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Rahmani annonce une nouvelle politique industrielle

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  • Rahmani annonce une nouvelle politique industrielle

    Des objectifs sont fixés dans le cadre de la nouvelle stratégie dont la substitution à l’importation.

    Deux rapports relatifs à la nouvelle politique industrielle et au climat des affaires en Algérie seront présentés aujourd’hui au gouvernement, a annoncé hier le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Chérif Rahmani, à l’ouverture d’une rencontre institutionnelle algéro-italienne, organisée à l’hôtel El-Djazaïr d’Alger. “Ces rapports ont été nourris par les expériences et les pratiques internationales mais aussi par l’apport et l’expertise de nos meilleurs professeurs, enseignants et chercheurs dans le domaine de l’entreprise”, a indiqué M. Rahmani.
    Ces rapports ont été également enrichis par les propositions du patronat, les mesures suggérées par l’UGTA, l’association Care et l’initiative citoyenne Nabni. Le ministre précise que la nouvelle politique industrielle se fonde sur une vision à long terme. Des objectifs à atteindre dont la substitution à l’importation, en matière d’emploi, de valeur ajoutée et dans le développement des filières, des objectifs qui sont adossés à des politiques publiques pour encourager l’investissement et la substitution à l’importation. M. Rahmani évoque, dans ce cadre, la protection “valorisée et intelligente” de la production nationale. Le ministre a aussi évoqué le positionnement de l’Algérie sur le plan international, à travers l’identification des filières où “on peut être compétitif”, des filières où il y a des déficits à compenser et des filières d’avenir qu’il faudrait récupérer et conquérir. “Il y a six groupes de filières qui nous semblent importants et intéressants”, indique le ministre, sans préciser les filières en question. “Pour cela, il nous faut des entreprises fortes”, a affirmé M. Rahmani, annonçant que “les mois qui vont venir vont être consacrés au renforcement des entreprises, pour créer des groupes industriels publics et privés qui puissent être concurrentiels sur le plan international et s’internationaliser”. Le ministre a parlé, aussi, du renforcement des PME, créatrices d’emplois. “Nous allons donner des avantages, par une discrimination positive, aux PME, pour les aider à fusionner, à se consolider, à se renforcer et à se moderniser”, a-t-il précisé. Parallèlement, des pôles industriels seront créés. Sollicité par des journalistes pour donner plus de détails sur cette politique, le ministre s’est contenté de dire qu’elle vise “à libérer l’économie algérienne des hydrocarbures à travers la création de nouvelles sources de richesses, en faisant appel au savoir-faire international pour localiser, ici en Algérie, des segments d’industrie, en développant la qualité et l’innovation et la formation des jeunes”. Le ministre de l’Industrie a déclaré que la nouvelle politique industrielle a tenu compte de “tout ce qui a été dit ou écrit en Algérie, depuis plusieurs années”. “Je ne peux pas ne pas prendre en charge, historiquement, toute l’accumulation de propositions qui ont été faites depuis quelques années en Algérie. Ce n’est pas un travail ex nihilo”, a indiqué M. Rahmani. Concernant le climat des affaires, le ministre de l’Industrie a évoqué 100 propositions “qui seront présentées au gouvernement pour faire des arbitrages”.

    Une grande rencontre avec les Italiens en octobre

    La réunion, qui a regroupé hier les organisations patronales algériennes (le FCE, la CNPA, la CAP et la Cipa), l’UGTA, entre autres, et la Confindustria italienne ainsi que des associations professionnelles italiennes dans les secteurs de la mécanique, des industries manufacturières, du BTPH, du tourisme, de la pêche, de la pharmacie et biotechnologie, en présence du ministre de l’Industrie algérien, Chérif Rahmani, et le vice-ministre italien du Développement économique, Carlo Calenda, a pour objectif “la mise en place d’une plate-forme pour préparer la grande réunion entre les entreprises” en octobre prochain. Des filières “stratégiques” ont été identifiées. Il s’agit, entre autres, de la mécanique, l’industrie manufacturière et particulièrement l’industrie agroalimentaire, la construction et le logement, le tourisme, la pêche et les biotechnologies. Le ministre de l’Industrie a insisté sur la nécessité d’élaborer une feuille de route pour qu’en octobre, des projets “exemplaires et concrets” soient discutés. Des projets qui devraient être concrétisés durant la période 2014-2015. M. Rahmani indique que le partenariat avec l’Italie est un point d’entrée sur l’international. Carlo Calenda a souligné que les investissements algériens en Italie s'élèvent actuellement à 160 millions d'euros, ajoutant que les entreprises italiennes veulent investir davantage en Algérie.

    source: liberté

  • #2
    Je ne comprend pas pourquoi c'est toujours le gouvernement qui veut tout faire...
    une wilaya ne pourra pas faire son plan de développement et aller chercher dans le monde des associé ou des entrepreneur qualifié ou de Transfer de technologie ou mieux partenariat gagnant gagnant??

    un petite commune de 1000 habitants ne pourra pas elle aussi faire ce projet selon ses besoins et selon ses possibilités???

    Je ne comprends pas ce que fou ces gouvernements dans les choses qui ne leurs regarde pas...

    problème de billet?? Comme par exemple décret présidentiel pour obliger les commune des village pour construire et distribué des magasins

    chaque wilaya fait son prêt au niveau de la banque centrale selon ces possibilité..si elle les gaspille et peut rendre l'argent dans la na banque centrale celle ci coupe corrige et entame des procès devant les tribunaux d'une wilaya qui n'a pas tenue ces engagement ou qui doit donner des explication sur l'investissement...ici on met les hommes politiques en face de leurs peuple..si la wialya n'aura plus de soutient de la banqu centrale..le peuple va dévorer le FLN parcequ'il n'a pas fait un investissemnt productif en l'utilisant pour soigner les angles de leurs femmes et leurs concubines...on va lacher le peuple contre les partis politique..ou tu fais de la création des richesse ou le peuple te dévorera
    c'est comme ça que les choses doivent tourner..en Italie pays du clergé ou tout est centralisé n'est pas notre référence..notre référence c'est les pays dite ''fédéraliste'' généralement chez les anglo saxon a part l'angleterre qui joue moitié catho moitié protesto
    Dernière modification par zaki123, 26 juin 2013, 08h16.

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