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Appréhendant la traditionnelle flambée des prix durant le Ramadhan, les ménages algériens ont préféré prendre leurs précautions à l’avance et ce, avant que l’augmentation des prix ne touche les vêtements à la veille.
Depuis quelques jours déjà, les magasins de vêtements pour enfants sont littéralement assaillis par les ménagères. Cette période de l’année promet ainsi d’être une vraie aubaine pour les commerçants qui savent profiter de l’occasion. Certaines familles préfèrent faire leurs achats avant l’entame du jeûne, selon des commerçants. Appréhendant la traditionnelle flambée des prix durant le Ramadhan, les ménages algériens ont préféré prendre leurs précautions à l’avance et ce, avant que l’augmentation des prix ne touche les vêtements à la veille.
Toutefois, cette année, les commerçants ne semblent pas vouloir déroger à cette règle qui est décidément ancrée à jamais dans la société. «A quelques jours du mois de Ramadan, les prix ont connu une augmentation. En début du mois, j’avais repéré une paire de chaussures pour ma fille. Elle était proposée à 2 200 dinars mais, ce jour-là, je n’avais pas d’argent sur moi. Je suis revenue une quinzaine de jours après pour l’acheter et, à ma grande surprise, le vendeur m’avance que son prix est de 2 800 dinars», dira une mère de famille rencontrée dans un magasin à la rue Larbi Ben Mhidi. Avant d’ajouter que «même les prix des vêtements ont connu une hausse allant de 20 à 30%».
Exposés dans les vitrines, les tenues vestimentaires proposées sont cependant chères même s’il reste encore quelques jours pour le mois sacré. Certes, les prix affichés restent élevés mais les parents se plient en quatre pour faire plaisir à leurs enfants. Malgré leurs petites tailles, les vêtements d’enfants affichaient des prix exorbitants et parfois même, un morceau d’étoffe, qui ressemblerait à une robe de bébé, est cédé plus cher qu’une tenue complète.
Dans la majorité des boutiques du centre-ville, les prix affichés dépassent les 3 500 DA pour une robe et peuvent atteindre facilement les 9 000 dinars. Les shorts sont proposés à 1 500, voire 2 500 dinars, les tee-shirts, entre 1 200 et 2 000 dinars. Les pantalons en jeans entre 1 500 et 3 500 dinars. Les chaussures dites de marque sont proposées à un prix fixé entre 2 200 et 4 500 DA, selon l’origine et la qualité. La plupart des marchandises proviennent de Chine, Turquie, Espagne, Italie et de France.
Cherifa K. El Watan
Depuis quelques jours déjà, les magasins de vêtements pour enfants sont littéralement assaillis par les ménagères. Cette période de l’année promet ainsi d’être une vraie aubaine pour les commerçants qui savent profiter de l’occasion. Certaines familles préfèrent faire leurs achats avant l’entame du jeûne, selon des commerçants. Appréhendant la traditionnelle flambée des prix durant le Ramadhan, les ménages algériens ont préféré prendre leurs précautions à l’avance et ce, avant que l’augmentation des prix ne touche les vêtements à la veille.
Toutefois, cette année, les commerçants ne semblent pas vouloir déroger à cette règle qui est décidément ancrée à jamais dans la société. «A quelques jours du mois de Ramadan, les prix ont connu une augmentation. En début du mois, j’avais repéré une paire de chaussures pour ma fille. Elle était proposée à 2 200 dinars mais, ce jour-là, je n’avais pas d’argent sur moi. Je suis revenue une quinzaine de jours après pour l’acheter et, à ma grande surprise, le vendeur m’avance que son prix est de 2 800 dinars», dira une mère de famille rencontrée dans un magasin à la rue Larbi Ben Mhidi. Avant d’ajouter que «même les prix des vêtements ont connu une hausse allant de 20 à 30%».
Exposés dans les vitrines, les tenues vestimentaires proposées sont cependant chères même s’il reste encore quelques jours pour le mois sacré. Certes, les prix affichés restent élevés mais les parents se plient en quatre pour faire plaisir à leurs enfants. Malgré leurs petites tailles, les vêtements d’enfants affichaient des prix exorbitants et parfois même, un morceau d’étoffe, qui ressemblerait à une robe de bébé, est cédé plus cher qu’une tenue complète.
Dans la majorité des boutiques du centre-ville, les prix affichés dépassent les 3 500 DA pour une robe et peuvent atteindre facilement les 9 000 dinars. Les shorts sont proposés à 1 500, voire 2 500 dinars, les tee-shirts, entre 1 200 et 2 000 dinars. Les pantalons en jeans entre 1 500 et 3 500 dinars. Les chaussures dites de marque sont proposées à un prix fixé entre 2 200 et 4 500 DA, selon l’origine et la qualité. La plupart des marchandises proviennent de Chine, Turquie, Espagne, Italie et de France.
Cherifa K. El Watan
.......les pauvres d'un coté et les riches de l'autre......decidemment ces fetes religieuses me font peine années sur années!........c'est plus ce que c'etait!:22:
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