuple et la monopolisation des décisions».
La Mouvance islamiste "Justice et Bienfaisance" (Al Adl Wal Ishane) vient de lancer, suite à la tenue de la quatorzième session de son Conseil de la Choura, un appel pour «un dialogue national transparent, sans exclusion ni lignes rouges, et dont le peuple serait le témoin, en vue d'aboutir à une charte globale qui établisse les priorités, unifie les efforts et aboutisse à une Constitution qui reflète la volonté du peuple et son identité.»
D'autre part, la déclaration finale de cette session a dénoncé fortement la «politique de faillite morale qui sape l'identité du peuple marocain, son histoire et ses valeurs», et en a attribué la responsabilité au «régime qui est le promoteur des politiques qui détruisent notre système de valeurs éthiques, éducatives, culturelles, ainsi que celles de l'enseignement et des médias, et qui consiste aussi à gaspiller l'argent du peuple appauvri afin qu'il paie la facture de cette corruption morale volontariste.»
La Jamaa n'a pas manqué, dans la même déclaration, de souligner «l'échec général des politiques publiques mises en œuvre et l'échec des approches dans la gestion des affaires publiques et qui se basent sur la mise à l'écart du peuple et la monopolisation de la décision et de tous les moyens d'influence».
Elle a aussi affirmé «qu'au fil des jours, la succession des faits nous confirme la nature despotique du régime makhzénien qui continue de s'accaparer et le pouvoir et les richesses, de contourner les intérêts du peuple et manquer à ses obligations et ses promesses».
Le mouvement islamiste vient de tenir la 14e session de son Conseil de la Choura. Il dénonce «la faillite morale» du système ainsi que «la mise à l'écart du peuple et la monopolisation des décisions».
La Mouvance islamiste "Justice et Bienfaisance" (Al Adl Wal Ishane) vient de lancer, suite à la tenue de la quatorzième session de son Conseil de la Choura, un appel pour «un dialogue national transparent, sans exclusion ni lignes rouges, et dont le peuple serait le témoin, en vue d'aboutir à une charte globale qui établisse les priorités, unifie les efforts et aboutisse à une Constitution qui reflète la volonté du peuple et son identité.»
D'autre part, la déclaration finale de cette session a dénoncé fortement la «politique de faillite morale qui sape l'identité du peuple marocain, son histoire et ses valeurs», et en a attribué la responsabilité au «régime qui est le promoteur des politiques qui détruisent notre système de valeurs éthiques, éducatives, culturelles, ainsi que celles de l'enseignement et des médias, et qui consiste aussi à gaspiller l'argent du peuple appauvri afin qu'il paie la facture de cette corruption morale volontariste.»
La Jamaa n'a pas manqué, dans la même déclaration, de souligner «l'échec général des politiques publiques mises en œuvre et l'échec des approches dans la gestion des affaires publiques et qui se basent sur la mise à l'écart du peuple et la monopolisation de la décision et de tous les moyens d'influence».
Elle a aussi affirmé «qu'au fil des jours, la succession des faits nous confirme la nature despotique du régime makhzénien qui continue de s'accaparer et le pouvoir et les richesses, de contourner les intérêts du peuple et manquer à ses obligations et ses promesses».