DOHA, Qatar – La vie de l’iman radical Yûsuf Al-Qaradâwî risque effectivement de se terminer en pointillé au Qatar. Naturalisé, cet Egyptien pourra sans doute perdre sa nationalité Qatarie. Beaucoup de facteurs contribuent à affirmer ces dires, notamment, quand le prince héritier d’alors, devenu finalement émir, était soupçonné d’être gay. Explications.
Nous sommes en 2005 et, le prince héritier Tamim Bin Hamad Al-Thani, l’actuel émir, âgé alors de 25 ans, est repéré dans une boîte de nuit gay très populaire de Londres, en compagnie de son supposé partenaire, un jeune britannique du nom de Michael Heard. Ce jour-là, s’ensuit une bagarre et, les protagonistes sont suspendus de ladite boîte pendant un mois, dont l’actuel émir du Qatar.
C’est alors que la nouvelle, comme une traînée de poudre, se propage dans tout le Moyen-Orient. Yûsuf Al-Qaradâwî s’en prend alors au prince héritier et actuel émir du Qatar avec une violence inouïe. Sûr de lui, et ayant les bonnes grâce de l’ex émir, il déclare: «les savants de l’islam, comme Malik, Ash-Shafi’i, Ahmad et Ishaq, considèrent toute personne coupable de ce crime d’homosexualité, qu’elle devrait être lapidée, et ceci, qu’elle soit mariée ou célibataire".
L’onde de choc est reprise par Al-Jazeera et le petit pays de chameliers est groggy. Mais, Yûsuf Al-Qaradâwî, le pousse-au-crime, est encore sauvé par le père de l’actuel émir, le cheikh Hamad ben Khalifa Al-Thani, alors que sa femme et son fils veulent sa disgrâce. Cette fois-ci, ayant désormais les mains libres, le nouvel émir, le cheikh Tamim Bin Hamad Al-Thani, a déjà viré son oncle de la Primature et du ministère des Affaires étrangères, le cheikh le cheikh Hamad bin Jassim al-Thani, qui reste président du conseil d’administration de la Qatar Investment Authority (QIA).
Il faut avouer qu’avec ces premières mesures, le sort réservé au tribun de la haine devrait être scellé rapidement. Retour en Égypte, perte des primes et de la visibilité via Al-Jazeera. C’est ainsi que finissent les fous à lier et imposteurs. Enfin, rien n’est encore décidé…
Allain Julles, le 28 juin 2013
Nous sommes en 2005 et, le prince héritier Tamim Bin Hamad Al-Thani, l’actuel émir, âgé alors de 25 ans, est repéré dans une boîte de nuit gay très populaire de Londres, en compagnie de son supposé partenaire, un jeune britannique du nom de Michael Heard. Ce jour-là, s’ensuit une bagarre et, les protagonistes sont suspendus de ladite boîte pendant un mois, dont l’actuel émir du Qatar.
C’est alors que la nouvelle, comme une traînée de poudre, se propage dans tout le Moyen-Orient. Yûsuf Al-Qaradâwî s’en prend alors au prince héritier et actuel émir du Qatar avec une violence inouïe. Sûr de lui, et ayant les bonnes grâce de l’ex émir, il déclare: «les savants de l’islam, comme Malik, Ash-Shafi’i, Ahmad et Ishaq, considèrent toute personne coupable de ce crime d’homosexualité, qu’elle devrait être lapidée, et ceci, qu’elle soit mariée ou célibataire".
L’onde de choc est reprise par Al-Jazeera et le petit pays de chameliers est groggy. Mais, Yûsuf Al-Qaradâwî, le pousse-au-crime, est encore sauvé par le père de l’actuel émir, le cheikh Hamad ben Khalifa Al-Thani, alors que sa femme et son fils veulent sa disgrâce. Cette fois-ci, ayant désormais les mains libres, le nouvel émir, le cheikh Tamim Bin Hamad Al-Thani, a déjà viré son oncle de la Primature et du ministère des Affaires étrangères, le cheikh le cheikh Hamad bin Jassim al-Thani, qui reste président du conseil d’administration de la Qatar Investment Authority (QIA).
Il faut avouer qu’avec ces premières mesures, le sort réservé au tribun de la haine devrait être scellé rapidement. Retour en Égypte, perte des primes et de la visibilité via Al-Jazeera. C’est ainsi que finissent les fous à lier et imposteurs. Enfin, rien n’est encore décidé…
Allain Julles, le 28 juin 2013
Commentaire