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Les cours du pétrole étaient en baisse lundi lors des échanges européens, toujours affectés par la baisse progressive des liquidités de la Réserve fédérale américaine et les signes de ralentissement de l’économie chinoise.
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 100,88 dollars en fin de matinée, en baisse de 3 cents par rapport à la clôture de vendredi. Il est passé en cours de séance sous la barre des 100 dollars à 99,82 dollars, pour la première fois depuis le 3 juin.
A New York, le baril de “light sweet crude” (WTI) pour la même échéance perdait 14 cents à 93,55 dollars.
“L’appréciation du dollar, la hausse des taux obligataires américains et la baisse des marchés asiatiques continuent de mettre sous pression les prix du pétrole”, indiquaient les analystes de Commerzbank.
La perspective d’un resserrement prochain de la politique monétaire ultra-accommodante aux Etats-Unis a entraîné un recul des marchés financiers mondiaux en fin de semaine dernière, les cours du pétrole ayant été particulièrement touchés.
Le dollar s’est apprécié dès l’annonce du retrait prochain des mesures de soutien à l’économie américaine, puisqu’elles ont tendance à diluer la valeur du billet vert. En effet, les matières premières libellées en dollar, dont le pétrole, sont devenues plus coûteuses pour les investisseurs munis d’autres devises.
“De plus, des signes de ralentissement de l’économie chinoise nourrissent les inquiétudes sur la demande de pétrole, surtout au moment où les stocks de brut aux Etats-Unis sont à des plus hauts depuis plusieurs années”, ajoutait un analyste pétrolier de Capital Spreads
lnt
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 100,88 dollars en fin de matinée, en baisse de 3 cents par rapport à la clôture de vendredi. Il est passé en cours de séance sous la barre des 100 dollars à 99,82 dollars, pour la première fois depuis le 3 juin.
A New York, le baril de “light sweet crude” (WTI) pour la même échéance perdait 14 cents à 93,55 dollars.
“L’appréciation du dollar, la hausse des taux obligataires américains et la baisse des marchés asiatiques continuent de mettre sous pression les prix du pétrole”, indiquaient les analystes de Commerzbank.
La perspective d’un resserrement prochain de la politique monétaire ultra-accommodante aux Etats-Unis a entraîné un recul des marchés financiers mondiaux en fin de semaine dernière, les cours du pétrole ayant été particulièrement touchés.
Le dollar s’est apprécié dès l’annonce du retrait prochain des mesures de soutien à l’économie américaine, puisqu’elles ont tendance à diluer la valeur du billet vert. En effet, les matières premières libellées en dollar, dont le pétrole, sont devenues plus coûteuses pour les investisseurs munis d’autres devises.
“De plus, des signes de ralentissement de l’économie chinoise nourrissent les inquiétudes sur la demande de pétrole, surtout au moment où les stocks de brut aux Etats-Unis sont à des plus hauts depuis plusieurs années”, ajoutait un analyste pétrolier de Capital Spreads
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