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Le tout puissant DRS aurait peur de Said Bouteflika selon Aboud

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  • Le tout puissant DRS aurait peur de Said Bouteflika selon Aboud

    « C’est lui qui est derrière. Comme il a été derrière la plainte et l’interdiction de la publicité (de l’Anep, ndlr) », a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse animée après avoir été refoulé par la police à l’aéroport international d’Alger.
    « Je n’irai pas par trente-six mille chemins, car je n’aime pas les généralités. L’Algérie est aujourd’hui dirigée par Saïd Bouteflika. J'aurai à le supporter jusqu’en avril 2014 », a lancé Hichem Aboud, qui dit préparer un livre sur le personnage, à l’image de celui qu’il a écrit sur les généraux des années 1990. « Je lui ai préparé un beau livre. Je l’ai fait dans La mafia des généraux (publié en 2002 en France, ndlr) pour ceux qui m’ont nui dans les années 1990. Ils ont bien payé et ils ont maintenant honte de voir leurs enfants dans le blanc des yeux », a-t-il dit.
    Pour lui, même le DRS a peur du frère du Président. « Ce pays est gouverné par Saïd Bouteflika qui n’a aucune fonction et qui fait peur même au DRS », a-t-il expliqué.
    Je sui interloqué par ce soudain rôle publique de celui qui a toujours eu des rôles officieux, mais là, il s'affirme publiquement comme porte parole du DRS!!!!

    Ce personnage nous affirme qu'un conseillé parent d'un président malade, ferait peur à une institution comme le DRS!!! S'il dit vrai, ce qui émanant d'un personnege de la sorte mériterait le questionnement, qu'est ce qui permettrait au frère d'un président malade de faire peur à une institution qui s'est érigée publiquement, au nom du succésseur de Smail, M. Tertag, comme la toute puissance police secrête capable de nous débarasser des meaux d'une corruption endémique, car d'après un article de TSA, il dirigerait l'enquête anti corruption que certains affirment pouvoir prouver la culpabilité d'un ancien ministre comme Khelil, et de ce frère du président. On attend tous d'ailleurs ces élements de preuve, et une conséquence judiciaire pour punir les prétendus auteurs, et récupérer les sommes prétendues dérobées....

    Si ce conseillé est capable de faire peur à ce DRS là, aux dires du personnage médiatisé, nous doit on pas se poser certaines questions sur les motifs de cette prétendue peur, a-t-il des dossiers sur les uns et les autres, a-t-il une capacité de lever une armée et de faire démissionner les uns et les autres, a-t-il une possibilité de mettre le pays dans le chaos comme l'affirmait l'autre expert en expertologie et en pilotis Logis, Mesbah.

    Quelle est finalement la source de ce redoutable pouvoir de Said qui ferait tant peur à ces gens là!!!!

    La polution médiatique actuelle me laisse pantois...
    Dernière modification par ott, 27 juin 2013, 14h51.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Ce que j'adore dans la plupart de ses articles... j'ai l'impression qu'ils assistent aux réunions wala 3and'houm des espions qui rapportent A et B.

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    • #3
      Il nous avoue sans le vouloir, ce que tout le monde savait le concernant, ses liens organisques et familiaux avec la maison...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        cette affaire elle va se dévloper dans les future années prochaine !!!
        Dernière modification par katiaret, 27 juin 2013, 16h24.
        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          TSA - jeudi, 27 juin 2013 15:05
          Après deux mois d’absence du pays, Bouteflika ne semble pas vraiment fini

          Hayet Zitouni




          Cela fait aujourd’hui deux mois, jour pour jour, que le président Bouteflika a quitté le pays pour être hospitalisé à Paris. Passées les polémiques sur l’opacité et l’absence de communication relative à son état de santé, force est de constater que son absence ne change guère la vie des Algériens,

