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Le secrétaire d’Etat chargé de la Communauté nationale à l’étranger, Belkacem Sahli, a procédé, dimanche à Alger, à l’installation de la commission interministérielle chargée de la formation professionnelle de jeunes algériens résidants à l’étranger.
Cette commission est composée de représentants du ministère des Affaires étrangères, de la formation et de l’enseignements professionnels, de l’éducation et des finances.
L’objectif de ce groupe de travail est d’élaborer un plan d’étude qui permettra à des groupes de la communauté nationale établie à l’étranger de bénéficier de formations dans différentes spécialités et de postuler à des postes de travail en fonction de leurs qualifications.
Le secrétaire d’Etat a déclaré lors de l’installation de la commission, que certains pays d’accueil des algériens connaissent une conjoncture sociale et économique instable, ajoutant que ces formations permettront aux jeunes algériens d’avoir un diplôme et de trouver plus facilement un emploi.
La première session de formation regroupera une centaine de jeunes et débutera à la rentrée prochaine, et la seconde session sera programmée pour le mois de février, a ajouté le même intervenant. M. Sahli a fait savoir, à ce propos, que l’offre algérienne en matière de formations professionnelles dépassent largement la demande et l’inscription de jeunes émigrés ne se fera pas au dépend de la demande nationale.
S’agissant du programme formatif, M. Sahli a fait savoir qu’il sera adapté aux niveaux des inscrits et que le diplômé pourra prétendre à un poste à l’étranger, après l’établissement d’équivalences.
De son côté, le représentant du ministère de la formation professionnelle, Cherif Ghiri, a fait savoir que les jeunes bénéficieront de bourses selon leurs niveaux d’étude et de la formation choisie. Environ 400 spécialités sont proposées par le ministère de la formation professionnels, a indiqué M. Ghiri, faisant savoir que toutes les conditions ont été fournies pour accueillir les étudiants.
Le mouvement associatif sera également impliqué dans le programme de formation professionnelle pour permettre aux jeunes de s’intégrer plus facilement en Algérie, ont ajouté les intervenants.
Adda A. 26 06 0213
Cette commission est composée de représentants du ministère des Affaires étrangères, de la formation et de l’enseignements professionnels, de l’éducation et des finances.
L’objectif de ce groupe de travail est d’élaborer un plan d’étude qui permettra à des groupes de la communauté nationale établie à l’étranger de bénéficier de formations dans différentes spécialités et de postuler à des postes de travail en fonction de leurs qualifications.
Le secrétaire d’Etat a déclaré lors de l’installation de la commission, que certains pays d’accueil des algériens connaissent une conjoncture sociale et économique instable, ajoutant que ces formations permettront aux jeunes algériens d’avoir un diplôme et de trouver plus facilement un emploi.
La première session de formation regroupera une centaine de jeunes et débutera à la rentrée prochaine, et la seconde session sera programmée pour le mois de février, a ajouté le même intervenant. M. Sahli a fait savoir, à ce propos, que l’offre algérienne en matière de formations professionnelles dépassent largement la demande et l’inscription de jeunes émigrés ne se fera pas au dépend de la demande nationale.
S’agissant du programme formatif, M. Sahli a fait savoir qu’il sera adapté aux niveaux des inscrits et que le diplômé pourra prétendre à un poste à l’étranger, après l’établissement d’équivalences.
De son côté, le représentant du ministère de la formation professionnelle, Cherif Ghiri, a fait savoir que les jeunes bénéficieront de bourses selon leurs niveaux d’étude et de la formation choisie. Environ 400 spécialités sont proposées par le ministère de la formation professionnels, a indiqué M. Ghiri, faisant savoir que toutes les conditions ont été fournies pour accueillir les étudiants.
Le mouvement associatif sera également impliqué dans le programme de formation professionnelle pour permettre aux jeunes de s’intégrer plus facilement en Algérie, ont ajouté les intervenants.
Adda A. 26 06 0213
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