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Les brêles de Zouj Beghal

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  • Les brêles de Zouj Beghal

    «Ils sont fous ces responsables Algériens», pourrait-on dire en adaptant la célèbre remarque de Jules César dans la bande dessinée non moins célèbre d’Astérix et Obélix, de Goscinny et Uderzo…

    Mais c’est vraiment ce que l’on peut penser à la suite de la formulation, qui n’est pas nouvelle puisque notre hebdomadaire l’avait déjà évoquée, des « trois conditions » préalables présentées par Alger pour la normalisation des relations algéro-marocaines.

    La première, qui exige la cessation des campagnes de presse marocaines contre le régime de Bouteflika, est absolument « loufoque », (pour rester dans le même registre qu’Astérix…).

    En effet, la lecture sur une période longue des titres de ce côté-ci de Zouj Beghal et de ceux paraissant de l’autre côté de ce célèbre poste frontalier (fermé !), prouve que c’est la presse de nos voisins qui «flingue» quotidiennement le Maroc, ses institutions, son gouvernement.

    La seconde est encore plus « déjantée », (pour utiliser un vocabulaire à la mode…).

    Elle réclame l’arrêt du trafic de drogues trans-frontalier au motif que le Royaume, avec son hasch, cherche délibérément à nuire au peuple algérien, à l’assouvir et le placer en situation de dépendance.

    Nonobstant le fait que nos voisins de l’Est envoient par millions des comprimés de «karkoubi» qui entraînent quotidiennement de nombreux jeunes Marocains dans des crises de violence et de démence, on rappellera aux autorités d’Alger que seules des actions communes et coordonnées permettraient de freiner le trafic de drogues (au pluriel !), mais aussi la contrebande qui sévit entre les deux pays depuis toujours. « Essence contre nourriture », haschich contre psychotropes, voilà les deals que les réseaux mafieux, ALGÉRIENS ET MAROCAINS, concluent chaque jour et qui cesseraient effectivement si la frontière commune était réouverte et que les services de répression des fraudes des deux pays s’alliaient contre le trabendo !



    Quant à la troisième exigence, elle représente, en fait, le fond réel du différend qui oppose (officiellement) l’Algérie au Maroc depuis 1975.

    Bouteflika et ceux qui l’entourent, les galonnés qui tiennent le pouvoir depuis 1962, ne peuvent souffrir que le Royaume agisse avec continuité depuis cette date pour la reconnaissance de ce droit inaliénable et reconnu partout et pour tous, la préservation de l’unité nationale et le recouvrement complet et définitif de son intégrité territoriale.

    C’est la question de notre souveraineté légitime sur les provinces du Waddi Eddahab et la Saquiat Al Hamra, c’est-à-dire le SAHARA OCCIDENTAL MAROCAIN, qui constitue le noeud et l’origine de la mésentente qui sévit depuis si longtemps entre Alger et Rabat.

    En présentant une telle condition, le pouvoir algérien sait, mieux que quiconque, que le Royaume, unanime, lui opposera une fin de non recevoir et c’est exactement ce que veut Alger !

    Car, en réalité, la vraie crainte des ganaches galonnées n’est pas de voir la jeunesse algérienne sombrer dans la drogue, ni la presse marocaine poursuivre de supposées campagnes contre elle.

    Les dirigeants d’Alger craignent la contagion, s’ils venaient à autoriser l’ouverture de la frontière. Une épidémie de revendications démocratiques, d’exigences consuméristes, de réelle liberté, d’épanouissement de l’initiative privée, de séjours dans des infrastructures hôtelières de qualité, d’animation nocturne et diurne, etc…

    Alger, dirigée par une gérontocratie bismarckienne, craint la comparaison avec le Maroc où, certes, tout est loin d’être parfait, mais qui, du moins pour les classes moyennes algériennes, dispose d’atouts qui leur font rêver, du Morocco Mall aux plages de sables fins d’Agadir ou de Saïdia, des night-clubs de Marrakech aux pistes enneigées de l’Ouka et de Michlifen…

    L’Algérie, dont les frontières ont été savamment «arrangées» par le colonialisme français, au détriment de tous ses voisins, à l’Ouest, au Sud, à l’Est, ne pourra jamais empêcher que le Maroc poursuive sa quête d’unité territoriale et de souveraineté nationale.

    Les conditions d’Alger, ne sont pas des exigences, ce sont des élucubrations. Et c’est comme telles qu’on les comprend au Maroc !

    Fahd Yata
    LNT

  • #2
    Alger, dirigée par une gérontocratie bismarckienne
    Pas sympa pour Bismarck .......

    Sinon pour les 'exigences' d'Alger , une seule réponse , celle ci :

    ................
    Ça voudra tout dire
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      L'Algerie évite de voir un environnement normal entre deux pays voisins, de peur qu'un jour à Marrackech devant un Tanjiya Marrackchiya on leur ouvre des dossiers agaçants.

      Ils ont peur de nous sourire au visage, ils sont vexés, c'est un etat psychologique
      La haine aveugle

      Commentaire


      • #4
        ...................
        .


        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

        Commentaire


        • #5
          Que la monarchie makhzeniste reste à brêler à la fin il ne restera plus que les cigales et les fourmis pour l'écouter chanter...

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          • #6
            Les brêles de Zouj Beghal…
            Désolé le truc, il ne reste plus qu'un seul ABGHAL,il est du coté marocain ,
            car du coté algérien le lieu s'appelle "Akid Lotfi", donc le titre approprié est LES BRÊLES DU BGHAL.

