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Maroc : Après Renault, Toyota pourrait s'installer d’ici 2016, selon le ministre de l'Industrie

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  • Maroc : Après Renault, Toyota pourrait s'installer d’ici 2016, selon le ministre de l'Industrie

    Le secteur marocain de l'automobile pourrait prendre de nouvelles couleurs dans les trois prochaines années avec l'arrivée d'un nouveau contructeur automobile. Après le Français Renault, ce ne serait pas un Européen, mais plutôt, un asiatique. Rabat a lancé en force son opération courant mois de juin et semble être sur des pistes sérieuses.

    « Nous pensons pouvoir attirer un nouveau constructeur automobile d’ici deux à trois ans au maximum », a déclaré le ministre de l’Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, Abdelkader Amara, dans une interview accordée au magazine français Usine Nouvelle. Le ministre souligne cependant que le nouvel entrant ne s’installera « pas forcément à Tanger », comme l’a fait Renault.

    Après le leader français de l’automobile, le prochain entrant au Maroc pourrait bien être japonais. En effet, lors de sa visite au Japon il y’a deux semaines, M. Amara a présenté aux responsables de Toyota l’intérêt d’investir aux portes de l’Europe et de l’Afrique, à proximité des sous-traitants nouvellement installés et d’une main-d’œuvre abondante et formée. « J’ai [tout simplement] développé notre idée de modèle low-cost dans l’automobile », dit-il.

    Le Japon un pays clé pour le Maroc

    Le Maroc semble faire appel à de nouveaux constructeurs pour renforcer ses partenariats avec les pays d'Afrique subsaharienne qui ont, selon le ministre, « besoin de produits adaptés à la classe moyenne », avec un bon rapport qualité/prix. « Renault réussit ce pari. Mais les Japonais, selon moi, ne sont pas sur ce segment au Maroc et même peu en Afrique », explique M. Amara, soulignant que « Toyota par exemple hormis une usine CKD au Portugal, son site français et un autre en Afrique du Sud n’est pas très présent au plan industriel sur la zone Afrique Méditerranée ».

    D’après le ministre, « le Japon est un pays clé pour le Maroc » en ce qui concerne l’automobile. Le lobbying de Rabat est appuyé non seulement par une première expérience réussie avec Renault, mais aussi par l’installation dans quelques semaines à Casablanca du JETRO, l'agence japonaise chargée de la promotion du commerce extérieur. De plus, le Maroc compte déjà à son actif quelques gros investissements nippons dans le secteur automobile, notamment dans le câblage et la connectique avec le groupe Yazaki qui ouvrira cet été sa troisième usine dans le royaume. On peut également citer le groupe Sojitz, spécialisé dans les infrastructures et l’énergie qui ouvrira bientôt une antenne à Casablanca.

    Cependant, « il n’y a pas que la piste Toyota, ni même japonaise », relève au passage M. Amara. D’autres constructeurs étrangers seraient donc en vue. En novembre dernier, la firme coréenne Hyundai était citée par la presse spécialisée parmi les constructeurs automobiles séduits par le royaume. Mais le ministre ne s’est pas exprimé sur la question. « Côté constructeurs européens, nous avons peu d’espoir à court terme », confie-t-il, taclant ainsi les rumeurs d’une possible arrivée de l’allemand Volkswagen.

    Pas forcément une usine géante

    Abdelkader Amara reconnait que la tâche « ne sera pas facile » pour l'implantation d'une nouvelle usine étrangère. « De plus, il ne faut pas raisonner uniquement sur la taille du site géant Renault Tanger et ses 350 000 véhicules par an. On peut imaginer l’implantation d’usines plus réduites de l’ordre de 100 000 véhicules par an ».

    Le secteur marocain de l’automobile a vraiment pris des couleurs avec l’arrivée de Renault. D’autant que les produits de l’usine tangéroise sont très appréciés sur le marché international. L'arrivée d'un nouveau constructeur, à l'instar de Toyota, ne fera que donner du poids au secteur automobile marocain et booster le niveau de compétitivité sur le plan national.

    Par Ristel Edimo

  • #2
    il faudrait dupliquer le modèle SOMACA avec les japonais

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    • #3
      ben attendons qu'il le fasse .........
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #4
        Le secteur marocain de l’automobile a vraiment pris des couleurs

        La station relais marocaine, et non un secteur pour la couleur comme tous les sites au maroc sont bardés de drapeau rouge:22: tous les dix metres peut etre en ont il rajouté.
        El izid ounsemiouh toyota ou ngoulou mebrouk

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        • #5
          Premièrement dans le texte il n'est aucunement mentionné l'an 2016.
          deuxièmement il n'a pas cité que Toyota allait s'installer, il a juste dit que le groupe n'avait pas beaucoup d'usine dans la région.
          troisièmement donc, le ministre n'a jamais dit que quiconque pourrait s'installer d'ici 2016...

          Bref, encore du journalisme amateur ou l'on extrapole des propos et ou on interprete ses propres désirs/réalités !

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          • #6
            C'était en 2009, et depuis Toyota a fait le choix de l'Égypte.

            Automobile: une usine marocaine pour Toyota ?

            Publié dans Le temps
            le 26 - 04 - 2009

            Le Maroc serait-il en passe de se transformer en plate forme de l'industrie automobile ? En tout cas, les officiels Marocains sont depuis quelques mois en discussion avec un pool de constructeurs japonais. Objectif : les convaincre de monter une unité de production au Maroc, probablement pour y faire du « low-cost ». « Il s'agirait d'une usine d'une capacité plus importante que celle de Tanger », affirme Adil Bennani, directeur général de Toyota du Maroc. Ce qui porte à croire que les ministres de l'industrie et du commerce extérieur sont en train de faire du pied à ce même Toyota, constructeur qui cherche à lancer une gamme de véhicule low-cost, via sa filiale Daihatsu. Aujourd'hui, les candidats les plus sérieux pour l'accueil la future usine restent le Maroc et l'Egypte. Cette dernière offre une main-d'œuvre aussi bon marché que les ouvriers nationaux et une demande intérieure plus importante. Le royaume, lui, joue la carte Tanger Med. Entre un marché local attractif et une logistique dernier cri, le cœur de Toyota balance toujours.
            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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            • #7
              toyota egypte c'est 3000 voiture SUV pas plus et c'st pas du lowcost donc le cœur de Toyota balance toujours.

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