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Poutine : “Assad est combattu par des commandos, pas par le peuple”
Par Kaci Haider | 21/06/2013 | 17:03
[IMG]http://www.********.com/wp-content/uploads/2013/06/poutINE.jpg[/IMG]Des commandos lourdement armés combattent contre le président Bachar el-Assad, pas le peuple syrien, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine lors d’une conférence de presse conjointe avec la chancelière allemande Angela Merkel, en visite à Saint-Pétersbourg.
“Ce n’est pas le peuple syrien, mais des commandos bien entraînés et armés, y compris de l’étranger par des organisations terroristes, qui combattent contre Assad”, a indique le chef de l’Etat russe.
Et d’ajouter que le noyau de l’opposition (syrienne, ndlr) armée était “reconnu par la communauté internationale”.
Le président russe a, lors de son intervention lors de d’une réunion plénière du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, soutenu que des puissances étrangères fournissent depuis longtemps des armes à l’opposition syrienne tout en ajoutant que sans cette aide militaire les hostilités en Syrie auraient été impossibles.
“Quant à la partie adverse [l'opposition, ndlr], j’attire votre attention sur le fait qu’elle reçoit depuis longtemps des armes provenant de l’étranger”, a précisé Poutine .
“Nul besoin d’évoquer aujourd’hui les origines de ces armes. Je tiens seulement à souligner que sans ces livraisons, ce qui se produit actuellement en Syrie aurait été impossible”, a ajouté le président.
Poutine a rappelé que les organisations européennes et mondiales, notamment les Nations unies, avaient adopté des résolutions interdisant de livrer des armes aux formations non gouvernementales, en premier lieu à celles qui opèrent dans les zones des conflits. Il a fait savoir que “c’est en cela que consiste la divergence entre nous et, par exemple, les Etats-Unis”.
S’agissant des livraisons d’armes russes, Vladimir Poutine a souligné que “la Russie fournit des armes au gouvernement légitime de la République syrienne dans le cadre du droit international en vigueur et conformément à des contrats publics et transparents”.
Par Kaci Haider | 21/06/2013 | 17:03
[IMG]http://www.********.com/wp-content/uploads/2013/06/poutINE.jpg[/IMG]Des commandos lourdement armés combattent contre le président Bachar el-Assad, pas le peuple syrien, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine lors d’une conférence de presse conjointe avec la chancelière allemande Angela Merkel, en visite à Saint-Pétersbourg.
“Ce n’est pas le peuple syrien, mais des commandos bien entraînés et armés, y compris de l’étranger par des organisations terroristes, qui combattent contre Assad”, a indique le chef de l’Etat russe.
Et d’ajouter que le noyau de l’opposition (syrienne, ndlr) armée était “reconnu par la communauté internationale”.
Le président russe a, lors de son intervention lors de d’une réunion plénière du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, soutenu que des puissances étrangères fournissent depuis longtemps des armes à l’opposition syrienne tout en ajoutant que sans cette aide militaire les hostilités en Syrie auraient été impossibles.
“Quant à la partie adverse [l'opposition, ndlr], j’attire votre attention sur le fait qu’elle reçoit depuis longtemps des armes provenant de l’étranger”, a précisé Poutine .
“Nul besoin d’évoquer aujourd’hui les origines de ces armes. Je tiens seulement à souligner que sans ces livraisons, ce qui se produit actuellement en Syrie aurait été impossible”, a ajouté le président.
Poutine a rappelé que les organisations européennes et mondiales, notamment les Nations unies, avaient adopté des résolutions interdisant de livrer des armes aux formations non gouvernementales, en premier lieu à celles qui opèrent dans les zones des conflits. Il a fait savoir que “c’est en cela que consiste la divergence entre nous et, par exemple, les Etats-Unis”.
S’agissant des livraisons d’armes russes, Vladimir Poutine a souligné que “la Russie fournit des armes au gouvernement légitime de la République syrienne dans le cadre du droit international en vigueur et conformément à des contrats publics et transparents”.
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