          habitués depuis plusieurs années à ne le voir que par intermittence.
          Dans certains médias et cercles proches du clan du pouvoir hostiles au Président, il est de bon ton d’affirmer que « Bouteflika est fini ». En réalité, les personnes les plus avisées se gardent bien de tout commentaire définitif et personne parmi les grands leaders politiques du pays ne se hasarde à afficher clairement des prétentions qui feraient fi de la personne du Président convalescent. Les personnalités sérieuses mesurent au contraire l’influence toujours bien réelle du Président et de son clan.
          D’autant que le clan présidentiel continue de brouiller les pistes à loisir comme pour bien montrer que le pouvoir continue de leur appartenir. Le rappel de l’ambassadeur à Paris Missoum Sbih, proche parmi les proches d’Abdelaziz Bouteflika, a été hâtivement analysé par certains comme la fin du système Bouteflika. Or, non seulement son limogeage et son remplacement par Amar Bendjema ont été décidés par le Président, seul habilité à prendre ce genre de décisions. Mais ce n’est pas la première fois qu’Abdelaziz Bouteflika sacrifie des hommes à lui quand ceux-ci se sont montrés défaillants, y compris dans des moments où il était très puissant. Khelil, Belkhadem, Zerhouni et Temmar peuvent en témoigner ainsi que bien d’autres avant eux. Bouteflika n’a pas d’état d’âme quand il risque d’être lui-même mis en cause ou qu’il estime que ses proches ont failli, ainsi que vient d’en faire l’expérience l’ambassadeur Missoum Sbih.
          Le président Bouteflika a fait preuve depuis son fauteuil d’hôpital parisien d’un autre message de fermeté. La victime n’est autre que le directeur de « Djaridati » et « Mon Journal », Hichem Aboud. Celui dont les journaux ont d’abord été censurés pour avoir hâtivement écrit que l’état de santé d’Abdelaziz Bouteflika s’était détérioré, s’est vu interdire de quitter le territoire algérien. Au cours d’une conférence de presse, Hichem Aboud a accusé le frère du président, Saïd Bouteflika, d’être derrière cette interdiction. Difficile effectivement de ne pas voir dans cette décision l’expression du pouvoir présidentiel.
          Sbih et Aboud, deux exemples d’une main présidentielle tenant ferme. Et il est vrai que dans l’entourage d’Abdelaziz Bouteflika, personne ne cherche encore véritablement à se « recaser », à quitter d’une manière ou d’une autre le pouvoir. Et l’on affiche parmi ses proches une sérénité plus que de façade, après avoir craint le pire.
          Dans la classe politique également, l’attentisme silencieux fait office d’expression publique. Ni Ouyahia, ni Benflis, ni Belkhadem ou Hamrouche n’ont émis le moindre commentaire sur la situation ou affiché clairement leurs ambitions présidentielles. Tous savent que le mandat présidentiel est encore actif, quoique ralenti. Pour tous ces acteurs de la vie politique, « Bouteflika n’est pas vraiment fini ». Il peut encore faire mal à beaucoup de gens et sa fin de règne n’est pas encore réellement entamée.
          Les responsables du FLN continuent de présenter comme une hypothèse bien réelle un quatrième mandat de Bouteflika. Cette option, qui si elle paraît tout à fait farfelue à beaucoup, continue de trotter dans la tête de certains responsables. Du moins publiquement.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            Waw, malade de Paris, dans un état qu'on a pu voir... il fait trembler le microcosme algérois et médiatique, capable des plus surprenantes des contorsions!!!

            Décidément ce président est vraiement utile à quelque chose, au moins pour donner du grain à moudre à des journaleux....

            Le ridicule ne tue point...

            Quelle farce!!!
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              salam

              otto ton roi a ete l embrasse ne savai tu pas que boutef est l homme que m6 venaire lol si m6 te lie t est foutou lol le commandeure ne va pas aprecie que tu joue avec sont idole

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              • #8
                J'aurai à le supporter jusqu’en avril 2014 », a lancé Hichem Aboud, qui dit préparer un livre sur le personnage, à l’image de celui qu’il a écrit sur les généraux des années 1990. « Je lui ai préparé un beau livre. Je l’ai fait dans La mafia des généraux (publié en 2002 en France, ndlr) pour ceux qui m’ont nui dans les années 1990.
                On comprend mieux les raisons profondes qui l'ont poussé à écrire ce livre.
                Dernière modification par massinissa, 27 juin 2013, 21h40.

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                • #9
                  Je sui interloqué par ce soudain rôle publique de celui qui a toujours eu des rôles officieux, mais là, il s'affirme publiquement comme porte parole du DRS!!!!
                  C'est nous qui somme interloqué de vos prises de position.

                  Ce personnage nous affirme qu'un conseillé parent d'un président malade, ferait peur à une institution comme le DRS!!!
                  Tu sembles oublier que Bouteflika détient des pouvoirs immenses et peut mettre Toufik à n'importe quel moment à la porte. L'influence du DRS n'est plus ce qu'elle était durant les années du sang et ça va de soi.

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                  • #10
                    Merci pour le vouvoiement, mais je te permets de me tutoyer....
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      A mon modeste avis, l'Algérie ressemble à un immense théâtre où chacun à un rôle à jouer pour animer le spectacle, tout cela pour amuser la galerie, tandis que la réalité des choses est loin des regards er des oreilles et se déroule ailleurs. De toutes façons, tout cela ne concerne pas le peuple qui murit sans cesse à mesure que passe le temps, il accumule ses expériences et attend son heure... Car se sont les masses qui font l'histoire.
                      Dernière modification par Elghifari, 28 juin 2013, 00h45.

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                      • #12
                        Je crois que ce aboud gagnerait plus......en crédibilité, le jour ou il s'arrêterai........de balancer à tout bout de champs.........ana chaoui donc je n'ai .....peur de personne.....

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                        • #13
                          Une vraie farce que celle de lancer des "polémiques" préfabriquées, l'homme de la rue a compris il y a bien longtemps ce théâtre!!!

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                          • #14
                            Il a raison de dénoncer cette entrave à sa liberté de circulation.Une honte en 2013.....

                            Pour la crapule frère de teftef il devrait dégager.Personne ne l'a mandaté pour quoi que ce soit.Mais comme ces "marocains" n'ont ni dignité ni honneur, il restera comme un élément dans la mafia créé par son voleur zombie teftef.
                            d'ailleurs ce régime des prédateurs "marocains" donne envie de vomir.J'espère qu'ils paieront un jour pour leurs crimes ces pourris....

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                            • #15
                              une piece de théâtre qui ce jeux sur une table de jeux échec je style chénoise un roix qui meur echec et math et un autre qui vien si en remarque bien qu'il ya toujour des homme qui jeux sur la polarisation de la majoritie votante et le problem de décision ou intérie afin de réaliser une façade pour l'année 2014
                              dz(0000/1111)dz

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