Le chef spirituel de la secte des assassins, le Mufti de la haine, l’imam de l’Otan Youcef Al Qardaoui est inquiet, voire très inquiet pour son protégé le président Mohamed Morsi, menacé par des manifestations, prévues ce dimanche en Egypte, exigeant son départ, au point de consacrer tout un prêche à défendre le premier responsable des frères musulmans.
Al Qardaoui est monté au créneau en faisant appel aux versets du Coran et aux hadiths du prophète Mohamed pour dénier, aux manifestants de ce dimanche, le droit de demander le départ du président Morsi.
“Tous ceux qui manifesteront le 30 juin contre le président Morsi sont des baltaguias (voyous), des voleurs, des pyromanes, des casseurs, en possession de couteaux, de cocktail molotov… qui n’ont qu’un seul but celui d’apporter le malheur sur la terre d’Egypte. Ils veulent bloquer le pays et aspirent à le détruire” affirme t-il. “Craignez Dieu ! craignez Dieu ! pourquoi Morsi doit-il quitter le pouvoir” s’égosille t-il.
Al Qaradaoui ajoute encore qu’”Il n’est pas licite à quiconque d’élever sa voix pour demander le départ de Morsi et ceux qui n’obéissent pas à Morsi sont des mécréants. Il faut obéir à Morsi, et il est haram (illicite) de lui demander de partir”
Le voilà pris dans son propre piège, après avoir fait soufflé le vent de la révolte et de la sédition dans les pays arabes, émis des fatwas meurtrières contre feu Mouamar Kadhafi, Bachar Al Assad, Cheikh Mohamed Said Al Bouti et appelé au jihad en syrie en demandant à tuer les trois quarts du peuple syrien qui soutiennent le président Bachar Al Assad, reprenant ainsi mot pour mot la fatwa de Djamel Zitouni, marchand de volailles à Birkhadem(Alger) et néanmoins émir des groupes islamistes armés (GIA) qui rendait licite, en décembre 1994, par une fatwa spéciale, le sang des civils hommes, femmes et enfants sur tout le territoire, sous prétexte que les Algériens soutiennent le pouvoir en place.
Le mufti de la haine a poussé l’ignominie jusqu’à énoncer dans cette même fatwa que “si des innocents sont tués par erreur, Dieu leur rendra leurs droits”. Telle est la version salafiste du fameux décret catholique attribué au légat du pape Arnaud Amaury lors de la Croisade contre les Albigeois : « Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens».
Pour justifier son soutien à Morsi, le gourou salafiste fait référence au verset coranique prescrivant que “Celui qui tue une âme innocente, c’est comme s’il avait tué l’humanité entière” (Coran 52/32). En considérant ce verset coranique, avec ses fatwas meurtrières, ce chef spirituel de la secte des assassins a tué des dizaines de milliers d’humanités.
Sentant le vent tourner, pathétique et ridicule, il demande au peuple d’obéir aux gouvernants, se fait doucereux, mielleux et conciliant en se portant au secours de ses amis de la confrérie des frères musulmans. Il appelle le peuple égyptien à être raisonnable, à manifester dans le calme et sans armes alors que cet imam de l’Otan ne cesse de supplier les occidentaux d’apporter aide et armes aux mercenaires islamistes engagés dans une guerre génocidaire contre le peuple syrien.
Khidr Omar, Algerie 1, 30/06/2013
Al Qardaoui est monté au créneau en faisant appel aux versets du Coran et aux hadiths du prophète Mohamed pour dénier, aux manifestants de ce dimanche, le droit de demander le départ du président Morsi.
“Tous ceux qui manifesteront le 30 juin contre le président Morsi sont des baltaguias (voyous), des voleurs, des pyromanes, des casseurs, en possession de couteaux, de cocktail molotov… qui n’ont qu’un seul but celui d’apporter le malheur sur la terre d’Egypte. Ils veulent bloquer le pays et aspirent à le détruire” affirme t-il. “Craignez Dieu ! craignez Dieu ! pourquoi Morsi doit-il quitter le pouvoir” s’égosille t-il.
Al Qaradaoui ajoute encore qu’”Il n’est pas licite à quiconque d’élever sa voix pour demander le départ de Morsi et ceux qui n’obéissent pas à Morsi sont des mécréants. Il faut obéir à Morsi, et il est haram (illicite) de lui demander de partir”
Le voilà pris dans son propre piège, après avoir fait soufflé le vent de la révolte et de la sédition dans les pays arabes, émis des fatwas meurtrières contre feu Mouamar Kadhafi, Bachar Al Assad, Cheikh Mohamed Said Al Bouti et appelé au jihad en syrie en demandant à tuer les trois quarts du peuple syrien qui soutiennent le président Bachar Al Assad, reprenant ainsi mot pour mot la fatwa de Djamel Zitouni, marchand de volailles à Birkhadem(Alger) et néanmoins émir des groupes islamistes armés (GIA) qui rendait licite, en décembre 1994, par une fatwa spéciale, le sang des civils hommes, femmes et enfants sur tout le territoire, sous prétexte que les Algériens soutiennent le pouvoir en place.
Le mufti de la haine a poussé l’ignominie jusqu’à énoncer dans cette même fatwa que “si des innocents sont tués par erreur, Dieu leur rendra leurs droits”. Telle est la version salafiste du fameux décret catholique attribué au légat du pape Arnaud Amaury lors de la Croisade contre les Albigeois : « Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens».
Pour justifier son soutien à Morsi, le gourou salafiste fait référence au verset coranique prescrivant que “Celui qui tue une âme innocente, c’est comme s’il avait tué l’humanité entière” (Coran 52/32). En considérant ce verset coranique, avec ses fatwas meurtrières, ce chef spirituel de la secte des assassins a tué des dizaines de milliers d’humanités.
Sentant le vent tourner, pathétique et ridicule, il demande au peuple d’obéir aux gouvernants, se fait doucereux, mielleux et conciliant en se portant au secours de ses amis de la confrérie des frères musulmans. Il appelle le peuple égyptien à être raisonnable, à manifester dans le calme et sans armes alors que cet imam de l’Otan ne cesse de supplier les occidentaux d’apporter aide et armes aux mercenaires islamistes engagés dans une guerre génocidaire contre le peuple syrien.
Khidr Omar, Algerie 1, 30/06/2013
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