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Histoire Secrète du Pétrole Algérien, Hocine Malti

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  • Histoire Secrète du Pétrole Algérien, Hocine Malti

    « La principale richesse de l’Algérie, son pétrole et son gaz, n’est plus source de bonheur pour son peuple. La volonté d’accaparement de la rente pétrolière par ses dirigeants a plongé des pans entiers de la société dans la misère, tandis que les jeunes n’ont qu’une envie : quitter le pays.

    Pour comprendre comment l’Algérie en est arrivée là, il est essentiel de connaître la dimension la plus ignorée de son histoire contemporaine : celle de son pétrole. Elle est retracée ici par Hocine Malti, qui participa comme jeune ingénieur à la création de l’entreprise algérienne des pétroles, la Sonatrach. Montrant comment les premières découvertes d’hydrocarbures sahariens en 1956 ont conduit la France à prolonger de plusieurs années la conclusion de la guerre d’indépendance, il révèle aussi les dessous de la collaboration conflictuelle entre sociétés pétrolières françaises et le jeune État algérien dans les années 1960, jusqu’à la nationalisation de 1971. [/I]
    Riche de détails inédits et d’expériences vécues, ce livre explique comment les dirigeants d’un des pays leaders du tiers monde ont mis ensuite à profit la manne pétrolière pour garnir leurs comptes en banque et acheter le silence des grandes démocraties sur les dérives du régime. Et comment les milliards de dollars des hydrocarbures sont toujours aujourd’hui au coeur des règlements de comptes permanents entre les différents clans du pouvoir. »Editions La Découverte.

    « « L’Algérie est malade de ses dirigeants, pas de son pétrole »,
    écrit Hocine Malti. Cet ancien dirigeant de la Sonatrach (la société nationale d’hydrocarbures) est l’auteur d’une passionnante Histoire secrète du pétrole algérien. Il y raconte comment, au fil des ans, l’Algérie indépendante a sécrété une oligarchie qui a confisqué, grâce à de juteuses commissions, la richesse pétrolière du pays et s’est arrogé un quasi-monopole sur les importations. L’auteur montre aussi comment, dans le pays, les campagnes périodiquement orchestrées contre la corruption ne sont que l’expression de luttes de clans qui surgissent au sein de la caste dirigeante. La capture de la rente pétrolière par les dirigeants issus de la guerre d’indépendance explique pour une large part la faiblesse de la performance économique nationale. Pour Hocine Malti, le pillage a réellement commencé en 1979, après la mort de Houari Boumediene, sous la présidence de Chadli Benjedid et sous la houlette de son conseiller, le colonel Larbi Belkheir. »


    L’EXPRESS
    « On ne pourra plus dire qu’on ne savait pas: cet ingénieur, devenu consultant pétrolier, raconte la corruption, les détournements de fonds, l’achat des militaires, et les règlements de compte à OK Terril. »
    OPTIMUM
    « Très jeune, l’Algérie a contracté le virus de la « maladie hollandaise ». Cette affection, diagnostiquée dans les années 1960 aux Pays-Bas – d’où son nom -, est provoquée par l’irruption d’une richesse unique et subite. Ici, c’est la découverte de pétrole, en 1956, dans le Sahara algérien, qui est en cause. L’Algérie, malade de son or noir : ce constat clinique, Hocine Malti le dresse avec un regard de praticien aguerri. Ingénieur pétrolier, il a participé aux premiers pas de cette nouvelle industrie avant de devenir un des dirigeants du secteur, puis un consultant international. Il raconte comment, d’abord, il y a la découverte du premier gisement, en janvier 1956, six ans à peine avant l’indépendance de l’Algérie. Puis viennent les manoeuvres françaises, qui, sentant que le pays va leur échapper, tentent de séparer le Sahara du reste de l’Algérie – manoeuvres auxquelles mettra fin le général de Gaulle en septembre 1961. Il y a, enfin, la naissance, en 1963, de la Sonatrach, la compagnie nationale d’hydrocarbures, qui deviendra un Etat dans l’Etat. Encore aujourd’hui, la Sonatrach, douzième groupe mondial, premier d’Afrique avec ses quelque 50 000 salariés, domine la vie politique et économique de l’Algérie. »
    LE MONDE
    « Hocine Malti a participé à la création de la Sonatrach (entreprise pétrolière publique), dont il a été vice-président de 1972 à 1975. Avec ce livre, il lance un pavé dans la mare en retraçant l’histoire de l’exploitation des hydrocarbures en Algérie, malade de la corruption depuis les années 1980. »
    COMMERCE INTERNATIONAL
    « Le livre de Hocine Malti, ingénieur des pétroles, porte sur les bonheurs et surtout les déboires de l’Algérie depuis la découverte du super-gisement de pétrole et de gaz d’Hassi Messaoud en 1956. L’auteur, ancien dirigeant de la Sonatrach, la société nationale chargée d’exploiter ces ressources, livre un récit très détaillé, mêlant l’aventure du pétrole algérien à l’histoire du pays. »
    LA CROIX
    « Que le pétrole sente le soufre, personne n’en doute. Le soufre, mais aussi la poudre, si on en croit l’histoire guerrière de par le monde autour de cette précieuse énergie très convoitée. Ces derniers mois en Algérie, il a aussi été l’objet de dévoilement d’affaires tout aussi sulfureuses, dont on ignore encore l’ensemble des tenants et des aboutissants. Comme l’indique l’éditeur La Découverte (Paris), personne ne pourra douter aujourd’hui que « la principale richesse de l’Algérie, son pétrole et son gaz, n’est plus source de bonheur pour son peuple ». Il n’est nul besoin de faire preuve de mauvais esprit pour ne pas souscrire à cette expression car la réalité, sensible, est là. Des explications de cet état de fait, argumentées, sont avancées par Hocine Malti, qui a l’avantage de connaître le secteur. Ingénieur des pétroles, il a participé à la création de la Sonatrach, dont il a été vice-président de 1972 à 1975. Conseiller du secrétaire général de l’OPAEP (Koweït) de 1975 à 1977, puis directeur général de l’Arab Petroleum Services Company (Tripoli) jusqu’en 1982, il est à présent consultant pétrolier. [...] Un livre qui alimentera sans nul doute bien des commentaires, ou des silences qui parlent… »

    EL WATAN


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