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            • #7
              L'HABIT ET LES NOMS NE FONT PAS LE OU LES MOINES

              C'est vrai, feu Akid Lotfi n'était pas un "bghal", mais les bghals et les ânes, ce n'est pas ça qui manquent en Afrique et dans notre grande région

              Commentaire


              • #8
                Quant à la troisième exigence, elle représente, en fait, le fond réel du différend qui oppose (officiellement) l’Algérie au Maroc depuis 1975.
                Drôle de journaliste , en disant " officiellement", il marque la politique de sideh.

                Il oublie que " officiellement le maroc négocie avec le Polisario ".

                Mais bon il faut bien de temps en temps se mettre un peu de maume sur une plaie qui ne se refermera pas de sitôt .


                mais les bghals et les ânes, ce n'est pas ça qui manquent en Afrique et dans notre grande région

                Absolument vrai !

                Nous en avons un exemple vivant .
                " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                • #9
                  Salam,

                  Je pense que ce journaliste a décrit le sentiment partagé par la grande majorité des marocains..

                  Les dirigeants d’Alger craignent la contagion, s’ils venaient à autoriser l’ouverture de la frontière. Une épidémie de revendications démocratiques, d’exigences consuméristes, de réelle liberté, d’épanouissement de l’initiative privée, de séjours dans des infrastructures hôtelières de qualité, d’animation nocturne et diurne, etc…
                  La, le monsieur dit des bêtises..
                  1/ d'abord, c'est vrai que nos dirigeants craignaient la contagion, mais le Maroc est loin d'être un modèle de démocratie.. mais par contre, si nos dirigeants craignaient la contagion, ils auraient fermé la frontière de l'Est avec la Tunisie.. chose qui ne s'ait pas produit.

                  2/ ensuite, ne je vois pas comment les "animations" nocturne dans les hôtels marocains provoqueraient des revendications démocratiques.. je dirais même le contraire.. si j'était dictateur j'ouvrirait les bars et les maisons closes, et encouragerait le commerce des drogues.. histoire de dissoudre toute idée de revendication. Et dans cette technique du "amusez vous et taisez-vous", c'est plutôt le maroc qui excelle.

                  Commentaire


                  • #10
                    SALAM

                    que DIEU nous en preserve preuve en est





                    QUE CETTE FRONTIERE RESTE FERMEE A JAMAIS INCH ALLAH

                    Dernière modification par ZA1971, 29 juin 2013, 13h25.

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                    • #11
                      Absolument vrai !

                      Nous en avons un exemple vivant .
                      @ iska

                      heureusement qu'il y a beaucoup d'ange.... !!!!!!!!!!!

                      Commentaire


                      • #12
                        il n'y a qu'un seul bghel et qui n'arrete pas de braire à genoux pour qu'on lui ouvre la porte
                        mais comme c'est un bghell il n'arrive pas à comprendre que la réponse est NON et qu'on ne lui ouvrira pas nos portes
                        alors le bghel dans sa bêtise et sa débilité continue à braire en larmes au bout du gouffre ha ha ha

                        mais entre nous qui accorde de l'attention ou de l'importance à un bghel , personne , le bghel n'a souvent droit qu'au mépris
                        SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

                        VIVA POLISARIO

                        Commentaire


                        • #13
                          Il ne faut pas oublier les ange.....

                          Commentaire


                          • #14
                            Le tabghalisme c'est de croire comme le fait le cote algérien, que le trafic de drogues est dirige par le Makhzen. Que s'il voulait le stopper, il le stopperait d'une baguette magique. Et que de l'autre cote, le traffic des psychotropes et la contrebande essence contre nourriture qui sevit aux frontières sont des questions qui peuvent se regler sans une pleine cooperation des 2 cotes, des frontieres ouvertes mais surveillées, et une cooperation securitaire franche et sans a priori.

                            L'autre version du tabghalisme c'est de declarer haut et fort qu'Alger n'est pont concernee par l'affaire du sahara, qu'il faut laisser ça se gerer aux nations unies, et juste apres, mettre cette question comme "condition" a la reouverture des frontières.

                            J'ai deja fait l'analogie de l'agerie comme etant un bateau sans commandant, sans visibilite, sans destination claire, avec un peuple enferme dans la cale. Ca se confirme. Car ce peuple, ce qu'il veut vraiment, c'est juste respirer, comme dans toutes les dictatures socialistes heritees de l'Est, respirer est un luxe. La Tunisie, il faut oublier avec tout ce qui s'y passe, le Maroc, pour des raisons psychologiques des dirigeants algeriens (qui je signale ont tous des maisons de villégiature au Maroc...), ce n'est pas pret d'etre ouvert au peuple algérien frère. Le Mali? pas vraiment. Reste la mauritanie.

                            Commentaire


                            • #15
                              logic @ écrit :

                              il faut attendre ce que les prochaines 200000 morts vont donner
                              j'allais t'insulter tu peux pas savoir cmt ...... mais par respect a certains Forumistes et non pas pour la charte du forum , je m'abstiens , et ne viens pas me chanter que l'insulte est l'arme des faibles , ceci dit ...oui je suis qu'un etre humain faible , mais avec la vermine de ton espece je souhaite une chose en ce mois béni de Cháábane : " hasbiya ALLAH wa níííma al wakil " 200000000 mort de ton espece ...... Inch'ALLAH .....AMINE ....AMINE.....

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